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Au nom du Père, du Fils et du Mâle Saint d’esprit

Au nom du Père, du Fils et du Mâle Saint d’esprit

Dans la lutte à couteaux tirés qui oppose Néoféminisme d’un côté et Masculinisme de l’autre, force est de constater que le bât blesse coté gente masculine sensée pourtant défendre un patriarcat réputé et vécu en Occident comme flamboyant et omnipotent.

Mais il en est des fausses réputations comme du reste, elles ne durent que le temps de l’usure et qu’à partir du moment où l’on ne s’en sert plus…Valeur d’usure et valeur d’usage inversement proportionnelles  faisant alors bon ménage !

Ainsi agité par la Parole, une jolie coquille vide, tel que le concept de patriarcat relève, dans une société pseudo-matriarcale comme la nôtre, de l’argutie fallacieux et paradoxal ; Un peu comme parler de menace fasciste dans un environnement qui le suinte déjà par tous ses pores, fait office de pure excitation neuronale. Car à défaut de trouver une réalité tangible dans les faits, la menace fasciste n’en est déjà plus une, elle s’est muée en quotidien pour se révéler au grand jour.

Intéressant Paradoxe occidental que voilà : le patriarcat tant décrié y est mort et le nouveau fascisme sociétal tant valorisé y est quant à lui bien vivant, il a tué toute forme de liberté  d’expression et cela au nom même de l’antifascisme qu’il s’était donné pour mission de défendre ! Parler de ce qui n’est plus et omettre de nommer ce qui est, caractérise la perte de sens et l’inversion de nos valeurs.

Cela explique pourquoi dans une Société désormais régit par des Femmes et pour certaines Femmes, il est donc devenu usuel d’agiter la défroque du Pater Noster dès qu’un Mâle un tant soit peu bien « monté » tente de se la ramener sur un sujet ou un autre, surtout quand il ne le maitrise visiblement pas.  C’est hélas le cas de nos Hussards masculinistes qui tout phallus front devant, ont décidé dans un sursaut salutaire d’affronter courageusement la forteresse néo-féministe.

La charge est héroïque mais grossière, et dans ce combat perdu d’avance notre hussard pourtant bien outillé en début de bataille, sombre en général rapidement dans la gaudriole et la rhétorique machiste facile, à défaut  d’attaquer avec efficacité le cœur de son sujet et l’objet de tous ses tourments.

Mais que voulez-vous, n’est pas Loup qui veut, et un agneau même quand il montre ses dents de lait reste un agneau en proie à ses propres insuffisances.

Déficiences argumentaires, n’en doutons point, dues sans doute à une dialectique non aboutie ne lui permettant pas de dépasser le stade reptilien de son état colérique. Il faut dire que nos néo féministes aux forts accents LGBTPLUS donnent du fil à retordre à notre torero masculiniste d’opérette.

Mais quand on veut manier la cape il ne s’agit en aucun cas d’oublier de manier l’épée, et surtout il est impératif de viser juste c’est-à-dire entre les deux oreilles. Dans ce domaine l’on sait depuis Nietzsche que si l’on n’y prend garde, la volonté de puissance confère souvent plus à l’impuissance qu’à l’agitation torride. Aussi il s’agit d’avancer bien « burné » sous peine de se la faire couper.

Dailleurs c’est le rêve de nos lesbos en folie que de voir les mâles dominants castrés et ramenés à l’état de mignons efféminés esclaves de l’unique plaisir féminin ! L’on parle déjà plus dans ces milieux-là d’égalité des sexes, aberration factuelle déjà si il en est,  mais uniquement de volonté de domination sur fond de pseudo matriarcat.

Certains et certaines ne s’y sont pas trompés et ont  bien raison d’appeler  à la rescousse Julius Evola.

Julius Evola  qui nous fera oublier ces incessants marivaudages entre clans genrés, et remettra le débat là où  il doit être, c’est-à-dire très haut dans les étoiles, et pas seulement en dessous du niveau et de la mère, et de la ceinture !

Fort de ce constat peu réjouissant mais visiblement jouissif pour d’autres, prenons les choses par leur commencement et voyons avec l’œil du Loup les méandres d’une pensée suffisamment vrillée pour faire tache dans l’univers sociétal concentrationnaire qui désormais nous habite, malgré nous et contre nous,  de l’intérieur comme de l’extérieur.

Au début des années 80 l’individualisme marchand, le fameux « freedom of choice » propre à la société de consommation, a rencontré la culture homosexuelle, le Sida ayant entre temps fait passé l’Homo comme ils disent, de super victime à super héro. De cette rencontre au départ improbable mais qui a pris faits, corps et gestes avec l’aide d’une financiarisation repoussant sans cesse les limites de la marchandisation à commencer par celle du corps. De cette rencontre dis-je, est née un nouveau modèle empruntant ses schémas de pensée et ses valeurs totems au sein d’une nouvelle forme totalitaire de narcissisme :

  • C’est la thérapie familiale ou des flics de la pensée issue de l’école de « Palo-Alto » observent derrière des vitres sans tain des familles s’entredéchirer.  Sombre préfiguration de ce qui sera quelques années plus tard le concept phare de la Télé-réalité.
  • C’est le pervers narcissique qui règne en maitre aux sommets des Entreprises et des Etats, transformant tour à tour la Fête de la musique en Parade gay, les folies bergères en  transformisme à la  Michou, et les défilés de haute couture en ronde de porte manteaux anorexiques.
  • C’est enfin le narcissique flamboyant qui s’ objective au travers des réseaux sociaux, secouant sa bite comme si elle ne lui appartenait déjà plus.

Tout est désormais prétexte à l’effet miroir, pourvu qu’on ait l’ivresse de se voir si beau, dans l’œil de spectateurs devenus eux-mêmes de purs objets de distraction.

C’est le concept du reality show toujours plus chaud, accouplé au principe de l’échangisme permanent en mode club sandwich.

C’est le mateur ainsi maté pouvant  jouir sans retenue et sans entrave d’un plaisir sans cesse renouvelé.

Plus grave encore, la technologie aidant, les genres biologiques masculins comme féminins sont devenus des freins à l’hermaphrodisme constructiviste ambiant, il est de bon ton désormais et de bonnes mœurs au sein d’un puritanisme puant et bourgeois, d’être à la fois à voile et à vapeur, et de rouler ainsi cocaïné  tous feux éteints sur l’autoroute androgyne.…les Feux de l’amour ne sont plus de mise et seuls les backrooms ont désormais droit de cité ! L’Homo se faisant alors BI et le BI rentrant en TRANS,  et d’observer, avec un rire sardonique, et un regard pornographique en guise d’étoile et de lunettes arrières,  tous les trous du cul du monde ; Vérifiant ainsi l’adage que si l’univers est en expansion c’est qu’il plonge dans un trou noir, un trou noir sans fond et sans échappatoire !

Quid des Hommes et des Femmes dans ce maelstrom faustien  ? Enfin quand je pense aux Hommes et aux Femmes je pense aux vrais, les non « genrés » artificiellement et les pas encore » pucés ». 

Le Verdict votre déshonneur est sans appel : C’est comme  dans toutes les guerres de domination ils feront les frais, ces Hommes vrais et ces vraies Femmes,  de la répartition des prébendes,  et devront par abnégation contre mauvaise fortune faire bon cœur, sinon ils finiront comme tout déviant qui se respecte dans des maisons de redressement, condamnés par des Salos, à 120 jours de Sodome avec Justine et ses malheurs de la vertu pour toute compagnie ! Sade, so sad.

LE LUPUS

LA POMME DE LA DISCORDE

Poussé par une volonté accusatrice, fondée sur une interprétation erronée de la Genèse, l’homme attribue à la femme le rôle de bouc émissaire, puisque elle initia « la Grande Aventure » terrestre émaillé de tant de souffrances.
Depuis, les hommes et les femmes errent à la recherche du paradis perdu mais sans en connaitre le chemin.

« L’amour est ainsi. On le mime sans y réfléchir, mais son mystère n’est élucidé que par une infime minorité d’êtres. Très peu pénètrent le sens de l’amour, de la véritable signification de l’union sexuelle »JULIUS EVOLA

https://books.google.fr/books?id=08-e42cn_PsC&pg=PA261&lpg=PA261&dq=la+m%C3%A9thaphysique+dusexe+citations&source=bl&ots=7nXWtwb9B2&sig=ACfU3U2-C_wplGcE3VS-K-BdM5PtHB00NQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwifmdPr7tvnAhVFQBoKHXo3BesQ6AEwAnoECAkQAQ#v=onepage&q=la%20m%C3%A9thaphysique%20dusexe%20citations&f=false

Alors, l’homme et la femme se font la guerre. Dans ces formes, le contact avec les forces primordiales est rompu.
Une guerre de tranchées.

Pour les femmes, tu enfanteras dans la douleur.
Femmes tu es,tu dois accomplir ton destin, la procréation.

Pour les hommes, « Deviens un homme mon fils ».
C’est très dur d’être et de rester un homme, on leur fait faire la guerre, on leur demande d’assumer de devenir père,souvent contre leur gré. Mis devant le fait accompli et le regard de celles dont ils se croient aimer,ils courbent l’échine…acceptent ce jeu de dupes.
Les douces femmes épousées se révèlent rapaces à l’heure du divorce.
Elles deviennent des machines calculatrices. Je lui ai donné cela, il doit me le rendre au centuple.
Pension alimentaire, la panacée de ces nouveaux couples estampillés, made in mondialisation.
5 ans maximum. On leur demande de nourrir une famille qui s’agrandit souvent selon le désir de madame.

Les femmes contemplent leurs sexes… s’indignent qu’un homme ne sache pas où se trouve le secret de leurs orgasmes, s’émerveillent de leur pouvoir de donner la vie, et la mort en même temps.

Les hommes contemplent le symbole de leur virilité, le phallus qui doit rester érigé. La peur de la panne les hante. Ils acceptent les lois du Fight Club et se battent pour conserver une puissance illusoire et les objets de représentation qui vont avec.

La femme accepte la trahison, pour garder le mâle qu’elle a réussi conquérir, à enchaîner, selon la loi des devoirs à assumer et de la pitance assurée.
Les bourgeoises sont des putes ,prêtent à se farcir n’importe quel mec, pourvu qu’il puisse allonger les billets.

Une fois qu’elles l’ont capté, elles le suceront jusqu’à la moelle de ce qu’il pourra procurer.

Pourquoi croyez-vous que les hommes meurent plus vite que les femmes ?
A bout de souffle, coincés dans un couple qui au fil du temps devient un enfer… ils préfèrent franchir le pas et rejoindre l’île des morts. Là, ils seront tranquilles.

A qui profite le crime ? Cette guerre des sexes a pour but un « divide and conquer » nouveau  genre, « genré  » ! Du jamais vu sous cette forme dans l’histoire des civilisations. Oublié le troisième œil et l’ouverture des portes de la perception, voici venu le temps du troisième sexe. En voiture Simone !

De BEAUVOIR est mise au rancart, Le temps de l’Amour est cons-damné et son obsolescence programmée, en route pour le meilleur des Mondes !

Un fossé existe désormais entre les hommes et les femmes creusé au fil du temps par la loi coercitive des religions monothéistes, dont l’objectif premier est de les chasser de l’Eden, depuis la fable d’Eve et du serpent. Aussi je préconise, pour retrouver la joie Dionysiaque de lire Julius Evola, de soulever avec lui le voile d’ISIS : Retour à l’origine, à notre réelle nature, un homme est un homme, une femme est une femme, et c’est par la Grâce de ce qui les composent d’essence divine, qu’ils pourront au travers de leur union sexuelle, qui reprends ainsi son véritable sens celui du Sacré, à nouveau s’aimer. 

ANDERS

SOURCE :

https://avatardiffusion.com/livre/reserve-aux-insenses?v=de84b4c7ea37
https://www.facebook.com/Christine.Datnowsky/

EN BANDE SON :

6 réponses »

  1. (Nouvelle version)

    (Je n’ai pas encore lu « Métaphysique du sexe »). J’ai lu dans Wikipédia que « Évola voit dans l’histoire une vaste décadence continue, la perte de traditions, l’effondrement des valeurs viriles et le triomphe de la féminité ». Ma position est inverse: je vois dans l’histoire le maintien, la stabilité des valeurs féminines et l’effondrement des valeurs masculines.

    (Dans l’idéal, il ne s’agit pas selon moi d’une décadence mais d’une progression du chaos féminin vers le cosmos masculin, de la matière vers la forme, de la puissance vers l’acte, du paradis terrestre vers la Jérusalem céleste. Mais cet idéal étant inaccessible -comme tout idéal-, l’homme rate immanquablement(!) sa cible, et le cycle se termine sempiternellement par un âge du lupus(!) (alias âge de fer, kali-yuga, etc.), âge à la fin duquel nous nous trouvons actuellement.)

    Pour le métaphysicien-mathématicien René Thom l’acte fondateur est une séparation. Pour moi c’est l’acte fondateur masculin, alors que l’acte fondateur féminin (ou plutôt la puissance -l’énergie- fondatrice féminine) est une réunion. Ce qui fait pour moi la différence entre le combat darwinien usuel et le combat amoureux, c’est que dans le premier cas il y a un vainqueur et un vaincu alors que dans le second il y a synergie des deux combattants (symboliquement le gladiateur qui sépare et la rétiaire qui réunit).

    La catastrophe thomienne « fronce » de potentiel V(x)=x⁴ dont le déploiement est de codimension 2 modélise selon moi correctement le combat darwinien et la catastrophe de double fronce de potentiel W(x,y)=x⁴+y⁴, qui est un accouplement de deux fronces, et un bon candidat pour modéliser le combat amoureux. Ce qui est pour moi étonnant -et en un certain sens fascinant- c’est qu’il y a synergie entre les déploiements des deux fronces, car le déploiement de la double fronce est de codimension algébrique 8 (topologique 7), alors qu’on s’attend à un déploiement simplement de dimension 4. Thom retrouve la séparation masculine et la réunion féminine comme deux sections de ce déploiement de W. Mon intuition (je suis loin d’être à son niveau mathématique) c’est qu’il y a des raisons au delà de la physique moderne, des raisons métaphysiques (plus précisément mathématiques) qui éclairent -et peut-être expliquent- le mystère du combat amoureux comme se passant dans un espace-temps supra-humain -métaphysique- de dimension 7¹ au lieu de notre espace-temps humain -physique- de dimension 4.

    ¹ La codimension 7 (topologique) du déploiement de la double fronce aurait-elle un rapport avec la montée au septième ciel?

    Remarque finale: la théorie thomienne des catastrophes est une théorie de l’analogie. Exactement ce dont a besoin Évola:

    « Ainsi, ce que nous appelons «méthode traditionnelle «est, en général, caractérisée par un double principe; ontologiquement et objectivement, par le principe de la correspondance, qui assure une corrélation fonctionnelle essentielle entre des éléments analogues, les présentant comme de simples formes homologues d’un sens central unitaire; épistémologiquement et subjectivement, par l’emploi généralisé du principe d’induction, qui doit être compris ici comme l’approximation discursive d’une intuition spirituelle, dans laquelle se réalise l’intégration et l’unification, en un sens unique et en un principe unique, des divers éléments confrontés. » (Révolte contre le monde moderne, p.16)

    • @jc,

      Il y a une constante chez tous les matheux et autres grands scientifiques qui devrait nous interpeller, leur foi en une dimension supérieur, voir différente de la notre… C’est une expérience magique que de toucher du doigt l’impalpable…

      La sexualité et l’état amoureux ont évidement plusieurs facettes et restent une source inépuisable autant de notre bêtise contemporaine comme de notre épanouissement… au même titre qu’un simple brin d’herbe peut défier la physique des physiques…

      La magie dans la vie, son improbabilité proche de l’infini, nous permet d’appréhender ce phénomène sans l’expliquer pour autant ! Comme si cette dimension ou ces dimensions ne nous appartenaient pas…tout en les possédants! Cela dépasse l’intuition, c’est, à mon sens, un fait, mais à chacun ses expériences.

      ————————

      La Fed a bien baisser ses taux directeurs proches de zéro, comme prévu… sans résultats probants, pour le moment. Seul certitude, ce n’est pas LE vaccin contre notre corona-virus.

      Pire, pendant les palabres, la situation se dégrade et le rouge vif devient écarlate. La colère des dieux contre nos tristes démons en quelques sortes.

      Il est temps de dessiner un nouveau tableau, avant de trouver son cadre… Et pourtant c’est l’inverse qui se trame.

  2. « Ainsi agité par la Parole, une jolie coquille vide, tel que le concept de patriarcat relève, dans une société pseudo-matriarcale comme la nôtre, de l’argutie fallacieux et paradoxal ; Un peu comme parler de menace fasciste dans un environnement qui le suinte déjà par tous ses pores, fait office de pure excitation neuronale. Car à défaut de trouver une réalité tangible dans les faits, la menace fasciste n’en est déjà plus une, elle s’est muée en quotidien pour se révéler au grand jour. »

    https://www.facebook.com/LAntiMedia/photos/a.580630765422467/1628164727335727/?type=3&theater

  3. Au nom du pèze, du fric et du juste prix…

    Nous sommes le Vendredi 13 Mars 2020 sur la planète Terre. Calmos pépitos. La fête n’a pas commencé. Ce n’est même pas la répétition générale ! Et ce n’est pas un micro-organisme, aussi virulent soit-il, qui affole notre microcosme.

    Non, non ! c’est juste quelques trillons virtuels qui n’apparaissent plus sur les écrans. Rien de bien méchant, pour le moment et ils reviendront très vite dés que le bug sera corrigé. Le papier toilette commence à disparaître, c’est une très bonne nouvelle, mais il représente toujours quelques aller-retours terre-lune en quadrillions d’épaisseurs.

    Il y a de la marge…sauf pour le réel.

    Les taux négatifs, ce n’est pas réel… Mercredi prochain les taux US seront probablement proche de zéro, et là, c’est une première pour les cow-boy US… Nous, nous avons plus de cinq ans d’avances !

    La dette à l’infini, ce n’est pas réel, c’est juste une hypothèque spéculative de notre réel. Un outil de domination virtuel qui fonctionne à merveille pour les inconscients que nous sommes. Vous n’avez même pas besoin de signer en bas de la page, nos responsables le font pour nous et nos descendances.

    Et paf, un tout petit virus vient foutre son bordel chez tous les bons vivants, donc la prochaine solution et de faire payer les morts ! En gros, nous allons recevoir un salaire avec de l’argent virtuel pour payer la dette que nos ancêtres nous ont laissé.

    Quand c’est gratos, c’est nous qui l’avons dans l’os !

    Je ne suis pas sure de me bien me faire comprendre, il ne s’agit plus de sortir du cadre et encore moins d’en changer, sinon c’est la guerre…enfin, la grande fête avec feux d’artifices pour tous.

    – Dits, Papy, c’est quoi la richesse ?

    – La richesse, mon enfant, c’était toi…

  4. Au commencement était LE VERBE et le Verbe était en Dieu mais non en l’Homo Erectus.
    Au commencement était « La Guerre du Feu ».
    La sexualité de l’animal homme prenait le haut du crâne et par le bas du ventre s’écoulait.
    La sexualité de l’animal femelle était dédiée à produire un œuf ou plusieurs; pérennisation de l’espèce comme chez tous les animaux.
    Les premières tribus qui surent parler approfondirent les liens sociaux et mirent le mot « Amour » dans leurs caboches, confondant celui-ci avec l’ancien nommé « Désir ».
    Ils palabrèrent encore et encore, dévisant sur l’amour sans en comprendre les moindres méandres et, donc, sans jamais l’approcher.
    Ce qu’ils croyaient avoir découvert fut, bien plus tard traduit en insanités; insanités vociférées et écrites par les religieux; religieux qui déjà trahissaient la simple idéee ou authencicité de Dieu tout en créant une oligarchie castratrice et esclavagiste.
    Comme quoi, le silence est vraiment d’or!
    Désirer devenait donc péché mortel, les accouplements ne devant servir qu’à la reproduction.

    La femme devenait donc un Être impur qui croqua la pomme pour aujourd’hui nous casser les couilles quand elle ne croque pas le michton et son pognon.
    Jean Clopinel, dit Jean de Meung, auteur de la seconde partie du Roman de la Rose écrivait:
     » Toutes, vous autres femmes – … – Vous êtes, vous serez, vous fûtes – De fait, ou de volonté, putes. ». Propos qui n’engagent que son auteur, je précise.
    Mais quid de l’homme? Le patriarcat du mâle dominateur prenait forme, forme qui aujourd’hui n’est qu’évanescence. Evolution? Involution? Justice?
    Je n’aurais pas la prétention de répondre à ces questions quasi métaphysiques.
    La femelle se masculinise, le mâle se féminise; bienvenue à l’ére du matriarcat et du genre!
    Les rôles s’inversent sans effleurer le fondement même de la bestialité humaine.
    L’une n’est pas supérieure à l’autre et réciproquement, mais la complémentarité est devenue adversité.
    Les palabres devenus houleux n’ont jamais cessé; aucune compréhension n’en n’est jamais sortie. Le verbe humain n’est que babillements qui dénaturent les réalités et borborygmes quand il y a accouplement.
    Les animaux non humains ont de la chance: ne sachant pas parler, ils ne peuvent débiter de conneries. Ils ont les capacités de l’Amour absolu.
    Nous avons beaucoup à apprendre d’eux!

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