1984

Plandemic : Comprendre l’affaire du coronavirus CoV19 passe par comprendre ce qu’est Big Pharma… au début était Rockefeller…

Comprendre l’affaire du coronavirus CoV19 passe par comprendre ce qu’est Big Pharma… au début était Rockefeller…

“Progrès médical : La profession médicale est seulement en train de concéder que peut-être, mais alors juste peut-être, que la nutrition a quelque chose à voir avec une bonne santé. Et aussi peut–être, juste peut-être, que l’esprit est connecté avec le corps. Bien entendu, il n’y a pas beaucoup de fric à faire avec ce genre de raisonnement..”
~ George Carlin, 1997 ~

PLANDEMIC, un film sur le plan mondial pour prendre le contrôle de nos vies, santé et liberté.

W0K3  lien vers le documentaire

«À PROPOS DU FILM L’humanité est emprisonnée par une pandémie meurtrière. Des gens sont arrêtés pour avoir surfé dans l’océan et médité dans la nature. Les nations s’effondrent. Les citoyens affamés font des émeutes pour se nourrir. Les médias ont généré tellement de confusion et de peur que les gens implorent le salut dans une seringue.

Des propriétaires de brevets milliardaires font pression pour des vaccins obligatoires à l’échelle mondiale. Quiconque refuse de se faire injecter des poisons expérimentaux se verra interdire les voyages, l’éducation et le travail. Non, ce n’est pas un synopsis pour un nouveau film d’horreur.

Telle est notre réalité actuelle.

Revenons sur la façon dont nous sommes arrivés ici … Au début des années 1900, le premier milliardaire américain, John D. Rockefeller, a acheté une société pharmaceutique allemande qui aiderait plus tard Hitler à mettre en œuvre sa vision basée sur l’eugénisme en fabriquant des produits chimiques et des poisons pour la guerre.

Rockefeller voulait éliminer les concurrents de la médecine occidentale, il a donc soumis un rapport au Congrès déclarant qu’il y avait trop de médecins et d’écoles de médecine en Amérique et que toutes les modalités de guérison naturelles étaient du charlatanisme non scientifique.

Rockefeller a appelé à la normalisation de l’enseignement médical, selon laquelle seule son organisation serait autorisée à accorder des licences de faculté de médecine aux États-Unis. C’est ainsi qu’a commencé la pratique des médicaments immunosuppresseurs, synthétiques et toxiques. Une fois que les gens étaient devenus dépendants de ce nouveau système et des drogues addictives qu’il fournissait, le système est passé à un programme payant, créant ainsi des clients à vie pour les Rockefeller.

Actuellement, l’erreur médicale est la troisième cause de décès aux États-Unis. L’arme secrète de Rockefeller vers le succès était la stratégie connue sous le nom de «solution-réaction-problème». Créez un problème, augmentez la peur, puis proposez une solution pré-planifiée. Semble familier?

Flash en avant à 2020… Ils l’ont appelé COVID19. Nos dirigeants de la santé mondiale ont prédit que des millions de personnes mourraient. La garde nationale a été déployée. Des hôpitaux de fortune ont été construits pour soigner un débordement massif de patients. Des fosses communes ont été creusées. Des reportages terrifiants ont fait partout des gens chercher refuge pour éviter de se connecter.

Le plan se déroule avec précision.

Comment Rockefeller créa la médecine moderne et annihila les remèdes naturels

Chris Kanthan Mai 2020, première publication 2015

Source: https://www.globalresearch.ca/how-rockefeller-founded-modern-medicine-killed-natural-cures/5711818

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

De nos jours, les gens vous regardent comme un frapadingue si vous parlez des propriétés curatives des plantes et de toute autre pratique holistique. Comme pour beaucoup d’autres choses, il y a bien du fric et de la (sale) politique derrière notre système médical moderne.

Tout commence avec John D. Rockefeller (1839 ~ 1937) qui était un magnat du pétrole, un baron voleur, le premier milliardaire américain et un monopoliste né.

A l’aube du XXème siècle, il contrôlait 90% des raffineries de pétrole aux Etats-Unis au travers de sa compagnie pétrolière de la Standard Oil, qui fut plus tard divisée en différentes branches pour devenir Chevron, Exxon, Mobil etc…

Dans le même temps, vers 1900, des scientifiques découvrirent la “pétrochimie” et la capacité de créer toutes sortes de produits chimiques à partir du pétrole. Par exemple le premier plastique, appelé bakelite, fut dérivé du pétrole en 1907. Des scientifiques découvrirent aussi différentes vitamines et postulèrent que bien des médicaments pharmaceutiques pourraient être dérivés du pétrole.

Ceci fut une excellente opportunité pour Rockefeller qui vit la capacité de monopoliser le pétrole et les industries chimiques et médicales dans le même mouvement ! Ce qui était excellent avec les produits de la pétrochimie et que tout pouvait être mis sous patente et vendu avec un très haut profit.

Mais il y avait un problème avec le plan de Rockefeller concernant l’industrie médicale et pharmaceutique : les médecines naturelles et aux herbes médicinales étaient très populaires à cette époque aux Etats-Unis. Près de la moitié des médecins et des écoles de médecine aux Etats-Unis pratiquaient la médecine holistique utilisant une connaissance en provenance à la fois d’Europe et des peuples natifs du sous-continent.

Rockefeller le monopoliste dût réfléchir sur le comment se débarrasser de sa concurrence la plus importante ; il utilisa alors la stratégie classique du “problème-réaction-solution” ; c’est à dire de créer un problème pour faire peur aux gens, puis offrir une solution déjà toute prête (comme la peur du terrorisme suivie et “solutionnée” par la solution toute prête et empaquetée du “Patriot Act” en 2001…)

Il alla vers son grand pote Andrew Carnegie, un autre de ces ploutocrates qui fit fortune lui en monopolisant l’industrie de l’acier. Celui-ci mit alors en place un schéma. De la prestigieuse Fondation Carnegie, ils envoyèrent un homme du nom d’Abraham Flexner à travers le pays pour qu’il fasse un rapport complet sur le statut des écoles de médecines et des hôpitaux aux Etats-Unis.

Ceci résulta dans le “rapport Flexner”, qui donna naissance à la médecine moderne telle que nous la connaissons. Il va sans dire que le rapport parlait de la nécessité de réformer et de centraliser nos institutions médicales. Sur la base de ce rapport, bientôt plus de la moitié des écoles/facultés de médecine furent fermées.

L’homéopathie et les médecines traditionnelles aux herbes médicinales devinrent la risée et furent diabolisées et certains médecins furent même jetés en prison.

(NdT:pour ceux de nos lecteurs qui ont aujourd’hui plus de 50 ans, qui ne se rappelle pas de son pharmacien de quartier ou de village qui avait son “labo” derrière la boutique et qui faisait et vendait ses propres décoctions herbales et médicinales. Bien des pharmaciens à l’époque était aussi des herboristes. Le diplôme d’herboriste fut supprimé en 1941 sous le régime de Vichy acoquiné bien entendu avec la grosse industrie chimique et IG Farben en particulier puisque la même année l’industrie chimique française Francolor passe sous contrôle de la très nazie IG Farben. Mais bien des pharmaciens après la guerre continuaient à faire leur propres médicaments le plus souvent dérivés des plantes…)


John D. Rockefeller,
père du complexe médico-pharmaceutique

Pour aider à la transition et pour changer le mode de pensée des autres médecins et scientifiques, Rockefeller donna plus de 100 millions de dollars (NdT : à l’époque !!…) aux universités et aux hôpitaux et fonda un groupe vitrine philanthropique appelé le “General Education Board” (GEB). Ceci représente la classique approche de la carotte et du bâton.

En très peu de temps, les écoles/facultés de médecine furent misent au pas et homogénéisées. Tous les élèves y apprenaient la même chose et la médecine n’était plus qu’une question de prescription de médicaments dûment patentés.

Les scientifiques commencèrent à recevoir d’énormes fonds de recherche pour savoir comment les plantes guérissaient les maladies, mais leur but était d’identifier les composants chimiques effectifs de la plante, puis de recréer un processus chimique similaire, mais pas identique, en laboratoire, qui pourrait être patenté. Ainsi naissait la grande recherche des “molécules” synthétiques qu’on pouvait patenter à souhait.

Une pilule pour un malade ‘(“a pill for an ill” en anglais) devint le mantra de la nouvelle médecine.

Et vous pensiez que les frères Koch étaient de mauvais garçons ?…

Nous produisons donc, 100 ans plus tard, des docteurs à la chaîne qui ne savent absolument rien des bénéfices de la nutrition ou des herbes ou de la pratique holistique. Nous avons une société entière qui est enchaînée à la “sagesse” entrepreneuriale pharmaceutique pour son bien-être.

Les Etats-Unis dépensent quelques 15% de leur PIB dans la santé, qui n’est en fait que de la gestion de pathologie. Rien n’est focalisé sur la guérison, mais sur le traitement des symptômes, créant ainsi une énorme base de clients dont l’industrie médico-pharmaceutique ne fait que tirer une rente (NdT:ceci n’est pas unique aux Etats-Unis, c’est partout pareil dans le monde occidental). Il n’y a pas de thérapies réellement curatives pour le cancer, le diabète, l’autisme, l’asthme, ni même la grippe.


… Aujourd’hui Fondation Rockefeller et ExxonMobil

Pourquoi du reste devrait-il y avoir une guérison des maladies ? Ce système a été fondé, agencé et remodelé par des oligarques et des ploutocrates et non pas par des médecins ayant pour but la guérison et la santé publique réelle.(NdT: qui passe essentiellement par la PREVENTION et non pas par la guérison. On pourrait même dire que si un médecin doit guérir un malade, c’est parce qu’il/elle, le système médical, a échoué à prévenir la pathologie. Ne dit-on pas dans la sagesse populaire “Mieux vaut prévenir que guérir” ? Est-ce un hasard ?… Alors certes tout n’est pas prévisible, mais sans doute pas loin de 90% l’est, quand on connaît la relation naturelle de notre corps à l’environnement… Comme nous le disons toujoursretirez l’étiquette de prix sur tout et tout le monde y verra de suite bien plus clair. C’est l’évidence même.)

Quant au cancer, ah oui, l’American Cancer Society fut fondée par personne d’autre que… Rockefeller en 1913

En ce mois de cancer du sein, il est bien triste de voir tant de gens endoctrinés sur la chimiothérapie, la radiation (au cobalt) et sur la chirurgie. Nous en reparlerons bientôt… mais pour terminer, voici une citation de John D. Rockefeller qui résume parfaitement bien sa vision de l’Amérique tirée d’une déclaration qu’il fit lors de l’inauguration de son General Education Board:

“Je ne veux pas d’une nation de penseurs, mais d’une nation de travailleurs…”

Tout est dit.

1 réponse »

Laisser un commentaire