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Étude : Le confinement « détruira au moins sept fois plus d’années de vie humaine » qu’il n’en sauve Par Paul Joseph Watson

Étude : Le confinement « détruira au moins sept fois plus d’années de vie humaine » qu’il n’en sauve

« Probablement plus de 90 fois plus. »

Une étude a révélé que l’ordre de confinement « rester chez soi » aux États-Unis « détruira au moins sept fois plus d’années de vie humaine » qu’il n’en sauve et que ce chiffre est « probablement » plus de 90 fois supérieur.

Comme nous l’avons souligné à maintes reprises, le coût incalculable du confinement en termes de maladies graves non traitées et d’impact sur la santé mentale ne sera pas entièrement connu avant des années, mais le débat sur la question a été limité dans les médias grand public.

Une nouvelle étude révèle aujourd’hui que le stress et l’anxiété débilitants causés par le confinement, y compris les bouleversements provoqués par les énormes pertes d’emploi, pourraient entraîner une pléthore de problèmes de santé négatifs qui auront un coût global en vies humaines bien plus élevé que le nombre de vies sauvées par le confinement.

« Sur la base d’un large éventail de données scientifiques, Just Facts a calculé que l’anxiété créée par les réactions au Covid-19 – telles que les ordonnances de séjours à domicile, les fermetures d’entreprises, les exagérations des médias et les préoccupations légitimes concernant le virus – détruira au moins sept fois plus d’années de vie humaine que ce qui peut être sauvé par les mesures de confinement visant à contrôler la propagation de la maladie. Ce chiffre est un strict minimum, et le chiffre réel est probablement plus de 90 fois plus élevé. »

Les recherches montrent qu’au moins 16,8 % des adultes aux États-Unis ont subi « des dommages mentaux majeurs à cause de réactions au Covid-19 ».

En extrapolant ces chiffres, les chiffres montrent que « l’anxiété due aux réactions au Covid-19 a touché 42 873 663 adultes et leur dérobera en moyenne 1,3 années de vie, détruisant ainsi 55,7 millions d’années de vie ».

Cela contraste avec « un maximum de 616 590 vies (qui) pourraient être sauvées par les confinements actuels, et la maladie vole en moyenne 12 années de vie à chacune de ses victimes, ce qui signifie que les confinements actuels ne peuvent pas sauver plus de 7,4 millions d’années de vie ».

Ce chiffre multiplié par sept est une estimation massivement prudente qui minimise l’impact des conséquences négatives du confinement et maximise le nombre de vies touchées par le confinement.

« Dans les scénarios les plus modérés, l’anxiété détruira plus de 90 fois la vie sauvée par le confinement », indique l’étude.

L’étude énumère un certain nombre de raisons pour lesquelles le confinement a augmenté l’anxiété et la dépression, dont le rôle des médias dans l’exagération du caractère mortel de COVID-19 et « l’utilisation de faux dénominateurs qui exagèrent son taux de mortalité ».

« Cette recherche est engageante et répond de manière approfondie à la question de savoir si le remède est pire que la maladie », a conclu Joseph P. Damore, Jr, M.D., qui a examiné l’étude.

Comme nous l’avons souligné précédemment, les psychiatres ont rédigé 86 % de prescriptions supplémentaires de médicaments psychotropes, y compris des antidépresseurs, pendant les mois de confinement de mars et avril par rapport à janvier et février.

Source : Summit News – Traduit par Anguille sous roche

« Comme cela était prévisible, le confinement imposé par la Covid-19 a amplifié les consommations d’alcool et de tabac ; la « puissance publique » ayant laissé ouverts les débits de tabac et les magasins vendant des boissons alcooliques. Ces consommations en milieu confiné ont contribué au recrutement de nouveaux consommateurs ; elles ont ramené à ces drogues plusieurs de ceux qui, au prix de gros efforts, s’en étaient presque détachés ; elles ont vraisemblablement accru le tabagisme passif (à l’origine de 3.000 morts annuelles dans notre pays) ; elles ont, par la désinhibition alcoolique et l’ivresse, provoqué des violences conjugales et familiales. Enfin, le « déconfinement » lui-même a été l’occasion de grandes libations.

L’Agence nationale de sécurité du médicament avait mis en garde contre les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ainsi que les corticoïdes anti-inflammatoires. Ces médicaments, en affaiblissant la réponse immunitaire qu’oppose l’organisme à l’invasion virale, sont susceptibles d’aggraver la Covid-19. D’une façon incompréhensible, en France, pays d’Europe le plus grand consommateur de cannabis comme le rapporte France Info, la mise en garde n’a pas englobé cette drogue qui, pourtant, déprime l’immunité. Serait-ce parce que le nouveau ministre de la Santé, Olivier Véran, encore député quelques semaines auparavant, se faisait, à l’Assemblée nationale, le héraut du « cannabis thérapeutique » ?

Le cannabidiol/CBD, promu dauphin du tétrahydrocannabinol/THC, a été hâtivement paré d’une douzaine d’effets à prétentions thérapeutiques. N’y suffisant pas, il s’est vu, tout extemporanément, doté d’une efficacité « remarquable » contre la Covid-19.

La nicotine du tabac vient d’être présentée comme protectrice vis-à-vis du coronavirus. Il est pourtant évident que les produit de combustion du tabac – les goudrons (irritants pour l’appareil respiratoire) et l’oxyde de carbone (qui perturbe le transfert de l’oxygène (O2) des poumons vers les tissus) – joints à l’état délabré des poumons des fumeurs ne peuvent qu’aggraver les conséquences de l’infection par le coronavirus ; mais qui l’a dit ?

Les craintes légitimes que suscite la Covid-19 sont l’occasion de comparer la létalité dont elle est responsable à celle résultant des toxicomanies. La coronavirose sera responsable, en France, de beaucoup moins de décès que les 120.000 imputables au tabac et à l’alcool (75.000 + 45.000).

 Seule l’Académie nationale de médecine a effectué une telle comparaison dans un de ses communiqués. N’est-ce pas, aussi, l’occasion de souligner que les handicaps qu’endureront ceux qui ne mourront pas de ces deux drogues seront très supérieurs à ceux qui résulteront des formes non létales de l’infection virale. Ces éléments de communication rassureraient les plus anxieux à propos de cette dernière et seraient une pédagogie opportune en direction des alcoolo-tabagiques sur le mode : « Vous avez peur de mourir de cette grave infection ? Alors soyez encore plus attentifs à vous préserver des toxicomanies qui sont les toutes premières causes de morts évitables. »

Les habituels pétitionnaires en faveur des drogues et pour la légalisation du cannabis ont ressurgi. Essayant, sans vergogne, de tirer parti du drame des seniors qui ont payé un lourd tribut au coronavirus, ils demandent au gouvernement, avec des trémolos dans la voix, d’autoriser dans les EHPAD le recours au cannabis : « Nous le devons bien à celles et ceux qui ont déjà payé un si lourd tribut à la pandémie et qui vivent dans l’angoisse ou le désespoir. » Forçant à peine le trait, traduisons : ne pourrait-on pas « shooter » nos vieux ? »

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