COVID-19

Au secours ils sont fous ! Les manifestants ne risquent pas d’être contaminés par le #coronavirus, disent les médecins

Les experts de la santé publique viennent de saper leur crédibilité en allant contre leurs propres arguments en faveur du confinement contre le coronavirus chinois.

Les manifestations qui ont suivi le meurtre présumé de George Floyd ont mis les responsables de la santé publique, qui n’ont cessé de s’insurger contre les manifestations anti-confinement, dans une position insoutenable pour toute personne qui a encore la tête sur les épaules. Il en reste, peu mais il en reste.

Ils ont appelé à un arrêt sur la plupart des types d’activités publiques, événements sportifs, concerts, salles de cinéma, et manifestations de rue, et plus particulièrement sur les rassemblements de grandes foules où la proximité accrue est un risque élevé de propagation du coronavirus à des groupes entiers de personnes.

Mais en ce qui concerne les manifestations contre les brutalités policières supposées (lesquelles ne sont pas validées par les statistiques, lire mon dernier article sur le sujet), de nombreux experts médicaux tentent d’expliquer qu’il peut y avoir une exemption à la logique de confinement contre la pandémie. Les Français connaissent cela, avec le nuage radioactif de Tchernobyl qui s’est « arrêté à la frontière ».

Pour l’occasion, plus d’un millier d’experts de la santé publique se sont ridiculisés en signant une lettre ouverte, déclarant spécifiquement – je mentionne la source (1) car vous n’allez pas me croire :

 » Nous ne condamnons pas ces rassemblements comme présentant un risque de transmission du COVID-19. Nous les soutenons comme étant vitaux pour la santé publique nationale et pour la santé menacée, en particulier celle des Noirs aux États-Unis ».

Les experts se sont tellement tortillés pour justifier l’injustifiable, qu’ils reconnaissent en même temps qu’ils le nient, que les manifestations de masse comportent le risque de propagation du coronavirus. Pour cela, ils donnent des conseils totalement naïfs aux manifestants et aux émeutiers : porter des masques, rester chez soi si on est atteint du coronavirus, et le meilleur : essayer de se tenir à un mètre des autres manifestants !

De quelle réalité virtuelle ces experts en santé publique parlent-ils ? Ils n’ont pas vu les manifestations ? Ils n’ont pas vu les émeutes ? Ce sont des conditions qu’ils savent impossibles à appliquer pour les manifestants.

Mais il y a pire, et je vous l’ai gardé pour la fin

Après avoir dit que les rassemblements pour George Floyd ne présentent pas de risque de transmission, ils affirment qu’en revanche, ceux contre le confinement, de plus en plus nombreux et qui ont été très critiqués par les médias et les experts en santé, représentent un grand danger de transmission du coronavirus.

La lettre distingue les manifestants violents contre la police des « blancs qui résistent aux ordres de rester chez eux » :

Le 30 avril, des manifestants lourdement armés et majoritairement blancs ont pénétré dans le bâtiment du Capitole de l’État à Lansing,
Michigan, protestant contre les ordres de confinement et appelant à un masquage public généralisé pour empêcher la propagation de
COVID-19.

Les médecins spécialistes des maladies infectieuses et les responsables de la santé publique ont publiquement condamné ces actions et
déploré en privé le fossé grandissant entre les leaders de la science et le sous-ensemble des communautés qu’ils servent.

Le 30 mai, nous assistons à des manifestations continues en réponse au racisme institutionnel mortel déclenché par les meurtres de George Floyd et de Breonna Taylor, parmi beaucoup d’autres Noirs,
dont les vies ont été prises par la police.

Une réponse de santé publique à ces manifestations est également justifiée, mais ce message doit être totalement différent de la réponse aux manifestants blancs qui résistent aux ordres de rester chez eux.

Le discours des experts de santé publique concernant les manifestations contre le racisme doit être explicitement antiraciste, et les experts en maladies infectieuses doivent être clairs et cohérents en donnant la priorité aux messages antiracistes.

Le suprématisme blanc est un problème de santé publique mortel qui est antérieur et contribue au COVID-19.

Comme si le virus pouvait faire la différence entre les deux types d’événements. Bien que je ne sois pas médecin, je ne pense pas prendre de risque important en affirmant que ce n’est probablement pas le cas.

La seule chose qui devrait importer aux médecins est de se souvenir de leurs recommandations pour réduire les risques de contamination. Ca ne devrait pas être très difficile, cela date d’il y a seulement 15 jours : interdiction des événements de plus de 10 personnes, est-ce que l’événement est en plein air ou dans un espace confiné, les gens portent-ils des masques, respectent-ils une distance de 2 mètres, etc.

Slate, complètement déjanté

Cerise sur le gâteau, ils sont tellement bêtes chez Slate, qu’un de leurs auteurs à écrit (2) que « les experts en santé publique disent que la pandémie est exactement la raison pour laquelle les manifestations doivent continuer ».

Son argument – accrochez-vous bien – est que le coronavirus est plus mortel pour les Noirs à cause du racisme systémique, et que protester contre le racisme systémique est une sorte de traitement médical. Le professeur Raoult aurait pu y penser.

Si vous comprenez ce que dit cette idiote, Shannon Palus, faites-moi signe.

© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

  1. https://drive.google.com/file/d/1Jyfn4Wd2i6bRi12ePghMHtX3ys1b7K1A/view
  2. https://slate.com/technology/2020/06/protests-coronavirus-pandemic-public-health-racism.html

 

Manifs et fin du virus : « Au moins un indice nous amène à penser que les informations sur les émeutes aux États-Unis sont profondément déformées: les manifestations ont annulé le Covid-19. Si, jusqu’à la semaine dernière, sortir seul pour faire son jogging ou aller à la messe était considéré comme un acte d’irresponsabilité très grave (et que protester contre le lockdown était pratiquement un acte de guerre), les dizaines de milliers de manifestants masqués et entassés de cette semaine ne causent aucun scandale. Que disent les médecins et les experts? Dans ce cas, ils sympathisent avec les manifestants: dans une lettre ouverte signée (à ce jour) par 1288 médecins, travailleurs de la santé et représentants de la communauté, les experts soulignent l’importance de la protestation, malgré le virus. Car, selon eux : « Le suprématisme blanc constitue un problème de santé qui précède et contribue au Covid-19 ».

Tyler Durden : « l’autorité morale des fétichistes du verrouillage est révolue. Merci aux émeutiers…avec un nombre beaucoup plus grand de manifestants composant de plus grands groupes, nous n’entendons aucun moralisme noble venant des médias ou des amateurs de verrouillage sur les réseaux sociaux. » Mais cela n’empêchera pas nos pasteurs du nouvel ordre mondial de recommencer…de resquiller…de prétexter…de pinailler…de provoquer…CE VIRUS MORT MONTRE LEUR PUISSANCE PAS LEUR FAIBLESSE.

Oui, George Soros a envoyé de l’argent pour financer les émeutes – et les contribuables aussi

Depuis que les protestations se sont transformées en émeutes suite à la mort de George Floyd en garde à vue à Minneapolis, des rumeurs ont circulé selon lesquelles George Soros et son Open Society Foundation devaient être impliqués.


Après tout, l’OSF a financé Black Lives Matter en 2015. Il n’a pas fallu longtemps pour révéler les liens financiers avec les émeutes actuelles et pour montrer que l’OSF et George Soros soutiennent directement le mouvement aujourd’hui. Les subventions financées par le contribuable et reçues en conjonction avec le financement de Soros sont particulièrement exaspérantes.

Daniel Bice du Milwaukie Journal-Sentinel rapporte qu’un groupe appelé Freedom, Inc. a reçu des subventions du ministère de la justice du Wisconsin :

Cette organisation à but non lucratif basée à Madison a plaidé pour la libération de tous les Afro-Américains de prison et le financement des services de police. Quant aux protestations actuelles, les dirigeants du groupe affirment que « toutes les actions contre la violence raciste de l’État sont justifiées ».

« Arrêtez de tuer des Noirs, et votre fenêtre sera en sécurité », a déclaré Monica Adams, co-directrice exécutive de Freedom Inc. alors qu’elle dirigeait la troisième journée de manifestations policières dans la capitale de l’État, lundi.

« Remerciez tous les jeunes combattants de la liberté qui étaient dans les rues pour se battre (dimanche) dans la nuit et samedi soir », a déclaré Mahnker Dahnweih, coordinateur de la construction du pouvoir communautaire pour Freedom Inc. « Chaque action est une contribution à la libération. »

Alors où un groupe comme celui-ci trouve-t-il l’argent dont il a besoin pour promouvoir son programme ?

Une grande partie de l’argent vient de vous.

Les archives montrent que l’État a accordé des contrats et des subventions d’une valeur de 3,6 millions de dollars à Freedom Inc. qui défend les communautés minoritaires et LGBTQ, au cours des cinq dernières années.

Cela inclut 876 674 dollars de subventions fédérales accordées par le ministère de la justice de l’État depuis janvier 2019, date à laquelle le procureur général Josh Kaul a pris ses fonctions. Le ministère de l’enfance et de la famille a versé 732 403 dollars à Freedom Inc. sous le gouvernement de Tony Evers au cours des dernières années.

M. Bice exprime sa juste indignation face à un groupe radical qui utilise l’argent des contribuables pour plaider en faveur de l’abolition pure et simple des forces de police, et qui utilise cet argent pour organiser des émeutes et des pillages :

Le sénateur d’État Steve Nass, un républicain de Whitewater, a déclaré qu’il craignait que l’argent des taxes d’État ne serve à financer le programme politique « radical » de Freedom Inc. Il a demandé au gouverneur et au procureur général, tous deux démocrates, d’enquêter.

« Les contribuables du Wisconsin ne devraient financer aucun groupe qui soutient les émeutes, les pillages et les actions visant à terroriser les citoyens par la violence de rue », a déclaré M. Nass.

« Le gouverneur Evers et le procureur général Kaul ont le devoir de déterminer que les subventions qu’ils ont accordées à ce groupe extrémiste ne sont en aucun cas utilisées pour subventionner la violence des rues de ces derniers jours. »

Il n’y a pas que Nass, cependant, qui a été contrarié par les paroles et les actions de Freedom Inc.

John “Sly” Sylvester, un présentateur de radio libéral pour WIBA-FM (101.5), s’en est pris à Adams et son groupe pour avoir bloqué pendant huit heures John Nolen Drive à Madison lundi.

« Adams, qui porte un tee-shirt “I hate pigs”, appelle à l’élimination totale de nos forces de police », a écrit M. Sylvester sur Facebook. « Elle a également dit que vos fenêtres seront sécurisées quand nous aurons fait notre choix. Je suis un combattant pour tous les travailleurs, y compris les policiers. »

Une plongée dans les finances de Freedom, Inc. révèle également un lien direct avec l’OSF. Une organisation qui a accordé des subventions à Freedom, Inc. est Borealis Philanthropy.

Borealis Philanthropy a annoncé en janvier la création du Black Led Movement Fund (BLMF). L’annonce précise, entre autres, que :

Depuis son lancement en 2016, le BLMF a investi environ 3 millions de dollars dans le soutien général au fonctionnement des organisations participant à M4BL, dans les ressources de renforcement du leadership et des capacités organisationnelles pour les organisations dirigées par des Noirs, dans le financement de la réponse rapide pour répondre aux besoins urgents des communautés noires et dans le financement de l’écosystème M4BL pour soutenir la stratégie collective et le renforcement du pouvoir.

Au cours de ce cycle d’octroi de subventions, le Fonds a également accordé 60 000 dollars de petites subventions à des organisations qui font un travail important dans les communautés noires, afin de les soutenir dans leur travail en cours.

Le BLMF est un effort de collaboration entre la General Service Foundation, le Linked Fate Fund de la Common Counsel Foundation, le Moriah Fund, l’Open Society Foundation, l’Overbrook Foundation, le Women Donors Network, un fonds à vocation de donateur de la Tides Foundation, un fonds à vocation de donateur du NY Community Trust et des donateurs anonymes. Pour en savoir plus sur le BLMF et rejoindre la collaboration des donateurs, veuillez contacter blmf@borealisphilanthropy.org.

L’Open Society Foundation de George Soros figure en bonne place parmi les organisateurs et les principaux donateurs de ce programme. On y trouve également la Tides Foundation, qui a créé l’organisation nationale et le mécanisme de financement autour du mouvement Indivisible, qui s’est présenté comme le Tea Party de la gauche. Ils veulent organiser la résistance à Donald Trump en utilisant la tactique du « tea party ».

De nos jours, il semble que si vous enquêtez sur un groupe de protestation radical et violent, vous découvrez l’implication de George Soros, qui n’est qu’un membre d’un vaste réseau de donateurs milliardaires déterminés à détruire l’Amérique. Quelqu’un devrait écrire un livre à ce sujet.

Source : PJ Media – Traduit par Anguille sous roche

EN BANDE SON :

3 réponses »

  1. Délire démentiel mais vrai ! !!!!La vitesse de la fumisterie dépasse le mur du son
    et touches les cons…

Laisser un commentaire

En savoir plus sur Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading