Cela se passe près de chez vous

Billet féminin : pourquoi le néoféministes réduisent-elles la femme à un clitoris?

Ainsi, à Lyon, un groupuscule d’extrême gauche qui sans aucun humour s’appelle « Clit Liberation Front », mouvance « grand bon en arrière », a décidé de faire, paraît-il, de la « pédagogie » contre le vilain patriarche centré sur son sexe et donc – certainement – pour réhabiliter celui de la femme nouvelle, libérée de sa féminité, d’exposer des clitos. Ce processus pédagogique, devant dans ces esprits dérangés certainement rappeler les humanités formant alors les têtes blondes, a consisté en une opération visuelle du meilleur goût, décorant des bittes de stationnement en clitoris, sans oublier d’y ajouter quelques poils, pour ajouter une dimension érotique au pédagogique.

Et maintenant vous imaginez la sortie pour aller faire ses courses d’une famille progressiste. Le père non patriarche : tu vois ma chérie, dit-il à sa fille de 7 ans, c’est un clitoris, c’est très important, car la femme aussi doit jouir lors des rapports sexuels. Réponse de la fille : c’est quoi jouir? Le père : D’accord, pour continuer ton éducation progressiste, quand maman voudra jouir, tu viendras et tu regarderas, comme ça tu comprendras quels sont tes droits.

Ce serait une belle scène pédagogique, sorte de travaux dirigés des manuels scolaires aujourd’hui distribués dans nos écoles.

Car ne soyons pas aveugle, le progressisme néo-féministe n’a rien à voir avec la sacrosainte « égalité homme-femme », pas plus que ces manifestations Adame and Co n’ont de rapport avec le racisme. C’est une revanche, une destruction, une barbarie. Une prise de pouvoir. Les néo-féministes détestent les femmes, surtout celles qui sont bien dans leur peau – ce qui est somme toute fréquent pour leur plus grand désespoir. Elles détestent aussi les hommes, parce qu’elles n’en sont pas. Justement parce qu’elles ont un clitoris, qu’elles pissent assis et non pas debout. Elles n’ont pas besoin de la féminité, elles veulent, finalement, de manière primaire, presque bestiale, pisser debout. Ce qui pour elles est le symbole de la force. .

Ce qui est parfaitement illustré avec cette … chose :

Explications de « l’artiste » :

« Dans le flux continu du jet d’urine, il y avait l’idée que les petites filles aussi peuvent pisser dru, loin, et continûment. Et que cela, de façon ironique, peut se produire dans l’espace public où seules les urines masculines sont admises ! (…) Il y avait un caractère manifeste dans cette sculpture, qui est peut-être la plus narrative, la plus bavarde et la plus féministe que j’ai pu faire »

Cette grande oeuvre culturelle, avant Nantes, a quand même trouvé sa place au Jardin des Tuilleries … Il est vrai que sans décor grandiose, de l’époque patriarcale, ces choses sont encore plus ridicules. Combien de personnes se déplaceraient pour voir un truc pareil ? La quantité des bobos progressistes ne permettrait pas de garantir l’afflux. Il faut donc profiter du véritable cadre, qui lui déplace les foules, pour garantir le public et, en même temps, en profiter pour dégrader le site. Quelle chance.Bref, nous vivons une époque formidable, absolument barbare, où les instincts les plus bas sont haussés au niveau du raffinement suprême, où l’inculture est un gage de progrès, où la beauté des rapports hommes-femmes est niée, tout est réduit au sexe et la femme à un clitoris. Ces individus rejettent des siècles de civilisation, pour tout ramener à un niveau bestial. Que Sacha Guitry me manque! Comme il avait raison :

« Méfie-toi bien De ceux qui croient Qu’avec eux tout commence Et qui prétendent qu’avant eux Rien n’existait. Ce ne sont pas des fous, ce sont des paresseux, Qui décorent du nom d’instinct leur ignorance. »

http://russiepolitics.blogspot.com/2020/06/billet-feminin-pourquoi-le.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+RussiePolitics+%28Russie+politics%29

Maïa Mazaurette a mal à la tête

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Maïa Mazaurette (pseudonyme), née à Paris le 22 juillet 1978 (eh oui elle a dépassé la quarantaine) est une chroniqueuse, blogueuse et féministe française. Son travail porte sur les questions de sexualité, de la répartition des rôles hommes-femmes. Dans un article[1] dans le journal bourgeois Le Monde, Maïa Mazaurette incarne le lesbo-féminisme, cette tendance des Beaux Quartiers. Sa grande idée est de parvenir à se passer des hommes et que les femmes deviennent lesbiennes. Ce qu’elle appelle le lesbianisme politique et le féminisme séparatiste.

La Mazaurette croit que l’hétérosexualité est une simple option et en dénie la naturalité comme si la nature avait fait cela par hasard. Elle invoque telle une incantation que les études de genre se sont renforcées ce qui ne prouve rien évidemment (avant on était religieux) et que les marges dit-elle, ont commencé à interroger les normes (la masculinité, la blanchité, la complémentarité hommes-femmes). Justement les normes, ce qui est considéré comme normal.

Dans cet article si court qu’elle ne prend pas la peine d’argumenter, mais joue à coups d’affirmations gratuites en déclarant que ces thèses sont soutenues par l’histoire et l’anthropologie, histoire de démontrer sans le faire que l’on peut bâtir une civilisation sans norme hétérosexuelle (sauf qu’aucune civilisation n’y est parvenue). Elle cite l’Antiquité grecque, ce qui est déjà faux. Au fond, comme on va le voir, elle ne sait pas ce qu’est l’hétérosexualité.

Dans une phrase, la Mazaurette parle de « décorrélation du biologique et du social ». Là encore des milliers d’études réellement scientifiques (et non des études de genre) prouvent l’inverse (passons tellement elle serait ridiculisée), puis elle embraye par sophisme (avec une parenthèse : « prétendre qu’il faille se marier et vivre ensemble pour qu’un spermatozoïde soit absorbé par un ovule serait aberrant ») en concluant sa phrase par « l’espèce n’a donc pas besoin de système hétérosexuel ».

Face à une telle énormité, on se dit qu’elle ne connaît rien au sujet. Et surtout on se demande bien en quoi il faudrait se marier et vivre ensemble pour donner naissance à un enfant, ce qui constituerait le « système » hétérosexuel. Or, l’hétérosexualité est utilisée simplement pour désigner l’orientation sexuelle et affective d’une personne une ou des personnes du sexe opposé. Comme on trouve chez les mammifères l’attirance d’un mâle pour une femelle ou l’inverse. Si les rapports hétérosexuels fournissent plus de 90% des cas dans le monde, le mariage et l’enfant ne font qu’en découler étant donné que la Nature a prévu la chose ainsi. Donc pour qu’une civilisation se constitue, il faut en passer par le système hétérosexuel sinon l’espèce ne se reproduit pas. Tout simplement.

Mais la cible attendue étant donné qu’elle est structurée comme une pancarte dans une manifestation est le « dressage » hétérosexuel. Car pour la Mazaurette, tout cela est à cause des « contes de fées aux films hollywoodiens, des clubs sportifs aux maisons de retraite, des parents aux copains », autrement dit la socialité pour nous faire croire que les hommes et les femmes doivent se sauter dessus et non parce qu’il y a des hommes avec un pénis et des femmes avec un vagin selon le plan de la Nature vu que déjà l’emboitement est évident. Diable ! Et il y a là une contradiction colossale chez la Mazaurette puisqu’elle revendique la disjonction entre le biologique et le social avec les pitreries de genre. Pourtant, elle fait croire ici que l’hétérosexualité serait un endoctrinement social (en omettant la composante essentielle de la biologie) sans qu’on sache comment cela est arrivé. Alors il faudrait savoir. Car il aurait été plus « logique » qu’elle dise, puisqu’il y a « décorrélation du biologique et du social », que l’hétérosexualité ne découle pas de la biologie ou n’est pas naturelle (le fondement) et non que cette hétérosexualité se soit imposée à cause de la culture ou de la socialité (« contes de fées ou films hollywoodiens »).

Ensuite, la Mazaurette fait appel à quelques livres ou podcasts qui ne vont que dans son sens : une femme parle de « michetonnage » constant, « où chaque geste de tendresse se monnaie à coups de rapports pas toujours désirés », habituel refrain où dans le couple, la femme ne serait là que pour fournir de la gratification sexuelle aux hommes. Bien sûr pas l’inverse, car la femme fait toujours cela avec dégoût. Une autre femme décrit une triple oppression :  économique, domestique et sexuelle. C’est très révélateur comme sociologie que de prendre deux cas.

Plus révélateur est quand la Mazaurette parle des dissidentes qui sont lassées d’« éduquer » les hommes : tâches ménagères, concept de charge mentale, choix contraceptifs, éveiller aux dynamiques de pouvoir. C’est-à-dire recomposer la libido masculine d’une façon on va dire féministro-centrée. Car ces dissidentes sont sans cesse brimées, comme incarcérées dans un système stalinien et soumises à des rapports sexuels obligatoires. Le plus drôle est quand elle ajoute que « la répétition de la pénétration vaginale tue le désir » faisant croire que ce serait la pénétration vaginale qui serait quelque part en cause. On se demande bien en quoi les lesbiennes échapperaient à cette même répétition dans leur sexualité. Même les copains ou maris, écrit-elle « sont décrits comme manquant d’attrait, de curiosité et de sensualité. » Bref, les hommes ont tout faux. À ce point de non-réflexion, la Mazaurette est juste caricaturale.

Il est rigolo de voir la Mazaurette se demander avec angoisse : comment être encore hétérosexuelle aujourd’hui ? Au passage, elle lance une bise aux hommes qui se remettent en question, jamais l’inverse évidemment. C’est ça l’égalité.

Et elle avoue, ce qui est étrange : « En tant qu’hétéro indéboulonnable »… On a donc une hétérosexuelle mordicus qui déboulonne l’hétérosexualité. Pourquoi n’a-t-elle pas changé de bord si c’est si ennuyeux que cela et qu’elle peut opter pour un autre mode surtout que l’hétérosexualité est un endoctrinement social ? Mystère. Puis elle ajoute que si l’hétérosexualité balkanise les femmes (sauf elle), elle croit qu’elle balkanise les hommes. Et même : « Si l’amour menace le féminisme, il ébranle profondément le machisme. » Là, on se demande quoi faire ?

Alors pour combattre l’hydre de Lerne, la domination masculine, l’émancipation féminine (mais s’émanciper de quoi ?), la Mazaurette propose de « retourner les hommes un par un, loin des solidarités masculines », c’est-à-dire non pas composer avec eux, mais les manipuler de l’intérieur pour les féminiser en quelque sorte. En fait, subvertir le mari ou l’amant pour l’amener à épouser nos désidératas. Il ne faut surtout pas quand on est hétérosexuelle quitter le navire, il faut prendre le pouvoir en laminant l’homme de l’intérieur : « Mais la [la relation hétérosexuelle] quitter sera toujours moins efficace que la métamorphoser de l’intérieur. » Il est estomaquant que l’union entre un homme et une femme se table d’emblée sur une stratégie féministe de conquête cachée. Et elle conclut : « La semaine prochaine, c’est monsieur qui enfile la lingerie. » Désolé, pour ma part, j’ai levrette, ma chère Mazaurette.

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Dans un second article[2], on apprend que la Mazaurette écrit des chroniques aussi courtes sur le site Gleeden, ce site qui prône l’infidélité des femmes (« Le premier site de rencontres extra-conjugales pensé par des femmes ») et notamment cet article : « L’infidélité, une manière de se réinventer ? »

Qu’est-ce que Gleeden tout d’abord ? Gleeden appartient à BlackDivineholding financière et un fond d’investissement aux États-Unis, créé à New York par deux frères, Teddy et Ravy Truchot. Comme on le voit, Gleeden n’est pas un site de rencontres extra-conjugales pensé par des femmes, mais un site de rencontres extra-conjugales pensé par des hommes qui ont décidé, marché oblige, de le remettre entre les mains de working women pour asseoir une crédibilité.

Gleeden s’est « entouré » de spécialistes tels que la philosophe et écrivaine Éliette Abécassis, la sexologue Dr Juliette Buffat, cofondatrice de l’Institut Suisse de Sexologie Clinique et la Maïa Mazaurette.  À noter qu’Éliette Abécassis, née en 1969 (51 ans) a fait ses études au Lycée Henri-IV et à l’École normale supérieure. Certainement, une pauvre femme brimée par son milieu sans cesse oppressée par du patriarcat systémique.

D’emblée, la Mazaurette prend une étude Gleeden pour la vérité incarnée. Évidemment, elle ne va pas contredire le site puisqu’elle est payée par lui. Ce qu’on appelle conflit d’intérêts. De même, le site ne va pas fournir une étude allant à l’inverse de ce pour quoi il existe. Et, dit-elle, les femmes auraient une sexualité différente avec leur amant. Plus libre, orgasmatique, et plus aventureuse. Comme si cela n’existait pas chez les hommes par l’attrait de la nouveauté. Ce qu’on appelle l’effet Coolidge. Beaucoup plus chez eux, car la nature a fait les choses ainsi : l’homme peut copuler facilement alors que chez la femme, la chose est à risques.

On remarque le changement de discours telle une girouette de la Mazaurette. D’emblée, alors qu’elle se moquait des hommes dans l’article précédent, ici elle ne tient pas à les brimer : « On connaît les coupables idéaux : les habitudes indélogeables, la routine, l’image de la « femme parfaite », les clichés sur la maman et la putain qui empêchent de vivre nos fantasmes les plus déments… » Plus loin, elle loue le couple si honni précédemment. Par exemple : « On aime nos conjoints, aussi, parce qu’on peut compter sur eux. Parce qu’ils nous apportent cette fameuse stabilité qui perturbe nos désirs d’aventure. En tant qu’individus nous pouvons être fluides – mais d’autant plus fluides que nous avons quelque chose à quoi nous raccrocher. Pour le dire clairement : sans le confort émotionnel apporté par le mari, je ne suis pas sûre que les femmes seraient si libérées avec leurs amants. On se moque du cocu : on ne devrait pas. Nous avons besoin du couple. Et parfois nous avons besoin de le protéger de nos désirs plus explosifs. » Bref, les maris sont des benêts rassurants. En fait, des tremplins pour aller vers des amants.

On se demande pourquoi ces femmes ne pourraient pas « s’éclater » avec leur mari ? De bons gros nounours pour la stabilité (financière ?), mais qu’on peut tromper en cachette. Parce que Gleeden est là pour ramasser votre argent non ? souvent ou parfois avec l’argent du mari. ? Mais peu importe ensuite les violences conjugales quand le mari apprend la chose ou apprend que son enfant n’est pas le sien, mais celui d’un amant. Que d’inconséquences !

Donc des femmes se marient avec des hommes remplis de clichés envers les femmes. Pourquoi les ont-elles choisis ? Il y a quelque chose d’étrange que de croire que le mari n’est pas celui qu’il fallait au départ pour parvenir au final à le tromper, simplement utile pour la sécurité (on voit poindre l’essentialisme que d’enfermer la femme dans le cliché d’une personne qui a besoin de « sécurité », donc guère indépendante dans son émancipation). Pourquoi ne se sont-elles pas mariées avec le bon mari ? On va y venir.

Là où c’est assez comique, c’est que la Mazaurette pense que les femmes ont du mal à parler de leurs fantasmes à leur mari, car elles craignent qu’ils ne les acceptent pas. Je pense exactement le contraire : qui sont les étoiles de mer ? Et un homme n’a pas vraiment peur des innovations sexuelles. Non, c’est juste pour faire croire aux femmes : tromper votre mari, car Gleeden est là pour récolter votre argent (redite). « Je suis payé pour vous en persuader avec cet article ». Évidemment, la Mazaurette qui se dit « hétéro indéboulonnable » ne va pas revendiquer de se faire tromper. Cela marche pour les autres, pas pour elle. Car évidemment, si les femmes peuvent tromper leur mari, ces derniers ne se privent pas de faire la même chose sur le site.

Il s’agit en réalité de jouer sur les deux tableaux : être infidèle et se comporter en perverse, car l’infidélité permet de « se réinventer », et la Mazaurette entonne tous les clichés : réinvention de sa sexualité, réinvention de soi, et parce qu’on « demande des qualités différentes à un époux ou un amant. » Surtout la quarantaine venue.

Au fond, il ne reste que la sexualité nous dit la Mazaurette. Non pas l’amour, car l’amour, c’est l’attachement à un être cher. Et Gleeden a horreur de l’attachement sous peine de perdre tant d’argent. Évidemment. Il faut donc persuader les femmes qu’elles peuvent elles aussi tromper tout en se servant du mari comme d’un bon gros toutou, surtout depuis l’apparition de la contraception et de l’avortement, en gros imiter les hommes. Je me demande comment serait reçu un tel article si on inversait les rôles ?

Effectivement, les femmes doivent devenir conformes à l’époque, c’est-à-dire devenir fluides comme elle le dit, devenir une clef USB, tromper son mari et aller avec plein d’amants avec le risque de tomber forcément sur un pervers un jour ou l’autre. Aussi. « Mais avec des amants, on peut. Exhibitionniste un jour, sextoy-addict le lendemain. Clitoridienne avec un pro des jeux de langue, vaginale avec un joli format. » Bien sûr pas avec le mari que l’on a choisi, normalement, corps et âme.

La Mazaurette évoque donc une femme disponible, aggravant l’atomisation des relations hommes-femmes. La femme clivée. « Pourquoi devrais-je vouloir demain ce qui me fait envie pour les cinq prochaines minutes ? Et mieux encore : qui ai-je envie d’être ? Si j’ai toujours rêvé de jouer les femmes fatales, ou les petites écolières, qui m’empêchera d’adopter différents masques selon les circonstances ? » Des masques, c’est-à-dire sans être soi-même si revendiqué. Et donc se comporter narcissiquement et égoïstement comme on veut au risque de mettre en péril son couple (et ses enfants) où seule compte MA sexualité sans aucune conséquence comme s’il n’y avait que cela.

La Mazaurette, femme visiblement vénale pour changer de discours en fonction de la cible visée, tient tout simplement à ce que Gleeden fasse des bénéfices sur ce charbon rose qu’est la libido en faisant payer ce qui était auparavant gratuit : la relation sentimentale et/ou sexuelle, signe de l’époque de ce qu’on a appelé l’ubérisation de la société où tout doit rentrer dans le cycle marchand. Gleeden vise donc les femmes mariées de la quarantaine, car les jeunes femmes n’ont pas besoin de dépenser de l’argent pour coucher.

Le 18 février 2015, les Associations familiales catholiques (AFC) assignaient devant le tribunal de grande instance de Paris la société américaine Black Divine, en faisant valoir que la fidélité est une obligation que se doivent les époux dans le mariage, en vertu de l’article 212 du Code civil : « Les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours, assistance » Ce en quoi, elles avaient parfaitement raison. N’étant pas religieux, je me dis que le libéralisme tient à éclater toutes les relations humaines pour se faire de l’argent dessus. Et ce grâce à des féministes comme Éliette Abécassis, et Maïa Mazaurette qui participent en tant que bourgeoises des grands centres urbains à ce genre d’arnaques. Le féminisme n’a toujours été qu’un libéralisme.

Yann Leloup

[1]https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2020/02/09/l-heterosexualite-c-est-termine_6028942_4497916.html?fbclid=IwAR0ehrNDn5FjiNVm36Tn9pTo7xt3dRgJ6TqyaFtXM687inn2eXhBQdni2TM

[2]https://fr.gleeden.com/news/la-chronique-de-maia-mazaurette-l-infidelite-une-maniere-de-se-reinventer_1501.html

EN BANDE SON :

2 réponses »

  1. « Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit : J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois ; mais j’ai aimé. C’est moi qui ai vécu, et non pas un être factice crée par mon orgueil et mon ennui »

    ON NE BADINE PAS AVEC L ‘AMOUR
    ALFRED DE MUSSET

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