Big Pharma

Vaccin contre le Covid-19 : en cas d’effets secondaires, les laboratoires ne seront pas responsables mais les pays qui confinent palpent ; les médecins qui ordonnent le confinement palpent aussi !

Par resistancesetlibertes resistancesetlibertes.wordpress.com

Bulle d’immunité : la responsabilité des grandes entreprises pharmaceutiques ne sera pas engagée en cas d’effets indésirables du vaccin contre le coronavirus

Par Peter Andrews

Un cadre supérieur du géant pharmaceutique AstraZeneca a confirmé que son entreprise ne pourrait pas faire face à des poursuites judiciaires pour les effets secondaires potentiels causés par son vaccin contre le Covid-19. Les personnes concernées n’auront aucun recours légal.

AstraZeneca est l’une des 25 sociétés pharmaceutiques dans le monde qui testent déjà leurs vaccins contre le Covid-19 sur des humains, en vue d’injecter des centaines de millions de personnes. C’est une période où l’argent coule à flots pour la plus grande société pharmaceutique britannique, d’une valeur de l’ordre de 80 millions d’euros. Elle vient de déclarer des bénéfices exceptionnels de 12,6 milliards de dollars au cours des six derniers mois seulement.

Mais malgré son bilan sain, AstraZeneca ne veut pas être tenu pour responsable des effets secondaires potentiels de son candidat vaccin « prometteur ». En d’autres termes, l’entreprise est complètement protégée, ou assurée, contre les poursuites intentées par des personnes qui se feront injecter leur vaccin et subiraient des effets négatifs, quelle que soit leur gravité ou leur durée.

Les avocats du cabinet ont exigé que des clauses à cet effet soient incluses dans leurs contrats avec les pays auxquels AstraZeneca a accepté de fournir son vaccin pour le Covid-19. L’entreprise affirme que sans ces garanties d’assurance, elle ne serait pas incitée à produire le médicament. Et il semble que la plupart des pays aient cédé à cette demande.

Mesure d’intérêt national ?
Ruud Dobber, un cadre supérieur d’AstraZeneca, a déclaré à Reuters : « Dans les contrats que nous avons en place, nous demandons une assurance. Pour la plupart des pays, il est acceptable de prendre en charge ce risque parce que c’est dans leur intérêt national ». Pour « intérêt national », lire « intérêt gouvernemental ». La question de savoir si ce qui se passe est bon pour les habitants des pays vaccinés est, et c’est un euphémisme, une question ouverte.

Dobber a refusé de nommer les pays qui ont passé des commandes pour le vaccin de la société, bien que de nombreuses grandes démocraties occidentales (dont la France) figurent probablement sur la liste. Le gouvernement britannique s’est lancé dans une frénésie de dépenses en vaccins, achetant 250 millions de doses à divers groupes de grandes sociétés pharmaceutiques. Les Etats-Unis, quant à eux, sont bien en avance sur la courbe à cet égard, car un cadre juridique spécial y stipule qu’aucune entreprise pharmaceutique ne peut faire face à des poursuites pour effets secondaires des vaccins en cas « d’urgence de santé publique ». Cette législation, connue sous le nom de PREP Act, est le produit d’un effort de lobbying massif de l’industrie pharmaceutique américaine et a été introduite malgré l’opposition vigoureuse des groupes de consommateurs. À moins que le fabricant de vaccins ne vous tue ou ne vous blesse intentionnellement —faute intentionnelle—, vous ne pouvez pas les poursuivre en justice.

Comme de hauts responsables de l’UE l’ont déclaré à Reuters cette semaine, ils sont aux prises avec les fabricants de vaccins sur le prix, les délais de paiement et, surtout, la responsabilité. Que personne ne veuille se coltiner la responsabilité n’est guère surprenant. Injecter une population d’un vaccin expérimental pour l’ « immuniser » contre une maladie qui est inoffensive pour la plupart des gens, et ensuite être tenu responsable des conséquences ? Certainement pas. Les dirigeants de Big Pharma ne perçoivent pas leurs salaires à sept chiffres pour tomber dans de tels pièges.

Dobber a également ajouté : « Il s’agit d’une situation unique où nous, en tant qu’entreprise, ne pouvons tout simplement pas prendre le risque si dans quatre ans le vaccin montre des effets secondaires. » Oh… ok alors. Donc qui assumera la responsabilité ? L’OMS ? Non. Les politiciens ? Ne me faites pas rire. Personne ? Exactement.

Qui payera les frais ?

Parce qu’il y a une quasi-garantie que dans un programme de vaccination majeur, certaines personnes seront blessées ou même tuées par le vaccin, certains pays ont mis en place des fonds publics spéciaux pour indemniser les personnes touchées. L’OMS soutient ce modèle de dommages-intérêts pour les vaccins, financé par les contribuables.

Les États-Unis disposent d’un tel fonds, tout comme de nombreux pays européens, dont le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Suède, l’Italie (et la France). Il pourrait être utile de vous informer sur le système approprié dans votre propre pays si vous craignez de prendre le vaccin. Une chose est certaine cependant : en ce qui concerne le Covid-19, les capitaux privés ont décidé qu’ils ne voulaient être concernés en rien par les conséquences à long terme de leurs vaccinations.

Concernant la France, L’Express nous informe que ce vaccin d’AstraZeneca est le « Premier à entrer dans la dernière phase des essais cliniques, premier aussi à avoir fait l’objet d’une précommande à hauteur de 400 millions de doses par des pays européens, dont la France : c’est peu dire que le vaccin développé par la compagnie anglo-suédoise AstraZeneca suscite de grands espoirs. Le dirigeant du laboratoire, le Français Pascal Soriot, promet même que les doses pourraient être disponibles dès cet automne. »

En ce qui concerne l’aspect légal, « En cas de préjudice lié à une vaccination obligatoire, la victime, ou ses ayants droit, peuvent être indemnisés par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam). »

« Il n’existe pas de procédure particulière pour l’indemnisation du préjudice lié à une vaccination recommandée. L’acte de vaccination est un acte médical dont les conséquences dommageables peuvent être indemnisées par plusieurs recours.

Les recours possibles sont ceux valables pour tout acte médical :

Au vu des expériences du sang contaminé & du Mediator, et du passif de l’administration Macron, nous voilà rassurés !

Peter Andrews, journaliste scientifique et écrivain irlandais basé à Londres. Il a une formation en sciences de la vie et est diplômé de l’Université de Glasgow en génétique.

Source : RT

…et stultorum infinitus est numerus ( le nombre des sots est infini : Salomon). Les pays qui confinent palpent ; les médecins qui ordonnent le confinement palpent aussi (et les prêtres cathos ?). Nous on rame aussi. Racket et redistribution (confiscation) des pépites.

Voici maintenant, publiée par France-Soir et reprise par le blog de Jean-Louis Duret le 2 juillet 2020, la liste des scientifiques et médecins qui ont touché de l’argent du groupe pharmaceutique Gilead.*https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-Pr-Jean-Francois-Toussaint-demonte-la-propagande-sur-le-Covid-19-60382.html

N°1. La Palme d’Or revient au Pr François Raffi de Nantes. 541.729 €, dont 52.812 € de Gilead. Est-ce un hasard si on nous apprend que le coup de téléphone anonyme pour menacer Didier Raoult, s’il persistait avec l’hydroxychloroquine, est parti du téléphone portable du service d’infectiologie du CHU de Nantes, dont François Raffi est chef de service ? Sûrement une pure coïncidence.

N°2. Le Pr Jacques Reynes de Montpellier. 291.741 €, dont 48.006 € de Gilead et 64.493 € d’Abbvie. Or Jacques Reynes a été sollicité par Olivier Véran pour piloter l’essai clinique du protocole Raoult à Montpellier alors qu’il est en même temps le coordinateur national de deux études sur le remdesivir pour le compte de Gilead. Il n’avait sûrement pas eu le temps d’envoyer au Ministre sa Déclaration publique d’intérêts (DPI).

N°3. La Pr Karine Lacombe de Paris – Saint Antoine. 212.209 €, dont 28.412 € de Gilead. Elle est sur la dernière marche du podium, mais l’essentiel est d’y être. Il n’y a pas que le podium avec les Ministres à Matignon.

N°4. Le Pr Jean Michel Molina de Paris – Saint Louis. 184.034 €, dont 26.950 € de Gilead et 22.864 € d’Abbvie. Or Jean-Michel Molina est co-auteur d’un article publié dans Médecine et Maladies Infectieuses sur quelques cas, pour dire que l’hydroxychloroquine ne marche pas. Médecine et Maladies Infectieuses est le journal officiel de la SPILF (Société de Pathologie infectieuse de Langue Française).

N°5. Le Pr Gilbert Deray de Paris. 160.649€. Une belle somme pour un néphrologue qui très présent sur les plateaux télés. Attention le remdesivir peut être très toxique pour les reins.

N°6. Le Pr Jean-Paul Stahl de Grenoble. 100.358 €, dont 4.552 € d’Abbvie. A noter que cette somme n’a pas été déclarée sur sa DPI. Or Jean-Paul Stahl est rédacteur en chef du journal Médecine et Maladies Infectieuses. C’est lui qui a comparé le Plaquénil au papier toilette.

N°7. Le Pr Christian Chidiac de Lyon. 90.741 €, dont 16.563 € de Gilead. Or Christian Chidiac est président de la Commission Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique qui a rendu le fameux Avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants et demandant d’inclure les malades dans les essais officiels (donc Discovery). Son adjointe, la Pr Florence Ader, citée ci-dessous, est l’investigatrice principale de Discovery. Pure coïncidence.

N°8. Le Pr Bruno Hoen de l’Institut Pasteur. 82.610 €, dont 52.012 € de Gilead. A noter que sur sa DPI, il a noté n’avoir reçu que 1000 € de Gilead ! Or Bruno Hoen a attaqué l’équipe de Marseille dans un courriel du 18 mars 2020, partagé avec tous les infectiologues.

N°9. Le Pr Pierre Tattevin de Rennes. 79.956 €, dont 15.028 € de Gilead. A noter que sur sa DPI, comme son prédécesseur, il a noté n’avoir reçu que 1000 € de Gilead ! Ca doit être le surmenage. Or Pierre Tattevin est président de la SPILF. Cette Société savante a attaqué l’hydroxychloroquine pour encourager les inclusions dans Discovery, ainsi que dans les autres études par tirage au sort avec des groupes de patients non traités (études randomisées).

N°10. Le Pr Vincent Le Moing de Montpellier. 68.435 €, dont 4.776 € de Gilead et 9.642 € d’Abbvie. Or Vincent Le Moing pilote, avec son patron Jacques Reynes cité ci-dessus, l’essai clinique de Montpellier.

N°11. Le Dr Alain Makinson de Montpellier. 63.873 €, dont 15.054 € de Gilead. Or Alain Makinson participe à l’étude de Montpellier avec Jacques Reynes et Vincent Le Moing. Un beau trio. Montpellier est très bien représentée.

N°12. François-Xavier Lescure de Paris – Bichat. 28.929 €, dont 8.621 € de Gilead. Or François-Xavier Lescure est l’adjoint de notre célèbre Yazdan Yazdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19. Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxychloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable sur le remdésivir de Gilead, publiée dans le New England Journal of Medicine. Or cette étude n’a aucune méthodologie.

N°13. La Pr Florence Ader de Lyon. 11.842 € , dont 3.750 € de Gilead. Or Florence Ader est l’investigatrice principale de Discovery.

Lors de son audition à l’assemblée, le Pr Didier Raoult soulignait :

« J’ai été surpris de voir que le directeur de Gilead, devant le Président de la République et le Ministre, tutoyait celui qui était en charge des essais thérapeutiques en France pour le Covid19.

« C’est triste des gens qui se couchent, on voit bien qu’ils se foutent que les choses aillent comme elles veulent. Ça leur est bien égal. C’est des gonflés, des huîtres, des pas susceptibles, Américains ou non. Ils ont toujours la conscience tranquille. »

EN BANDE SON :

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