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HAINE DU BLANC AU CINÉMA, L’ACADÉMIE DES OSCARS VA IMPOSER DES CRITÈRES DE « DIVERSITÉ »

LE NEW YORK TIMES MET UNE MAJUSCULE À BLACK (MAIS PAS À WHITE), LES STATUES DE L’HISTOIRE EUROPÉENNE SONT DÉBOULONNÉES, UNE DÉPUTÉE GABONO-FRANÇAISE FAIT FIGURE DE MARTYR. N’EN JETEZ PLUS ? LE CINÉMA NE SERA PAS EN RESTE PUISQUE L’OSCAR DU MEILLEUR FILM NE POURRA ÊTRE ACCORDÉ EN 2024 QUE SUR CRITÈRES DE « MINORITÉS » AUTREMENT DIT DE CHASSE AUX BLANCS. PETITE VISITE GUIDÉE.

Haine du blanc au cinéma, l’académie des Oscars va imposer des critères de « diversité »

https://twitter.com/piquremoraline/status/1297959970764398592

L’AMPAS N’AIME PLUS LES BLANCS

L’AMPAS n’est pas une nouvelle marque de lessive, c’est l’Academy of Motion Picture Arts and Science qui gère la cérémonie dite des Oscars. Si vous voulez être éligible à la récompense du meilleur film, en théorie à partir de 2024, mais sans doute bien plus tôt, vous devrez répondre à certains critères, leucodermes accrochez-vous :

Pour l’équipe de réalisation du film : au moins deux postes de direction ou de chefs de service, au moins 30% de l’équipe globale, au moins six postes réservés à des membres d’un groupe racial ou ethnique sous-représenté.
Pour le film lui-même : l’intrigue principale, le rôle principal ou un rôle secondaire, 30% des rôles secondaires, réservés à des personnes provenant d’un groupe  racial  ou ethnique sous-représenté, les femmes, les personnes s’identifiant comme LGBTQ + ou les personnes handicapées.

PANACHAGE DE CRITÈRES AUTORISÉ

Bon prince, l’Académie peut admettre que la totalité de ces quotas ne puisse être toujours atteinte et admet une sorte de panachage. Prenons un exemple ou deux ; un film sur les Vikings (intrigue principale classée leucoderme), avec un acteur blanc dans le rôle principal pourrait concourir si son second est LGBTQ+, si sa femme viking est éthiopienne et si au moins 30% des figurants vikings sont africains. Mais il serait difficile de lui attribuer le premier prix.

On doit pouvoir faire bien mieux avec un film sur Marie-Antoinette avec Danièle Obono dans le rôle de la reine, Djamel Debbouze dans celui de Louis XVI, Roschdy Zem pourrait incarner Saint-Just, le narrateur serait le Duc de Saint-Simon (nous sommes dans la fiction) quant à lui avantageusement représenté par un transexuel centrafricain, réfugié récemment naturalisé. Il faudrait hélas laisser au moins un rôle secondaire à un européen, Gérard Depardieu serait parfait en Danton. On peut envisager la récompense suprême.

L’académie des Oscars impose l’inclusion dans la catégorie du meilleur film pour mieux représenter les minorités

Par Anne-Sophie Hongre-Désir bvoltaire.fr

À partir de 2024, l’académie des  imposera un nouveau mode de représentation dit d’inclusion afin de pouvoir concourir dans la catégorie du meilleur film.

Quatre critères seront ainsi retenus, qui ne concernent pour l’instant que la catégorie du meilleur film, mais au pays du sectarisme merveilleux, il est fort à parier que ces critères se répandent à d’autres catégories de film à l’avenir.

Le premier critère porte sur la représentation des minorités à l’écran et les thématiques choisies. L’œuvre devra donc avoir comme acteur principal ou secondaire un individu d’une minorité ethnique sous-représentée ou disposer d’un casting composé de 30 % de personnes issues de groupe sous-représentés (femmes, personnes handicapées, minorités ethniques ou sexuelles).

Le second critère impose la présence de plusieurs personnes issues de ces mêmes minorités au sein de l’équipe créative. Le troisième s’attache à l’égalité des chances et le dernier concerne le marketing du film, le studio et le distributeur de l’œuvre, qui devront tous deux avoir des équipes dirigées par des personnes issues de groupes sous-représentés. Deux de ces critères devront être obligatoirement respectés.

Le cinéma version Hollywood serait ainsi inclusif afin de mieux représenter la réalité et faire en sorte que les minorités puissent s’identifier.

Mais depuis quand le cinéma a-t-il pour fonction de représenter la réalité ? Confortablement calé dans votre fauteuil de cinéma, vous est-il souvent arrivé de rêver de voir votre propre vie projetée à l’écran, pleine de gens qui vous ressemblent, prient le même dieu, fréquentent le même quartier ?

L’art, et pas seulement le 7e, a dans son intégralité pour essence et raison d’être la faculté de vous transporter vers d’autres sphères inexploitées, inaccessibles et parfois totalement imaginaires. Et c’est là tout le savoir d’un réalisateur que de vous permettre ce voyage en terres inconnues.

Aimer Proust, auteur de génie et homosexuel, est-il interdit à tout hétérosexuel qui, de ce fait, ne pourrait pas s’identifier à l’œuvre ?

Faut-il, pour rire un bon coup devant La vérité si je mens ou Rabbi Jacob, faire partie de la communauté juive séfarade uniquement ? Un enfant noir ne peut-il pas s’identifier à Peter Pan ou Harry Potter sous prétexte qu’il ne partage pas le même épiderme ?

Terrifiant sectarisme de ces nouveaux ayatollahs de la diversité qui, sous prétexte d’inclure tout le monde au nom de minorités, excluent la majorité d’entre nous, pour les définir par leur race, leur religion, leurs pratiques sexuelles. Définition ordinaire d’un racisme revendiqué qui impose comme représentation de la réalité l’obsession de la race et des orientations sexuelle.

Les directeurs de casting devront donc s’enquérir en plus (ou à la place ?) du talent de leurs acteurs, de leurs croyances religieuses, de leur préférence sexuelle, lors des auditions.

Un régime de liberté conditionnelle qui sied mal à la notion de créativité désormais bridée et qui fera d’un bon censeur un bon réalisateur.

Derrière ces décisions grotesques et liberticides de la bien-pensance, se cache avant tout une théorie sectaire et affirmée qui est celle d’éliminer l’hégémonie de l’homme blanc et hétéro et qui, mondialisme oblige, sévit aussi en France.

« Il y a trop de mâles blancs et quadragénaires dans le secteur de l’intelligence artificielle » (, 29 mars, 2018, Collège de France), repris par son ministre de la Culture, le 4 juin de la même année, Françoise Nyssen, qui déplorait le trop grand nombre d’hommes blancs de plus de 50 ans dans le monde de l’audiovisuel.

À bon spectateur salut, encore faudra-t-il qu’il en reste : la chasse est donc ouverte !

https://www.bvoltaire.fr/lacademie-des-oscars-impose-linclusion-dans-la-categorie-du-meilleur-film-pour-mieux-representer-les-minorites/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=lacademie-des-oscars-impose-linclusion-dans-la-categorie-du-meilleur-film-pour-mieux-representer-les-minorites&utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=e3bb888660-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-e3bb888660-30707081&mc_cid=e3bb888660&mc_eid=b338f8bb5e

Blague récurrente des espaces libres de nos chers internets, le « générateur automatique de film français » moque ces scénarios prêts à l’emploi et récurrents qui enrichissent en subventions indues les producteurs de notre cinéma hexagonal. Tout aussi stéréotypés, mais avec quelques effets spéciaux de qualité, les films hollywoodiens seront désormais soumis à un strict contrôle politique. Ils seront « woke » ou ne gagneront pas les Oscars. Voilà qui tranche au moins avec l’hypocrisie française.
Etabli en 1930, le Code Hays a gouverné le cinéma américain jusqu’en 1966, réglementant ce qu’on pouvait ou pas montrer à l’écran. L’aventurier Howard Hugues en fit d’ailleurs les frais après avoir montré de manière trop explicite l’affriolant décolleté de la débutante Jane Russe dans son western Le Banni. Alors que le film devait sortir en 1941, Hugues ne put le produire à l’affiche des cinémas qu’en 1943 de manière limitée, la Production Code Administration dirigée par Joseph Breen ne goûtant que peu les provocations du pionnier de l’aviation et célèbre séducteur. Rigoureux, parfois jusqu’à l’excès, le Code Hays peut être lu comme l’antithèse de ce qu’un film doit être aujourd’hui. O empora, o mores ! S’il convenait avant-guerre de ne moquer aucun culte et d’éviter absolument les plus petites allusions sexuelles, c’est peut-être précisément le point de vue inverse qu’il faudra adopter demain – au moins pour le christianisme et les sexualités de marge -. […]

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