Art de la guerre monétaire et économique

Satanalyst : Quand les zombies vont dégraisser, ça va faire mal au seins, crois-moi. Par Damien Ruzé

Quand les zombies vont dégraisser, ça va faire mal au seins, crois-moi.

Si les édiles françaises pensent que le camembert et le picrate vont suffire à éviter que ce qui se passe aux US se réplique ici, ils se fourrent le doigt dans l’œil jusqu’au stérilet (option basse).

Toute l’économie réelle, comprendre : la création de choses neuves (sens large), est à l’arrêt complet.

Les grands retailers tels la FNAC sont à genoux, ils refusent depuis six mois tout produit nouveau dans certains domaines, le stockage étant au max tant chez les fabricants que chez les distributeurs.

Le réseau culturel est mort, littéralement, les banques ne suivront bientôt plus certains acteurs (cinéma, édition), tirant le tapis financier sous les pieds des taules qui tiennent grâce à la cavalerie et les sacro-saintes subventions.

Heureusement que l’on introduit le CA supposé de la criminalité, sinon il n’y aurait plus de PIB.

La planche à biffetons doit méchamment chauffer.

Pense vacances à Weimar et brouette de caillasse pour le parc-mètre. Hold fast.

 

Combien de milliards en quantitative easing déversés par la BCE depuis le début de l’année ?
Tonnes. Mégatonnes. Carpet bombing.
 

 
Que se passe-t-il quand la masse monétaire augmente subitement, finissant, après avoir botté le cul des stocks au plafond, par percoler l’économie réelle ?
 
La demande (le volume de monnaie et sa vélocité-voracité) gonfle tandis que l’offre, déprimée par la cessation d’activité pandémique des moyens de production, se réduit.
 
Levier. Pense Weimar. Hyperinflation.
 
Temps de huiler la brouette, camarade.
 

Quel est le taux de prêt interbancaire en EU actuellement ?
Négatif. – 1%.
 
A quel taux Air France (société en grande partie publique et donc régulièrement ruinée) emprunte-t-elle aux banques post-covid 19 ?
 
Prêts « garantis » par les états, entendre : Monique, va chercher la vaseline.
 
Bien assis ?
 
5%.
 
Do the math bwana.
 
Il faut sauver le soldat Bankster.
 
La France, avec autour de 100% du PIB de dette, est perfusée quotidiennement via le marché interbancaire, imagine un pneu crevé que tu regonfles en permanence pour entretenir l’illusion.
 
Pourquoi Macron ?
 
Parce que le deal était le suivant : si qui que ce soit d’autre passe, on ferme le robinet. Terminé. Envoyez caisse.
La France est la pute de Bruxelles, et pas la seule ponette dans le clandé, crois-moi sur parole.
 
Entre « Wirecard Germany » dans un moteur de recherche.
 
Bon appétit, bien sûr.
 
 

DAMIEN RUZE

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« Croix comme balance, comme levier. Descente, condition de la montée. Le ciel descendant sur terre soulève la terre au ciel. » — Simone Weil, La Pesanteur et la Grâce (1942)

EN BANDE SON :

3 réponses »

  1. Encore un qui croit à la fable de l’impression monétaire. Comme si aucune destruction de richesse n’avait lieu dans l’autre sens…

    Weimar? Lol

  2. encore des mots pour faire peur et pas aucune analyse logique économique sérieuse pour la vulgariser au bas peuple … mais il faut me croire « camarade »

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