Elections présidentielles américaines ou le retour de Charles Manson « la fa(r)ce cachée de l’Amérique »

Dans mon précédent Billet voulant terminé sur une note d’espoir et ceci dans le cadre de l’Election américaine en cours  j’ai affirmé haut, et fort à propos :

« J’ai entendu ouïr que le Diable ne pouvant se passer de l’existence de Dieu, même sous respirateur artificiel, devrait appuyer au tout dernier moment la candidature du Donald le 3 Novembre, ce ne sont pas les sondages qui le disent, c’est la logique du système qui le veut…et ce que Dieu veut ! Deus lo vult ! »

Il semblerait qu’en ce 8 Novembre Dieu ait bien voulu me donner gain de cause, mais en partie seulement…Je m’explique : Dieu s’est « pointé » au rendez vous du 3, mais au dernier moment le Diable, dit le Prince des Ténèbres, qui déteste pourtant la lumière, y a envoyé son Ange déchu Lucifer, dit Le Porteur de Lumière, réincarné pour la circonstance et pour la « énième foi », cela ne s’invente pas, en Charles Manson, dit « la fa(r)ce cachée de l’Amérique », un Joker pouvant en cacher un autre ! S’en est suivi un gigantesque bordel électoral -Helter Skelter- dont à ce jour nous ne sommes toujours pas sorti.

Le Diable se nichant dans les détails,  tandis que  Biden « l’Alzheimer » apprend à compter, Obama  « l’éternel Président » attend tapi à l’ombre de la petite culotte de Kamala « BLM » Harris que cette dernière soit prête enfin, à assumer les fonctions qui font désormais défaut à Joe Biden le candidat « démon-crate » en titre à l’élection devenue entre-temps « pestidentielle ».  On a donc, si je sais encore compter, 1 vrai candidat « Républicain », Donald Trump, contre 3 « Démon-crates » : Biden « l’Alzheimer », Obama « l’éternel président « et Kamala « BLM » Harris « la parité obligée » accessoirement vice-présidente (du vice) par intérim sans oublier en vedette américaine la « Pelosi » en chienne de garde !

C’est sans doute cela la plus grande fraude de cette élection américaine : un Président non candidat aux commandes,  Barrack Hussein Obama, qui se présente pour un troisième mandat (interdit par la constitution US) au travers de son ancien vice-président Joe Biden devenu sénile, et d’une future vice-présidente sans autre expérience politique que celle d’être la protégée du Prix Nobel de la Paix et du Drone. 

Il faut voir là dans ce ménage démon-crate à trois cerbères, plus qu’un abus de faiblesse d’Obama sur les 2 autres,  mais  à n’en point douter, la marque d’une intervention « fantasmée » des Russes, une sorte de transfert psychanalytique à l’échelle de la géopolitique.  Car tout ceci rappelle étrangement la « divine comédie » jouée un temps par Poutine et Medvedev, lorsqu’en  2008, la Constitution lui interdisant de concourir pour un troisième mandat consécutif,  Poutine soutient la candidature de Dmitri Medvedev à la présidence de la république. Une fois élu, ce dernier le nomme chef du gouvernement. Dans la foulée, Vladimir Poutine prend la direction du parti Russie unie. Cela en avait fait gausser plus d’un à l’époque, mais on parlait alors de l’autocrate Poutine, pas encore de l’autocrate Obama. Il est vrai que les Etats Unis avait jusqu’à présent, en matière d’Etat Profond, plutôt privilégié, avec des erreurs parfois fatales  de casting,  les grandes et petites familles du genre Kennedy, Bush, Clinton et consorts… Changement d’époque donc, place désormais à l’usurpation d’identité et de pouvoir en visio colorisé ! 

Et c’est sans doute là une encore plus grande fraude de cette élection américaine, que de voir un Président sortant en position d’être réélu,  se faire voler, avec la complicité des médias et d’un establishment mondialiste corrompu, une élection qu’il aurait dû sans cela remporter haut la main.  Il faut y voir là non seulement un coup d’état, l’équivalent d’une révolution de couleur si cher à Georges Soros and co.

Mais plus grave encore,  il s’agit là d’un véritable coup de poignard contre le fonctionnement d’institutions démocratiques dont les Etats Unis se trouvaient être à la fois les Pères, les garants et les ultimes défenseurs.  Voilà bien là  un méchant tour qui nous est fait, dont le Diable a seul le secret, et qui nous laisse un gout amer dans la bouche. Mais ne pouvant  désormais  nous en remettre ni à Dieu, ni à ses Saints,  que nous faut il donc espérer, nous les Conservateurs, dans les semaines qui arrivent. Mon ami Serge Rousseau sur Facebook résume assez bien dans un de ses commentaires, la situation, je le cite :

• 1/ Ils virent Trump manu militari ou autre menace,

• 2/ Biden est « élu »,

• 3/ Il est déclaré inapte dans quelques mois à la suite de ses « problèmes » de sénilité et de corruption, et son fils se prend un platane en auto ou autre mort, à défaut de prendre de la taule pour ses histoires de corruption en Chine et ailleurs,

• 4/ Kamala Harris est nommé présidente et elle obéit à l’état profond,

• 5/ On a une guerre préventive avec l’Iran afin de mettre les autres au pas,

• 6/ L’état d’urgence continue avec le « covidingue » ou autre connerie, les libertés individuelles et l’utilisation du cash régressent jusqu’à disparition,

• 7/ On en arrive à un modèle chinois de société conditionnée via l’ingénierie « sociale » et l’utilisation des médias 

C’est là l’Agenda mondialiste hélas décrit dans toute sa splendeur et décadence, et en l’absence désormais probable du « rempart Trump » sur la scène politique, tout est désormais possible quant à son application. Plus optimiste et ouvrant  selon moi des perspectives nouvelles, Serge Rousseau toujours lui, dans un autre commentaire, dit la chose suivante à propos cette fois de l’Europe et de son islamo-gauchisme, – mais c’est aussi valable pour les Etats-Unis –  :

« Dans chaque alliance « révolutionnaire » il y a en toujours un qui bouffe les autres, les jacobins qui éliminent les girondins et autres hébertistes au sein des ex montagnards, les bolcheviks qui dézinguent les menchéviks et autres socio-révolutionnaires  là je parie mon billet de 1000 que les grand méchants loups islamistes mangeront les petits cochons gauchistes. On ramassera les restes ! »

Est-ce à dire que  les mondialistes se déchireront  bientôt entre eux pour le leadership ? Cela  ne manquera pas d’arriver,  on imagine mal en effet l’attelage Biden-Neoconservateur tenir beaucoup plus longtemps que le temps d’une élection, quant à l’extrême gauche Antifa et BLM réunis, ils ne  se contenteront pas longtemps des sermons « d’une bandes de gérontes 68huittards sur le retour d’âge.  » Il faudra davantage aux « vampires zombies de l’Etat Providence » que les bonbons sucrés d’Halloween.

Quant aux marchés financiers ils s’adapteront « provisoirement », « par ici la money » n’ayant pas définition ni odeur, ni couleur, ni patrie et ne connaissant qu’un seul maitre : le Banquier central et sa planche à billet. Je dis bien « s’adapteront provisoirement » en attendant non pas l’effondrement mais le schisme,  la scission, et la sécession sur fond de cessation de paiement…

C’est en quoi la position d’opposant conservateur-observateur par l’effet de son repli, pourrait laisser entrevoir à la fois une nouvelle allocation des ressources, et un renouveau des forces de combat aux Etats-Unis comme ailleurs en Europe . Avec l’aide du Dieu tout en comptant une nouvelle fois sur le Diable, je ne suis plus  aujourd’hui très loin de le penser. En attendant LE COMBAT CONTINUE ! GOD BLESS AMERICA! 

LE LUPUS

Il est rare que les mouvements de foule spontanés ne soient pas, en fait, plus ou moins manipulés. Et l’on imagine aussitôt une sorte de chef d’orchestre tout-­puissant, grand manipulateur en chef tirant sur des milliers de ficelles dans tous les pays du monde et secondé par des solistes de génie. Il semblerait que rien n’est plus faux… Le monde semble soumis, non pas à un chef d’orchestre identifié, mais à une nouvelle bête apocalyptique, une sorte de monstre anonyme doué d’ubiquité et qui se serait juré, dans un premier temps, la destruction de l’Occident. La bête n’a pas de plan précis. Elle saisit les occasions qui s’offrent, la foule massée au bord du Gange n’étant que la dernière occasion en date et sans doute la plus riche de conséquences. Peut-être est-elle d’origine divine, plus certainement démoniaque? Ce phénomène peu vraisemblable, né il y a plus de deux siècles, a été analysé par Dostoïevski.

— Jean Raspail, Le Camp des Saints

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