Les gauchistes réclament une nouvelle force de “police secrète” pour espionner les supporters de Trump

PAR JADE · PUBLIÉ 21 JANVIER 2021 · MIS À JOUR 21 JANVIER 2021

Canalisant peut-être l’esprit du NKVD soviétique, les gauchistes appellent maintenant littéralement à la création d’une nouvelle unité de “police secrète” au niveau fédéral pour espionner les partisans de Trump.

Dans un article publié par le Daily Beast, Jeff Stein affirme que les agences fédérales existantes, comme le FBI, sont mal équipées pour arrêter la “terreur blanche” parce qu’elles ont manqué les signes de la planification préalable du siège du Capitole.

La solution consiste à créer une nouvelle “police secrète” (oui, il utilise littéralement ces mots) afin “d’infiltrer et de neutraliser les extrémistes nationaux armés”, ce qui, selon le dernier récit des médias, inclut potentiellement 70 millions d’électeurs de Trump.

Stein compare même la brèche du Capitole au 11 septembre, une attaque qui a tué près de 3 000 personnes, et soutient qu’une réponse similaire à celle-ci devrait être directement dirigée vers les citoyens américains par une nouvelle “agence d’espionnage domestique”.

“Une réponse à la tragédie du 11 septembre pourrait bien bénéficier d’un regain d’attention après l’assaut du Capitole – surtout si les nationalistes blancs armés parviennent à mener d’autres attaques dans les jours et les semaines à venir : L’appel à une police secrète”, écrit-il.

L’existence d’une force de “police secrète” qui subvertit les normes constitutionnelles pour réprimer la population est bien sûr la marque de tous les régimes dictatoriaux, mais cela ne semble pas déranger les “progressistes” autoproclamés.”

“Des centaines d’émeutes Black Lives Matter/Antifa, dont certaines impliquaient de tirer des mortiers sur des postes de police, de les incendier ou d’y mettre le feu, n’ont pas été qualifiées de terrorisme intérieur. Mais l’émeute du Capitole était du terrorisme, en raison du double standard habituel”, souligne Dave Blount.

“Ni le FBI ni la NSA n’ont la culture d’hostilité brutale envers la population de leur propre pays nécessaire pour réprimer efficacement les dissidents dans l’État policier qui se met en place.”

En plus d’une nouvelle police secrète, certains appellent à la création d’un réseau d’espionnage citoyen de type Stasi qui recruterait des partisans de Biden pour espionner les partisans de Trump et les dénoncer aux autorités.

On peut supposer que tout cela fait partie de la “guérison” et de l’”unité” nationales que Joe Biden a appelées de ses vœux.

Le FBI utilise les données des téléphones portables pour traquer les personnes qui se trouvaient au Capitole le 6 janvier

PAR JADE· PUBLIÉ 21 JANVIER 2021 · MIS À JOUR 20 JANVIER 2021

Le FBI utilise les données des téléphones portables pour traquer tous ceux qui étaient au Capitole le 6 janvier, et se présente au hasard chez eux pour les interroger.

Cela va probablement prendre un certain temps pour trouver tout le monde, et il se peut qu’ils ne puissent pas en trouver certains, mais ils utilisent un système où si leur téléphone portable a envoyé un message à une tour ou un wifi près du Capitole ce jour-là, ils considèrent ces gens comme suspects dans cette “insurrection”.

Via WUSA9 :

Si vous étiez près du Capitole le 6 janvier, il se peut que le FBI frappe à votre porte.

Une femme de Washington a dit qu’un agent avait rendu visite à sa voisine et l’avait appelée, lui disant que les enquêteurs suivaient les personnes dont les téléphones portables étaient connectés à des tours de téléphonie mobile wi-fi ou ping près du Capitole au cours des émeutes.

“Ils n’appellent pas en premier, ils viennent juste chez vous”, a déclaré Bree Stevens, une enquêtrice légale qui vit près du Capitole.

Bree Stevens a déclaré qu’un agent du FBI lui a dit qu’ils avaient contacté toutes les personnes dont le téléphone portable les avait placées près du Capitole pendant les émeutes.

Elle était sortie se promener avec un ami et ses deux jeunes filles dans l’après-midi du 6 janvier, mais elles ont été détournées par des alertes à la bombe jusqu’à ce qu’elles se retrouvent juste à côté de l’insurrection. Les adultes et les enfants ont été bouclés et n’ont pas pu rentrer à leur appartement pendant quatre heures.

“Vous ne voulez pas être là où ils vont aller”, dit-elle sur une vidéo qu’elle a tournée alors que des policiers en tenue anti-émeute se dirigeaient rapidement vers le Capitole.

C’est évidemment une nouvelle sorte d’abus de l’État policier.