Malbrough s’en va en guerre !
Ainsi donc nous voilà partis pour une Longue Marche et sans doute peut-être un séjour dans un endroit où l’on lave les cerveaux tels que les nôtres. Il faut sous le nouvel ordre Macronien que rien ne gâche le paysage qui devra être uniforme a l’unisson du nouvel ordre moral.
Pour faire Table Rase » l’élite »se doit de commencer par ses amis… les nervis seront servis ensuite et récompensés puis sans doute à nouveau sacrifiés et ainsi de suite jusqu’à nous. Le pouvoir du petit César Maoïste sera sans pitié …
Quel bon choix que ce tableau warholien qui fait apparaitre son hermaphrodisme.
Cicéron relate la naissance d’un androgyne comme le présage du destin accompagnée de sa réalisation : Quid ? Ortus androgyni nonne fatale quoddam monstrum fuit ? (« Et alors ? La naissance d’androgynes n’est-elle pas le présage du destin ? »). Ici « androgyne » doit être compris comme un synonyme d’hermaphrodite
C’est ainsi que Pline l’Ancien, après avoir défini l’hermaphrodite, rappelle que ces derniers étaient appelés autrefois androgynes et étaient tenus pour des monstres (« Sont engendrés des êtres qui ont deux sexes, que nous appelons hermaphrodites, autrefois ils étaient appelés androgynes et étaient tenus pour des monstres… »).
Alors oui tout est juste son machiavélisme est et sera d’autant plus « opérant » …
La génération Frankenstein sera bien guidée et saura mettre les récalcitrants au pas.
Allez les gars ne pas oublier : « En Marche »!
ANDERS
Mironton, mironton, mirontaine,
Malbrough s’en va en guerre,
Ne sait quand reviendra. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
Il reviendra z-à Pâques
Ou à la Trinité. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
La Trinité se passe,
Malbrough ne revient pas. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
Madame à sa tour monte,
Si haut qu’elle peut monter. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
Elle aperçoit son page,
Tout de noir habillé. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
Beau page, ah! Mon beau page
Quelle nouvelle apportez? (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
Aux nouvelles que j’apporte,
Vos beaux yeux vont pleurer. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
Monsieur Malbrough est mort,
Est mort et enterré. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
J’l’ai vu porter en terre,
Par quatre officiers. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
L’un portait sa cuirasse
L’autre son bouclier. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
L’un portait son grand sabre,
L’autre ne portait rien. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
A l’entour de sa tombe,
Romarins l’on planta. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
On vit voler son âme,
Au travers des lauriers. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
Chacun mit ventre à terre
Et puis se releva. (Ter)
Mironton, mironton, mirontaine,
Pour chanter les victoires
Que Malbrough remporta. (Ter)
EN BANDE SON :
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