REBLOG

Nous, on peut. — Le blog de Skidmark

Le Forum Economique Mondial a désigné l’ennemi : c’est la richesse.

Je me disais aussi, c’est forcément de notre faute.

La solution, c’est : « vous ne possèderez plus rien ». Et au cas où on en douterait, « et vous serez heureux ».

Je pense plutôt qu’on sera morts, mais ce n’est pas bien grave. Pour eux ça revient probablement au même. Au cimetière ou dans une prison digitale, du moment qu’on rentre dans le rang, c’est bon.

Evidemment il y a un côté irritant pour le petit ouvrier (par exemple, moi) à se faire conspuer par des maîtres auto-proclamés, dont la principale distraction est de dicter la vie (ou la mort) des autres du haut de leurs trillions de dollars, qui ne sont pas du tout un problème. Eux, ils peuvent.

Mais il y a autre chose à comprendre, et à comprendre vite : c’est comment on en est arrivés là.

Et la réponse est, par notre matérialisme égoïste et notre infantilisation. Nous sommes des enfants gâtés. On a joué à moi, je peux. Il faut nous punir.

Est-ce vrai?

On nous a vendu des voitures, et précisant bien qu’il ne fallait ni rouler trop vite ni rouler bourré. Et bien entendu, ce fut exactement l’inverse. Je roule en scooter et je respecte les limites de vitesse – y compris les zones 30, même en pleine nuit, même pendant les vacances, ce genre de con exaspérant. Or, j’ai compté : ça m’arrive deux fois par an de ne pas me faire dépasser par des chauffards automobilistes. J’ai parallèlement consulté les chiffres nationaux de la consommation d’alcool, de drogues illégales et de médicaments psychotropes et ils sont assez hallucinants – sans jeu de mots (je précise au passage que je consomme au pire du café et du tabac à rouler). Même sans faire de calcul de probabilité, j’imagine un nombre assez significatif de gens défoncés au volant. Un médecin urgentiste m’a d’ailleurs dit que plus d’une personne sur trois qui atterrit dans son service est sous l’influence de drogues dures – sur base d’analyse sanguine. Pas mal. En résumé, on ne fait pas très gaffe. On aura donc bientôt droit aux voitures sans chauffeur. Pure logique. A + B = C.

On nous a vendu des téléphones intelligents et des ordinateurs à vil prix sans qu’on entende beaucoup parler de leur coût réel, sur les plans sociaux, environnementaux et géopolitiques – ce qu’on nomme aussi les « coûts cachés », j’aborde la question des prix et de leurs conséquences dans mon article suivant – ni de la raison pour laquelle c’était tellement important que tout le monde y ait accès. Eh bien maintenant, on sait. Ce sont des outils de surveillance. Celui qui n’a pas compris ça maintenant vit sous un rocher. Et non, je n’ai pas de smartphone. Pendant que les autres sont le nez dans leur écran – généralement pas pour étudier les mathématiques avancées – je vais écouter le chant des oiseaux. Chant que certains – je suis prêt à le parier – prendraient pour une sonnerie de téléphone. Par réflexe.

On nous a vendu l’énergie pétrolière, qui, selon ce calcul un peu surfait, représente par kilo l’équivalent de la force de travail de vingt personnes à notre service, donc d’esclaves. Une aubaine sans équivalent dans l’Histoire humaine. Nous voilà maîtres d’esclaves, ce que pas mal de monde a compris comme l’occasion d’en foutre encore moins qu’avant, ou d’en faire n’importe quoi. Dans la salle de sport du village, il y a des bobonnes qui habitent à 1km, viennent en voiture, font 2km sur le tapis roulant et rentrent chez elles en voiture. J’invente pas.

On nous a vendu beaucoup de ce genre d’outils technologiques et personne n’a lu les petits caractères en bas de contrat : nous étions responsables de leur bonne utilisation. « En bon père de famille ». En consommateurs avisés, ce que nous ne sommes manifestement même pas capables de faire convenablement.

Et ne parlons même pas de la bouffe.

On me dira que je dramatise. Je dirais que je dé-banalise.

Jacques Attali (77 ans), « conseiller » au Président de la République Française depuis 1981, explique comment les personnes de plus de 65 ans représentent un fardeau pour la société – du moins, la sienne, il est socialiste – en termes de dépenses de santé, ce qui est de ce point de vue parfaitement exact. Evidemment, pas lui. Lui n’est pas un fardeau. Lui, il peut.

Sa conclusion est que la société du futur ne pourra advenir qu’avec l’option de l’euthanasie : la solution économique à un problème humain. Le nouveau (mais ancien) « conseiller » (encore un) à la Santé de l’administration Biden, Ezekiel Emmanuel, tient exactement les mêmes propos – sauf qu’il fixe la limite à 75 ans, merci quand même. Il a rédigé en personne la loi d’attribution de soins de santé au niveau individuel par des « comités » d’Etat (judicieusement renommés « death panels« ). Cette loi fait partie de ce qu’on a appelé ObamaCare. Il revient aujourd’hui la consolider, entouré d’une équipe d’économistes, encore eux. Vous vous souviendrez du slogan électoral du type qui se fait appeler Obama : Yes, we can. Oui, on peut. Même pas besoin de dénoncer ces crapules, ils le font eux-mêmes.

Vous pouvez lire les détails de ce qui précède dans cet article de Matthew Ehret que j’ai traduit ici, à partir du paragraphe intitulé « L’esprit génocidaire du Dr Ezekiel Emmanuel » – je vous recommande évidemment de lire l’article complet. Vous noterez que dans les deux cas, les arguments sont identiques : normalisation de l’eugénisme sous couvert de collectivisme, ou en langage courant, pour la survie du groupe, il faut sacrifier les faibles. Où ai-je déjà entendu ça?

Ce genre de calcul parfaitement répugnant suscitera chez tout être humain sensé une saine indignation, qui ne devrait toutefois pas occulter un fait crucial : la consommation de médicaments et de soins chez nos aînés a atteint un niveau complètement délirant. Une personne âgée dans mon entourage vient de décéder. On a vidé son armoire à pharmacie et on en a rempli deux sacs-poubelle. Le grand modèle, je précise.

On pourrait parler d’excès mais on me dit que ce n’est pas du tout exceptionnel et je veux bien le croire. Quand un médecin/dentiste me demande quels médicaments je prends et que je réponds « aucun », on me repose la même question, le sourcil levé et le regard inquisiteur. J’ai dû mal comprendre. Mon épouse, qui est dans le même cas, a même eu droit à des remarques un peu agacées. Pour des gens qui approchent la soixantaine, nous ne sommes pas normaux. Nous ne prenons pas notre santé au sérieux. La preuve, nous ne sommes pas malades.

Sur une année, ma consommation maximum en médicaments est : quelques cachets de paracétamol contre la douleur, quelques cuillers de bicarbonate de soude, de la pommade contre les engelures, et de la vitamine D et du gluconate de zinc en prévention (devinez contre quoi). Je ne passe jamais de visite de « contrôle » ni de « test »(suivez mon regard) et nous ne sommes évidemment vaccinés contre rien, ce qui a le don de pas mal énerver le toubib lambda, dont la compétence se limite à rédiger des ordonnances et à s’énerver.

Puisqu’on en arrive aux vaccins, je republie ci-dessous une extrait de mon article publié le 20 novembre 2020. C’est extrait d’une interview du Dr Theresa Deisher par Robert F. Kennedy Jr.

Source francophoneSource originale.

Extrait (10’55-14’46):

(traduction)

Robert F. Kennedy Jr : « Pourquoi est-on passé de l’utilisation exclusive de cellules animales à celle de cellules foetales? »

Dr. Theresa Deisher : « C’est compliqué. Les mouvements de défense animale étaient très actifs à l’époque et, par exemple, le virus de la varicelle pouvait être reproduit dans des cultures de cellules de cobayes mais il existe pas mal d’opposition à l’utilisation d’animaux dans la recherche et les défenseurs des animaux les ont clairement incités à utiliser les corps de bébés avortés. D’un point de vue économique, ils pensaient que ça coûterait moins cher. Ce qui n’est pas le cas, parce que le cadre réglementaire est bien plus contraignant. Et finalement fabriquer du virus coûte moins de 10 cents. C’est le « builing » (NdT. la coupure de la chaîne d’ARN pour stopper la transcriptase) du virus qui coûte cher, donc ça n’a finalement pas été plus rentable pour eux. »

Robert F. Kennedy Jr : « C’est plutôt surprenant de voir que les défenseurs des animaux ont plus d’influence sur l’industrie du vaccin que les mouvements anti-avortement. »

Dr. Theresa Deisher : « C’est le cas. En fait, ce qui est très inquiétant c’est le peu de protestation contre le fait que des bébés humains naissent vivants à cinq ou six mois afin qu’on puisse extraire leur coeur en train de battre. Et il faut qu’il soit en train de battre pour être utilisé dans la recherche actuelle. Si le coeur ne bat plus, il n’est plus utilisable, on ne peut plus s’en servir. Donc ces bébés naissent en vie et leur coeur est découpé sans anesthésie. Je ne ferais pas ça à une souris. »

Robert F. Kennedy Jr : « Vous voulez dire, vous dites cinq mois, vous nous parlez d’un foetus de cinq mois. »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. »

Robert F. Kennedy Jr : « Et ils naissent en vie? »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. »

Robert F. Kennedy Jr : « Et ils sont tués par chirurgie. »

Dr. Theresa Deisher : « Leurs coeurs sont découpés. Ou on découpe dans leurs visages pour obtenir leur tissu cérébral. »

Robert F. Kennedy Jr : « C’est horrible. »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. Et on ne ferait pas ça à une souris. »

Robert F. Kennedy Jr : « [Stanley Plotkin] dit qu’on utilise tout le foetus. Les foetus sont avortés puis découpés en morceaux. On utilise les langues, on utilise les yeux, on utilise toutes les parties du foetus. Est-ce vrai ou n’utilise-t-on que le coeur et le cerveau? »

Dr. Theresa Deisher : « On utilise tout le bébé, certains scientifiques achètent le coeur, un autre scientifique achète le cerveau, on achète les jambes ou les yeux. Les corps sont vendus en morceaux aux chercheurs. J’avais reçu un catalogue il y a une vingtaine d’années. Je n’oublierai jamais les prix. Un bébé de 32 semaines, ça signifie un bébé vivant. […] Les prématurés survivent à partir de 21 semaines maintenant. Donc ce sont des bébés viables. »

Si ce genre d’abomination était commise par un quidam, ça ferait les gros titres de la presse internationale et on en parlerait encore dans un siècle. Ce serait « le tueur de bébés », « le psychopathe sadique », etc. Mais ici, on parle de gens qui se lèvent le matin, embrassent leur femme – ou leur mari, je suis certain qu’il y a des femmes dans cette histoire – conduisent leurs enfants à l’école avant de se rendre à leur boulot et de commettre ça. Parce que eux, ils peuvent. Ils sont même payés pour, et grassement.

Je vous envoie à cet excellent article de Liliane Held-Khawam qui reprend notamment la déposition de Stanley Plotkin, dont fait mention Robert F. Kennedy Jr ci-dessus. Lisez-le.

C’est le quotidien dans le petit monde de la « recherche scientifique » : on a commencé par torturer à mort des animaux, puis on est passé aux bébés. On commence toujours par les animaux. Et ce sont ceux qui les défendent qui demandent qu’on le fasse plutôt aux petits humains, comme vous venez de le lire.

Dans les cliniques d’avortements, le quotidien ce sont des bébés – viables – qui naissent en vie quand on a pas pris la précaution de les tuer avant, et qu’on laisse mourir, ce qui peut prendre des heures, dans la buanderie de linge sale ou dans des pièces appelées « chambres de confort« .

C’était une petite pièce joliment décorée avec une machine « First Foto » au cas où les parents voudraient des photos de leurs bébés avortés, des fournitures de baptême si les parents voulaient que leurs bébés avortés soient baptisés, et une imprimante à pied et des bracelets pour bébé si les parents voulaient des souvenirs de leurs bébés avortés. Il y avait aussi un lit-berceuse en bois pour bercer ces bébés en attendant qu’ils meurent.

This was a small, nicely decorated room complete with a First Foto machine in case parents wanted pictures of their aborted babies, baptismal supplies if parents wanted their aborted babies baptized, and a foot printer and baby bracelets if parents wanted keepsakes of their aborted babies. There was also a wooden rocker to rock these babies to death.

Allez voir le lien, il y a des photos. C’est tout à fait charmant.

Exceptionnellement, certains en réchappent : voici le témoignage de l’une d’entre eux.

Depuis un an les vieux dans les homes subissent le même genre de traitement – ce qui ne devrait pas trop déranger les « conseillers » mentionnés plus haut. Rappelez-vous : les bébés et les vieux, rien à foutre.

Qu’ils crèvent.

Les actes innommables commis à l’abri de salles médicales feutrées en sortent aujourd’hui et viennent déborder sur l’ensemble de la société, qui s’en émeut et défile dans les rues. Le petit peuple semble découvrir un peu tard dans quel système il vit. Il a un peu vite oublié le coût humain de son petit confort : les vieux discrètement parqués dans des mouroirs – loin des yeux, loin du coeur – les dizaines de milliers d’enfants sacrifiés hier à la « révolution industrielle », les enfants esclaves des pays pauvres, les enfants qu’on massacre en silence pour la recherche, pour leurs organes – ou simplement pour ne pas devoir s’en occuper. Finalement, pourquoi pas? On peut.

La valeur d’une société se mesure à la manière dont elle traite les êtres sans défense. Ce n’est pas économiquement, mais moralement et humainement que cette société s’écroule, et je n’ai pas besoin du discours hypocrite et des arguments frauduleux d’un Klaus Schwab pour le savoir. Que ce soit sa clique de milliardaires cyniques qui se charge de nous faire payer la facture, en faisant de cette planète, dans un premier temps, une prison à haute sécurité, est une ironie doublée d’une insulte

Ce monde deviendra bientôt un enfer. Il l’était déjà pour certains, comme vous le voyez. La doctrine égalitaire fera qu’il le devienne pour tous.

L’humanité est devenue un syndicat du crime organisé.

Mais tout finit par se payer.

Tout.

Les nombreuses analyses médicales des « vaccins » Covid que j’ai traduits et publiés ici attirent du monde, nettement plus que mes propres articles. Mais comme on me l’a fait remarquer, on n’attire pas les mouches avec du vinaigre. Beaucoup de gens sont curieux et inquiets de ce qu’on cherche à leur infliger. La réponse est claire, simple et tient en trois mots : rien de bon. Mais la question n’est en définitive qu’une question de consommateur de médecine : est-ce un bon produit?

Même si ce vaccin était parfaitement « sûr et efficace » – ce qu’il n’est manifestement pas – toute personne qui l’accepte se rend complice par association des atrocités décrites plus haut. La plupart des gens peuvent tenter de se disculper en arguant qu’ils ne savaient pas.

Maintenant vous savez.

A vous de voir si vous pouvez.

Nous, on peut. — Le blog de Skidmark

Catégories :REBLOG

Tagué:

6 réponses »

  1. Un jour il faut espérer que l’on passera tous ces Criminels Démoniaques devant une Cour Martiale et sans pitié.
    Quand je pense que certains « Bien Pensants » ayant pignon médiatique sur toutes les chaines Maistream et ayant pignon politique bien en vue, osent venir stigmatiser toute opinion divergente allant contre « La Pensée Unique » établie au Pouvoir, comme soi-disant émanant de personnes qui seraient soi-disant des « suppots » de personnages ayant commis des « Crimes contre L’humanité » il y a 80 ans…. Mais de qui ces accuseurs télévisuels ou politiques se moquent-ils, quand on voit les Actes Monstrueux qui se passent en coulisses de notre société, bien cachés derrière des paravents….
    « L’Axe du Mal » est bien Là, et si on ne réussi pas à le vaincre ce sera un Enfer Apocaplytique qui s’installera sur Terre.

  2. On sait toutes les perversités dont les humains sont capables, mais là vous décrivez un système institutionnel sadique, de torture et de massacre de bébés prématurés. Franchement, je ne veux pas, je ne peux pas croire ce qui est relaté dans cet article. Présentez des preuves que ceci est vrai, parce que c’est un impératif absolu quand on affirme que de telles horreurs sont perpétrées. Là, vous n’avez qu’un seul témoignage, dont on peut douter.

    • 1 er partie de l’article, très bien , la suite sur les bébé avortés …. comment dire….là on nage en plain délire !

  3. Je vous suis tout le long sauf sur qqs points (qui sont des peut-être aussi des poings).

    Coté médecin et médicament nous faisons exactement pareil sauf pour le paracétamol que j’ai remplacé par de l’aspirine. Je devrais utiliser des plantes mais je suis très paresseux.
    J’ajoute de temps en temps une goutte de teeTree pour désinfecter la bouche ou le nez.

    Idem pour les oiseaux que nous avons l’insigne chance de côtoyer. Vivre hors de la ville, il faut le vouloir et le pouvoir.

    J’ai cette détestation non pas de la technique toujours fascinante mais de la gabegie qu’ILS nous obligent à faire en nous faisant croire des salades. Bien-sûr, je n’y crois pas ayant quelques pratiques professionnelles de ces objets. Cela-dit, il est difficile de reprocher à la population de croire aux mensonges si bien faits pour elle. Le boulanger peut se faire avoir sur l’obsolescence de son ordinateur ou de son téléphone quand de fait, ce dernier peine ou bug. ILS ont tous les moyens en main pour nous tromper.
    IBM il y a des dizaines d’années, trompait ses clients avec des mises à jour bidons payées très chères (contrat obligatoire de maintenance) en réduisant une boucle d’attente à ne rien faire pour montrer les progrès d’une version sur l’autre. La pratique de la tromperie sur la marchandise est aussi vieille que la marchandise. La différence vient de l’échelle de la tromperie. L’industrialisation de tout aide les dominants propriétaires.
    La bizarrerie n’est pas de se laisser tromper, c’est le sachant, nous continuons à supporter nos escrocs dominants. Nous ne faisons rien pour nous sortir de prison.
    La raison simpliste est que nous n’en voyons pas les murs. Qu’il faut pour nos contemporains une série de catastrophes planétaires pour ouvrir un œil. Qu’il faut la tragi-comédie de la COVID pour qu’ils en ouvrent un autre. Et quoi encore pour qu’un neurone les fasse se mouvoir dans la bonne direction de l’émancipation ?

    Je ne comprends pas comment on peut reprocher à Attali d’être socialiste ?
    Peut-être s’attache-t-il une telle étiquette ?
    Entre ses dires, ses actions et le socialisme, il n’y a pas de points communs.
    Un mensonge de plus, Pourquoi s’y référer ainsi ?
    Passons.
    Attali n’st un bon larbin au service exclusif de l’oligarchie (et je suis certain qu’il en est conscient, voire qu’il le dit).
    Laquelle de tout temps n’a jamais rien fait d’autre que de se gaver en faisant travailler les gueux, le voltairisme.
    De cogner la population quand elle se rebellait, de l’exterminer quand elle se révoltait.
    Si maintenant cette oligarchie dépèce les bébés, c’est que les prélèvements et tueries en Inde se voient trop. Et si elle tue les vieux comme des déchets, c’est que nous fermons les yeux en nous en satisfaisant – ouf un poids en moins, un pécule en plus. Salauds de pauvres.
    Le pouvoir absolu, le pouvoir sans contrôle a toujours été une abomination pour les gueux.
    Et les gueux toujours utiles et crédules pour se courber.
    Oublier que le pouvoir désinhibe est aussi criminel que croire aux mensonges religieux,
    c’est vraiment se laisser aller. C’est cela la servitude volontaire.
    Salauds de pauvres.

  4. 23/04/2021 – le poids des mots et le choc des analyses (découvrir la situation en matière du « vol d’atteints » ou des couvre-feux justifiés dans le tableau « France au goût du jour », inclus dans le lien à cliquer).
    https://wp.me/p4Im0Q-4TN
    – Il y a quoi en dessous des zélites ? Collabo – marginaux et lanceurs d’alerte. Dans quel sous-prolétariat sommes-nous. Nous avons toujours le choix de nos destinées, même si tout semble s’y opposer. Ne passons pas nos vies à se lamenter sur nos petitesses, tentant au moins de nous élever au-dessus de cette mêlée qui semble nous écraser. Nous pouvons et devons y arriver et telle une Françoise Nicolas osons !

Laisser un commentaire