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SOS philosophie (tu files, ô, Sophie ?). « Michel Onfray, autre affront populaire, compare les non-vaccinés à des contaminateurs du Sida et des violeurs de jeunes filles. » Onfray, le piètre panseur qui ne sait à quel vaccin se vouer, un vil courtisan en mal de milliardaire avili, personnage en quête du dictateur (et non d’auteur) qui adviendra après/avec Macaron. Franz me confirme qu’au boulot la populace réclame plus de trique pour les non-vaccinés. Mais quelle mauvaise bouche les pique (sic), ces coqs erratiques ? Après la prise de la Bastille, la crise de la pastille ?

 SOS philosophie (tu files, ô, Sophie ?). « Michel Onfray, autre affront populaire, compare les non-vaccinés à des contaminateurs du Sida et des violeurs de jeunes filles. » Onfray, le piètre panseur qui ne sait à quel vaccin se vouer, un vil courtisan en mal de milliardaire avili, personnage en quête du dictateur (et non d’auteur) qui adviendra après/avec Macaron. Franz me confirme qu’au boulot la populace réclame plus de trique pour les non-vaccinés. Mais quelle mauvaise bouche les pique (sic), ces coqs erratiques ? Après la prise de la Bastille, la crise de la pastille ?

SOURCE NICOLASBONNAL.COM

« Il m’arrive de penser que le célèbre Microbe, explicatif de tous les maux, dont la médecine contemporaine fait si grand état, doit être et ne peut pas être autre chose que le plus subtil mensonge du vieil Ennemi. » — Léon Bloy, Journal, 29 mai 1892

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4 réponses »

  1. Onfray retourne sa veste plus vite que Melanchon .
    A eux deux , ils ont un énorme avenir dans les énergies renouvelables

  2. Incroyable leçon de philosophie que cet échange avec De Villiers… sur Front populaire pour ceux qui en veulent. La vaccination ne lui réussirait-elle pas ? On parle d’effets secondaires amoindrissant les facultés intellectuelles. Ici, saute au yeux une haine tenace, des haines puisque déployée tous azimuts, celle par exemple, et pour la plus inoffensive, de qui n’a pas obtenu la place convoitée à la terrasse du café, contre l’occupant hardi, jeune… Guerre des hédonistes de trottoir…, là et pire que le caniveau. Misère Michel…

  3. Georges Bernanos « La menace qui pèse sur le monde est celle d’une organisation totalitaire et concentrationnaire universelle qui ferait, tôt ou tard, – sous un nom ou sous un autre, qu’importe ! – de l’homme libre une espèce de monstre réputé dangereux pour la collectivité tout entière, et dont l’existence dans la société future serait aussi insolite que la présence actuelle d’un mammouth sur les bords du Lac Léman. Ne croyez pas qu’en parlant ainsi je fasse seulement allusion au communisme. Le communisme disparaîtrait demain, comme a disparu l’hitlérisme, que le monde moderne n’en poursuivrait pas moins son évolution vers ce régime de dirigisme universel auquel semble aspirer les démocraties elles-mêmes. »
    Georges Bernanos, La liberté, pour quoi faire ? (1953)

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