REBLOG

MACRON SE MET À PORTÉE DE BAFFES, DE TALOCHES, DE TORNIOLES. LE PALTOQUET SANCTIONNÉ Par Bruno Bertez

MACRON SE MET À PORTÉE DE BAFFES, DE TALOCHES, DE TORNIOLES. LE PALTOQUET SANCTIONNÉ.

Mon seul commentaire sur cette affaire se résume à ceci :

Il l’a bien cherché.

C’est ce que le Père dit a la Mere quand il vient de filer une torniole à son fils jeune branleur qui a nargué le monde .

La gifle, la baffe, la torniole, c’est du symbolique, ce n’est pas de la violence ou du passage à l’acte non c’est le contraire, ce n’est pas la raclée!

Et encore moins l’attentat.

Avec Macron on n’est pas dans le tragique, on est dans le dramatique, pas loin du caniveau . Pas loin du boulevard!

Celui qui est giflé n’est pas digne de l’attentat!

Il mérite simplement d’être remis à sa place , c’est le vrai but de la gifle.

Son effet est psychologique, interne , il touche à l’ego, à l’image que le jeune branleur se fait de lui .

La gifle c’est la rencontre de l’imaginaire du branleur et du réel.

La gifle contrairement aux commentaires des médias n’est pas atteinte à la fonction puisque Macron nie la fonction , refuse d’endosser la fonction présidentielle , il refuse la vraie autorité, celle de De Gaulle et préfère la tyrannie des Ceausescu . Il n’est pas dans la triangulation symbolique , comme l’était de Gaulle incarnation de la France, il est dans la dualité, il ne se situe pas par rapport a la Loi mais par rapport à la loi, minuscule; l’imaginaire.

Macron n’a jamais accédé à la Loi, c’est dire à la parole du Père, cela lui a été impossible, par son complexe transgressif. Il ne connait que le Duel/Duelle.

Macron veut etre le chef non parce qu’il représente une fonction sacralisée mais parce qu’il est lui, ego démesuré, transgressif. Il a la folie -c’est une vraie folie, une psychose- de croire que c’est lui le chef, lui qui commande alors que c’est la fonction, le statut et cette gifle est là pour lui rappeler qu’il est rien qu’un usurpateur, un paltoquet… qui fait chuter la fonction, la rabaisse.

Ce n’est pas la fonction qui est giflée c’est le paltoquet qui désacralise la fonction.

Si je devais continuer à analyser je tirerai sur ce fil conducteur, celui du jeune branleur qui n’a pas accédé à la maturité faute de rencontrer la Loi du Père, qui fait le malin et qui se fait remettre à sa place, humilié, vexé, il croyait montrer son phallus scintillant devant Maman et la baffe équivaut à le déculotter , à montrer son cul merdeux. La baffe n’est pas loin de la fessée , elle se donne sur la joue alors que la fessée se donne sur le cul.

Ce fil conducteur est très riche.

La gifle, la baffe, la taloche c’est la réinsertion de Macron dans le monde, une réinsertion qui a à voir avec l’évènement symbolique extrêmement riche que fut celui des gilets jaunes.

BRUNO BERTEZ

Macron se met à portée de baffes, de taloches, de tornioles. Le paltoquet sanctionné.

« Entre l’élitisme et l’éthylisme, nous avions choisi le cynisme morbide de ceux qui sont condamnés par la massification. Vilain mot qui commence comme massicot et finit comme dissection. Bref, nous étions de Droite rien que pour emmerder le monde qui d’ailleurs s’en fichait. »

EN BANDE SON :

Catégories :REBLOG

Tagué:

7 réponses »

  1. J’ai deux préceptes :

    1 – Une bonne baffe vaut mieux qu’un long discours .
    2 – Tous les problèmes se règle par la violence.

    NO FUTUR sauf dans le sang

  2. On ne souligne pas, ignorance inexcusable, que l’agresseur de Macron a montré qu’il était un connaisseur des traditions en plus qu’un judicieux porte-parole de nombreux Français légitimement exaspérés. Il aurait pu poignarder, ou donner un coup de poing. C’est ce qui se fait d’homme à homme. Non, il gifle, ce qui est humiliant car la gifle, la torgnole, la baffe, la taloche, le soufflet, la pavoine ou le pare-à-virer des marins de la grande époque de la voile, est réservée aux enfants. Même un mousse ne pouvait être giflé, explique l’ancien capitaine au long cours Armand Hayet. La gifle était une insulte si grave qu’elle donnait au giflé le droit « de tirer de sa gaine son couteau de gabier. » En giflant Macron, son agresseur lui a clairement fait comprendre qu’il le considérait comme le gamin immature qu’est notre prétendu chef d’État.

  3. Vous croyez qu’il a compris, le Cron-cron ? J’ai bien peur que les Français ne se doutent de rien dans ces histoires… La preuve Cron-cron veut vendre l’Or de la fRance pour sauver l’Afrique !!!

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/frances-macron-urges-g-7-sell-gold-reserves-fund-bailout-africa

    Dédommages collatéraux de Guerre ?

    https://francais.rt.com/international/87635-emmanuel-macron-annonce-fin-operation-barkhane-operation-exterieure

    Nous ne sommes pas loin d’une l’opération « Corne-Baffe »… Pff

  4. MONTJOIE !
    J’apporte évidemment tout mon soutien à ce Damien T., qui au cri de Monjoie ! Saint-Denis » giflait Tata tandis que celui-ci prétendait « aller à la rencontre des Français »…
    Quelques journalistes ignares (pléonasme), en panne de Wikipédia, assurent que ce cris de guerre capétien serait un slogan anarchiste alors que d’autres, plus renseignés, martèlent que ce médiéviste serait un activiste de l’Action Française, Gilet Jaune de surcroît, chez qui on a découvert des armes et un exemplaire de Mein Kampf. Bref, le mec est habillé pour l’été et son déconfinement risque d’être de courte durée.
    Évidemment, le troupeau qui nous fait office de peuple, « condamne » ce geste plutôt marrant en suivant les injonctions morales de BHL est ses amis – et ses ennemis – qui convoquent une fois encore le fascisme, les Ligues, Sarajevo et mon cul sur la commode. Même les soutiens de Marine Le Pen – elle-même également – s’indignent qu’un jeune type couillu et baroque à la fois, dénonce symboliquement la farce qui nous tient lieu de « Démocratie »…
    Ils ont porté les masques comme un seul homme, se sont calfeutrés dans leurs baraques, obéit aux couvre-feux, et se font piquouser comme des veaux aux hormones, rien d’étonnant à ce qu’ils fustigent un homme libre…
    C. Rol via facebook

    BAROQUE ET FATIGANT…
    Pour la mornifle à Tata et tout le grotesque de la situation qui tourne en boucle, Damien Taurel se prend donc quelques mois de prison. Pas tant pour le soufflet d’ailleurs que pour son attitude lors de la comparution immédiate où, nous dit-on, le bonhomme a fanfaronné outre-mesure quand on attendait de lui pleurniche, repentance, excuses minables qui caractérisent les petites frappes impunies, protégées, promues par l’Ordre bourgeois qui en tremble.
    « L’abruti » en question, le « paumé » et toute la panoplie ordurière de rigueur dont l’affublent les médias depuis trois jours, n’a pas baissé la tête devant ses juges corrompus qui avaient pour ordre de faire dans « l’en même temps ». Peu de prison mais, en revanche, une mort sociale assurée et, cerise sur le gâteau, une « obligation de soins psychiatriques »… comme au bon vieux de temps de la Loubianka, façon En Marche.
    Lors de son procès expédié fissa (pour une fois la Justice avait tous les moyens et le temps) Damien a invoqué la chevalerie, son combat pour les Gilets Jaunes et les Patriotes en général. Il a évoqué un éventuel duel avec Tata que celui-ci aurait bien sûr refusé. Cette rhétorique fleure bon la chanson de geste et la virilité moyenâgeuse. Comme dit mon père de 92 ans : « Ce type a du cran »…
    C.Rol via facebook

Laisser un commentaire