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Article du Jour : Liberté, ta rareté fait ton prix et il m’en coûte de t’en être allé !!! Par Master T

Liberté, ta rareté fait ton prix et il m’en coûte de t’en être allé !!! Par Master T

La démocratie est jugée inefficace à traiter et éradiquer le covid. On lorgne sur la Chine, merveilleux modèle d’efficacité qui ne s’embarrasse pas de « valeurs démocratiques » jugées obsolètes et contraires au darwinisme prédateur d’une société mixée à la technologie numérique qui n’attend de sa population qu’une obéissance aveugle et zélée.

Le rêve de tout despote, c’est le rêve du gourou d’une secte qui le doigt levé fait se courber l’échine des foules, qui lève la voix et obtient un grand silence de soumission, qui autorise, en bon seigneur, que le couvre feu à 23 heures pour les bobos de Roland Garros peut etre levée tandis que la jeunesse fêtarde se prend des coups pour ne pas avoir respecter le décret de sécurité sanitaire.

Crise sanitaire qui autorise tous les débordements illégitimes de l’état de non droit dans lequel on nous a plongé et de tous les devoirs liberticides dont on nous a douché. Les hygiénistes de la santé publique ont viré à la folie des grandeurs, ils distillent la peur et obtiennent en retour les faveurs du bétail. Le bétail croit ce qu’on lui montre et les mots lui manquent pour comprendre que le maitre n’a d’autres ambitions que de le mener à l’abattoir… Le bétail a perdu tout honneur et dignité, il broute, il bêle et parfois il mord ses congénères mais de son humanité, de la responsabilité de se grandir, de penser la vie autrement que sous le voile d’un chantage honteux ou on amis en balance sa liberté passée pour sa sécurité future. Pourtant cette sécurité on lui dit qu’elle est sa liberté tandis que sa liberté est suspendue à une chaîne de compromis on la traîne dans la boue au nom du « plus jamais çà! ».

Plus jamais de mort à cause d’une pandémie; maintenant vivons le progrès à fond avec l’intrusion de la stasi !. C’est la nécessaire et évidente soumission aveugle et compétente aux exercices probatoires de la surveillance digitale de masse, le recours à la délation citoyenne par interférométrie numérique (traceurs, étoile jaune virtuelle du dénommé « QR code » qui par renversement historique vous transforme en prisonniers volontaires d’une immense prison en forme de panopticon ou la France devient un couloir de la mort sociale pour toute personne non marquée par ce signe de la bête qui fait leur fierté « d’Homme nouvellement Libre »).,

L’envoie de drones, les bracelets électroniques… tout ces moyens « hype » ont été déployés pour avoir oser violer la nouvelle déontologie citoyenne de seulement désirer penser et agir en dehors de la ligne des clous et des barbelés dressée par la pensée unique du parti de la peur et du mensonge.

Nous avons eu la guerre froide et maintenant c’est la « terreur froide ».

A la stigmatisation de la pensée libre, non soumise au diktat de la peur, cette pensée est devenue criminelle et dissidente dans ce No Man’s land qu’est la France et bientôt une partie de la planète. Il devient risqué de seulement se penser encore libre de réfléchir ainsi que de refuser volontairement se laisser entraîner dans ce corral étroit de la pensée linéaire, simplifiée, sans alternative et balisée par le Système Républicain mais surtout pas démocratique.

Nous n’aurons bientôt plus d’autre loisir que la soumission et le suicide volontaire de nos valeurs significativement humaines ou la lutte pour la survie de ce qui fait de nous des Êtres dignes et honorables est un affront républicain et de ses valeurs honteusement tronquées… Droit de l’Homme? Mais le dissident n’a plus de droit, il faut qu’il se vaccine, ferme sa gueule et chante la divine gloire du système oppresseur qui le nourrit.

La vie, c’est déjà la lutte et la lutte est d’abord menée en soi puis elle est promise à se projeter au dehors de soi. La lutte est ainsi formatrice pour le courage et l’abnégation, elle nous construit, nous apprend les limites, les possibles mais aussi nos devoirs et les responsabilités de nos choix … Alors luttons en conservant ce qui fait la grandeur des Êtres: la LIBERTÉ et la DROITURE mais aussi pour ce qu’éveille en nous le sens pleins du mot JUSTICE!

Il ne peut y avoir de fraternité véritable dans la servilité volontaire si ce n’est dans une secte religieuse et politique comme cette société sanitaire qui se construit sous nos regards hébétés. La fraternité ne serait autre que celle du « dernier Homme » de Nietzsche. Un Etre devenue une « bête de somme » fabriquée à l’image passionnément désirée par la meute de prédateurs délirants qui nous gouvernent… Leur petitesse n’égalerait que ces peuples aveuglés et soumis par tant de compromis et de convoitise (Le fameux « monde d’avant »); le 1er moyen contondant pour égorger notre dignité étant que le mensonge se parodie en vérité et que les foules trouvent là les moyens de se croire dans leur bon droit d’en accepter le sacrifice autant que l’humiliation.
Le mensonge cohabite avec ce désir mortifère qui les entraîne à prêcher leur propre Bien comme étant obligeamment le mien… Répètent-ils à l’unisson et en écho de la voix de leur maître ce que je dois faire et tout ira dans le meilleur des mondes? Monde carcérale qui instruirait l’idée-force de notre bonheur partagé, comme le bousier n’aurait d’horizon heureux et unique que la boule de merde qu’il trimbale toute sa vie en vue de se nourrir.

Hébétés par l’hystérie ambiante et l’observation d’une telle sidération des masses face à l’ignoble des situations que nous vivons chaque jour, les dissidents que nous sommes devenus malgré nous nous a exclu de ce zoo sans même s’y attarder car il s’est construit là ou nous étions nous-mêmes placés -au milieu des nôtres-, et nous avons vu les cages se dresser tout autour de nous et les gens choyer cette nouvelle demeure dorée par les promesses de sortie de crise sanitaire. Ce qui justifiait tout cela, le pire et plus encore c’était l’idée que le nouveau « bien, beau et juste » c’était justement cela et cela ne pouvait être autrement que cela, une prison de fous… Triste destin.

Là ou l’hygiène mentale quotidienne commence, finit toujours de s’éteindre l’ignorance qui nous avilissait. Nous découvrons dans cet effondrement civilisationnel à quel point la Liberté est désirable… Nous nous découvrons aussi dans ce qui nous manque.Cela, parce que la Connaissance se fait de plus en plus rare, elle se fait cher à notre cœur. Elle s’éloigne à mesure que la nuit tombe lourdement sur nos Âmes. Et avec ces ténèbres menaçant, nos rêves nous accompagnent et nos songes nous poussent de la retrouver en pleine lumière et la ressentir vibrant dans notre chair. La sentir, pouvoir encore la chérir plus encore que nous ne l’aurions jamais pensé… Liberté, ta rareté fait ton prix et il m’en coûte de t’en être allé !!!

MASTER T

« Plus nous nous élevons, plus nous paraissons petits aux regards de ceux qui ne savent pas voler »

Ne pas oublier ! — Plus nous nous élevons, plus nous paraissons petits aux regards de ceux qui ne savent pas voler. (574)

Friedrich Nietzsche – Aurore  : réflexions sur les préjugés moraux (1881)

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