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No pass-aran ! Deux lignes de force et six actions pour résister !

 Publié le 17/07/2021 à 08:38

Ces sorties d’un tour nouveau impliquent un choix draconien : boycottons les établissements, les lieux, les événements, les entreprises qui adoptent le pass sanitaire.

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Auteur(s): Tristan Edelman, pour FranceSoir
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TRIBUNE – Nous avons tous compris au moins une chose : la peur est mauvaise conseillère. Or le gouvernement continue de s’appuyer sur le système de la peur. Poursuivant l’intimidation, il organise la terreur pour écraser les nations, les individus et les peuples. Au tour des enfants, maintenant, contaminer leur cœur et leur tête. Goutte d’eau de trop ? Après un temps où les collectifs se sont enfermés dans une sorte de routine, c’est un nouveau moment qui nous est offert. Ne le ratons pas.

Mettons un frein à la stratégie de destruction ourdie par l’Etat : délation, division, désignation d’un ennemi. N’est-ce pas un crime contre la nation de monter les Français les uns contre les autres ? Un crime contre les peuples de diviser le peuple en lui-même et les peuples entre eux ? Un crime contre l’humanité de s’appuyer sur la guerre, la haine et les pires tendances de l’homme ?

Que faire ? Deux lignes de force et six actions se dégagent.

Deux lignes de force :

1) Comprendre le réel : Souvenez-vous : « la retraite, on n’y touchera pas ». Comme à son habitude, Macron applique son inversion rhétorique de manière méthodique. « Le vaccin, comme tout médicament, peut être le remède, mais aussi le poison », « ne pas croire à la vaccination obligatoire », « on ne répond pas à la défiance par l’obligation ». Fidèle à lui-même, il répand le poison, il fait d’une croyance un dogme, il répond à la défiance par l’obligation. La face du Président semble se confondre avec celle de son préfet Lallement. Nous sommes passés du soft power de la guerre économique au hard power de la guerre civile. Le voile tombe. Il ne s’agit pas d’une crise sanitaire : le rythme ne dépend pas des variants, mais de l’invariabilité d’un projet ultra-libéral. Le voile tombe. Nous sommes en guerre. Oui. Un virus instrumentalisé pour imposer le pire du monde marchand, des GAFAM, de la haute finance, de la dictature, du progrès morbide de l’amélioration de l’humain et de la nature.

2) Entrer dans le réel. Ce projet ne peut aboutir qu’avec la soumission des peuples. Oter toutes libertés individuelles et collectives. Il est temps de s’associer. Chacun le dira comme il le souhaite : créer un front d’opposition, une résistance, une alliance des différentes fractions du peuple. Il ne s’agit pas de nier les divergences de chacun et de chaque collectif. Au contraire il faut les préciser, les affirmer. L’association sera d’autant plus puissante qu’elle sera diversifiée. Malgré nos divergences, nous nous sommes unis sans nous perdre ! Quelle conscience, quelle beauté ! Cela ne vous rappelle-t-il rien ? Qui oserait taxer de « complotiste-négationniste-d’extrême-droite » la glorieuse résistance qui s’est organisée sur le sol de l’Europe ?

Six actions :

C’est en agissant sur tous les plans à la fois que le pouvoir reculera. Pas besoin de se coordonner : il suffit d’agir. L’organisation suivra d’elle-même. Les Gilets jaunes savent de quoi je parle. On a appelé cette magie : « le mouvement organique du peuple », « l’intelligence collective » ou encore, « l’étincelle ».

1) S’appuyer sur les actions juridiques : Malgré les efforts de la propagande, la loi est de notre côté. Au niveau constitutionnel. Au niveau de la hiérarchie des normes (la Constitution prévaut sur les traités, les lois et les décrets). Au niveau des décisions du Conseil de l’Europe (la non-obligation du masque et des mesures sanitaires), la loi Kouchner du 4 mars 2002 (« aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment »), le Code de Nuremberg (« le consentement du sujet humain est absolument essentiel »). La liste est longue. « L’autonomie personnelle » concept fondateur de la Cours Européenne des Droits de l’Homme ne peut être remise en cause qu’en cas avéré de danger de mort. Est-ce le cas ? Un article du Dalloz nous rappelle que « dans un État de droit, la liberté doit rester la règle et la restriction de police l’exception ». Pour ce, il faut s’appuyer sur le principe de proportionnalité qui va avec celui de précaution. Or il est démontré qu’aucun de ces principes n’est respecté, l’examen de la proportionnalité se faisant notamment à partir des causes de décès et des comparaisons épidémiologiques.

2) Au niveau numérique, c’est le moment de signer les pétitions, de sortir du silence pour affirmer ses positions personnelles, d’envoyer des mails aux institutions. Saturons les serveurs. Pour les gouvernements gangrénés d’agences de com, les réseaux sociaux sont une des régions pour prendre la température. Si leur projet est déjà bien plié et empaqueté, son application dépend de la réaction des citoyens. C’est le moment de faire chauffer le baromètre jusqu’à ce que les satellites qui abiment le ciel ne puissent reprendre la barre du bateau fantôme qui voudrait que le monde s’échoue dans le projet.

3) Le point fondamental : une fois accomplie notre participation juridique et numérique, on sort de chez soi ! Un pas dehors, un pas pour rejoindre les autres ! Ces collectifs qui se sont constitués sur le tas, sur le terrain, allons-les rejoindre selon nos goûts et nos couleurs. Développons nos antennes, rejoignons les antennes collectives du réel ! Mes chers lecteurs, il est temps de quitter les lieux du web pour faire et refaire un rond-point à vocation internationale !

4) Ces sorties d’un tour nouveau impliquent un choix draconien : boycottons les établissements, les lieux, les événements, les entreprises qui adoptent le pass sanitaire. Soutenons ceux qui le refusent. A Berlin et à Turin des commerçants sont restés ouverts pendant le confinement, malgré les milliers d’euros d’amendes et les descentes d’huissiers. Hier conspués aujourd’hui acclamés.

5) Nous allons redonner sens aux manifestations. Les manifestations seules sont dangereuses, voire contre-productives. Prises dans cet ensemble, elles deviennent la partie visible de la résistance : nous sommes encore là ! Et nous savons à quel point les gouvernements ont peur de cette présence physique, aujourd’hui qu’ils cherchent à mettre en demeure devant un écran nous et nos enfants. Si à titre personnel on ne souhaite pas s’y rendre — ce qui se comprend très bien — alors il faut soutenir les manifestants. Soutenir leur courage, soutenir leur présence ! Et n’oubliez pas : les chiffres de BFM sont faux.

6) Faire appel aux travailleurs. Profitant de la multiplication des chômeurs et de la menace sanitaire, les syndicats ont corseté, censuré voire menacé les travailleurs. Fonctionnaires d’Etat, libres entrepreneurs, employés d’entreprises, précaires : tous subissent la violence plus ou moins sourde de l’Etat et des syndicats. Les soignants sont parmi les premiers visés aujourd’hui. On sait qu’il nous les faut défendre coûte que coûte. Nous formons une société consistante : si l’un tombe les autres suivent. Les syndicats se brisent sous la poussée des syndiqués. La corruption ne peut plus se cacher sous la colère des travailleurs et des précaires. Soutenons-les et pensons dors et déjà à recréer nos syndicats et nos prochaines activités.
 

L’égalité, la liberté, la fraternité ne sont pas des prés carrés de la gauche ou de la droite. Ce sont les bases de la vie des peuples. Rendons-à ces mots leur sens concret dépassant de loin toute devise et toute république. A samedi donc et après ! En présentiel, en réel, en chair et en os, bref : en vrai !

Auteur(s): Tristan Edelman, pour FranceSoir

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9 réponses »

  1. Pour résumer, et en accord avec « le mariage pour tous » d’hier, le (la) « Pass sanitaire » aujourd’hui c’est « l’enc..ade » pour tous.
    Pour celui ou celle qui a encore des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, il n’y a rien d’étonnant à cela : c’était aussi voyant qu’une démolition contrôlée.
    Pour les autres, à force de naïveté et/ou d’ignorance, de paresse aussi bien physique qu’intellectuelle puisque l’une ne va pas sans l’autre, et le nez perpétuellement sur votre portable vous n’avez rien vu, et vous l’avez finalement bien cherché.
    Comme Pinocchio, après vous être laissez aller à tous les divertissements de bas étages et à toutes les faiblesse que procure la pure sensation, vous êtes tombés dans le piège plannifié par vos zélites : vous avez été abêtis et êtes devenus des ânes bêlant, corvéables à merci.
    Maintenant, il va falloir faire de gros efforts si vous voulez remonter la pente si facilement descendue :
    Soit vous luttez collectivement pour survivre collectivement, soit vous ne luttez pas collectivement et ce sera la fin de votre civilisation et de la liberté, y compris celle de vivre et de mourir.

  2. Comment lutter contre cette « covidémence » ?
    Manifester pacifiquement, dans la rue, finalement, n’apporte plus rien.
    D’autant qu’aujourd’hui, la police devenue politique, sur ordre d’un Etat de plus en plus totalitaire ne prend plus de gants, et ne fait plus de différences entre les revendications, qu’elles soient légitimes ou pas, faite par des vieux, des femmes et des enfants ou des casseurs : tous aveuglément gazés, flashballisés, matraqués.
    Peut-être que la revendication de votre désaccord doit trouver d’autres alternatives, une nouvelle façon de s’exprimer.
    Mais pour cela, il faut changer ses petites habitudes, abandonner son petit confort matérialiste, il faut surtout modifier radicalement sa façon de voir les choses, et avoir la ferme volonté de changer sa façon de vivre, de s’y tenir, et pour cela il faut adopter un nouvel état d’esprit.
    Le « Pass sanitaire » ne vous empêche pas de vivre, il sclérose un peu plus l’individu déjà bien formaté par tous les pièges tendus par cette Société « humaniste » et « égalitaire », déténue par une poignée de fous qui, à terme, veulent transformer l’humanité en robots (esclaves), pour les servir. C’est, entre autres, ce que cache le voile de tous les discours prosélytes du « progrès » par le transhumanisme, tels que ceux, par exemple, de l’agent du systéme, Laurent Alexandre. il faut dire que, à l’ère de l’I.A. et de l’informatique, beaucoup se prennent pour des robots. Or, les robots ne vivent pas. Ils n’ont pas d’intériorité. Ils ne connaissent qu’une loi, celle des tyrans qui les manipulent.
    Donc, au lieu de perdre votre temps dans les manifestations, et courir des risques pour pas grand chose, réinventez simplement votre vie.
    N’obligez pas vos enfants à porter un masque : ne les mettez plus dans les écoles qui l’obligent. De toutes façon, l’école n’est plus qu’un lieu de désinstruction. Quel que soit le niveau d’instruction qu’ils auront atteint, des parents aimants seront toujours, pour l’essentiel, de meilleurs enseignants pour leurs enfants.
    Ne portez plus de masque vous mêmes, sauf dans le cas, malheureusement, où vous êtes obligés, en raison de l’éloignement de votre lieu travail, de prendre les transports en commun qui l’imposent encore.
    Il est vrai que le problème du masque reste entier si vous devez consulter un médecin et se rendre chez un pharmacien ou dans un labo, ces nouveaux millionnaires et complices du Covid qui ne souhaitent pas que le « jackpot » s’arrête.
    Vous ne pouvez plus aller au théatre au cinema, au musée, ça n’est pas grave d’autant que la culture actuelle, surtout celle des masses, c’est de la M…. ! En attendant que ça aille mieux, faites votre programme culturel vous-même, sans vous déplacer et sans pub, avec le net : vous trouverez un choix immense et de véritables trésors en surfant un peu.
    Ne faites plus vos courses alimentaires sur place, cela évitera une épreuve psychologique, souvent intense d’ailleurs : faites-vous livrer.
    Sortez de ce formatage de « l’homo consommatus » qui a été mis en place depuis la révolution ténébreuse, matérialiste et marchande du XVIIIème siècle, et amplifié grâce à la mise à dispostion des annonceurs et héritiers des « ténèbres », de décennies de temps de cerveaux disponibles via la télévision et la radio.
    En même temps, en vous émancipant de ce piège audio-visuel subliminal, vous ferez des économies en arrêtant de cumuler incessamment toutes les conn..ies inutiles que vous achetez compulsivement sans savoir réellement pourquoi, et qui remplissent vos maisons et vident votre compte en banque.
    Rappelons que le Bonheur n’est pas ce qu’on a, mais ce qu’on est.
    Avec tous les « temples » de la consommation qui ont fleuri un peu partout, les gens ont oublié les promenades en forêt qui ne coutent rien, au mileu de cette belle Nature qui fait du bien à l’âme, et préfèrent passer leurs week-end (c’est le « progrès » du travail le dimanche) dans les centres commerciaux.
    La Société est le reflet de l’humanité.
    Changez votre manière de voir, révolutionnez vos vies, et vous changerez la Société.

  3. Pas sur que les manifestations suffisent. Le poison ARN va faire son effet et n’oubliez pas qu’un virus 20x plus contagieux tue beaucoup plus qu’un virus 20x plus mortel. On va assister à des scènes d’horreur dans quelques semaines et Macron le sait. Les gens supplieront pour qu’on limite encore plus les libertés et n’imagineront pas que le vaccin puisse être la cause. Ils pointeront toujours les « relâchements.
    Ouvrez les yeux, descendre dans la rue ne suffira pas !

  4. Out Of Control !

    Entre le visible et l’invisible, il y a le probable, l’improbable et même l’inimaginable.

    Mais quand un mensonge devient tellement énorme, il fait apparaître une vérité, l’invisible devient probable dans un premier temps, puis fini par s’imposer de lui même, d’une manière ou d’une autre.

    Voilà comment les fake news évoluent, et tout ce que font les « z’autorités », c’est de ralentir,par n’importe quel subterfuge, l’évolution de certains sujets qui finissent par être tellement nombreux qu’il devient difficiles de les suivre, aussi bien par les observateurs attentifs que par les pouvoirs en chargent du bon ordre.

    L’Affaire Pegasus est l’exemple type de ces processus hypocrites du moment qui révèle la profondeur du désarroi Mainstream, d’autant plus ironique qu »Assange dort toujours en prison !
    Et oui, les fake news c’est 100% de propagandes officielles, mais qu’il faut ce farcir pour en déduire les objectifs et autres ressorts. Et quand tout s’inverse, c’est que la cloche à sonnée, Stop ou encore ?

    À l’heure du pass-porc salutaire pour handicapés Démocrates et Républicains corrompus il va falloir une profonde imagination pour rétablir un semblant d’ordre ! Car vous l’avez tous compris, nos institutions mondiales sont Out Of Control !

    Nous sommes le 20 juillet 2021…
    Avec une finance à n’importe quel prix, c’est le calibre fait la différence…

  5. « Stop ou encore ? »

    Pardonnez-moi d’avoir eu l’outrecuidance de poser cette question quand la Cinquième Armée se fait hara-kiri avec de simple téléphone portable et que le gouvernement Sans Têtes s’entête… dans son seppuku.

    Arrêtons le MASSACRE DES THÉRAPIES GÉNIQUES avant que la Bérézina tourne au vinaigre, les preuves accablantes sont disponibles.

    Par ailleurs, à écouter attentivement :

    Maître Virginie de Araujo Recchia

  6. L’ Odyssée Humanoïde en 2021.

    L’humanité, dans sa globalité, est face à sa construction et son fonctionnement sociétal millénaire avec son individualisme et son collectivisme multiculturel et, nous le savons officiellement depuis la crise 2007-2008, nous avons heurtés le mur de la Réalité avec, de surcroît, le gouffre du Virtuel sous nos pieds.

    Notre développement démographique est confronté aux déséquilibres de la production énergétique, de l’exploitation des ressources naturels, de la gestion monétaire, financière, économique qui suivent souvent des courbes exponentiels intenables. Le mensonge, la fraude, la corruption n’ont fait qu’une bouchée du profitable gâteau croissance que nous avons si bien cuisiné.

    Les cultures, les religions, les politiques, les armées, la justice se font absorber par des puissances occultes incontrôlées et incontrôlables. Les guerres et autres conflits défient notre entendement et prennent des formes insoupçonnées. La puissance de calcul défonce nos perceptions et nos compréhensions du réel et bouleverse notre adaptation déjà fragile par son imposante vélocité.

    Du Tout au Rien, du Zéro à l’Infini, du simple au complexe, de l’infiniment Grand à l’infiniment Petit, nous nous perdons souvent dans des combats futiles ou seul la transcendance spirituel avec une coercition respectueuse porterait une raison d’Être en acceptant de nouveaux horizons.

    Hélas, les hommes sont ce qu’ils sont, d’incorrigibles prédateurs, de redoutables destructeurs prêts à tout pour assouvir leurs conquêtes de pouvoirs suprêmes. Alors nous récoltons ce que nous avons semé depuis si longtemps et, en construisant ruine sur ruine, nos fondations s’écroulent devant un simple petit virus. Reste le mur des lamentations qui pleure son impuissance face aux pyramides abandonnées et aux cathédrales brulées.

    Le monde se réveille alors, ne sachant ni de qui, ni de quoi, ni de quand, ni d’où, ni pourquoi, ni comment en arrive là, si bêtement confus, les troupeaux perdus, pendant que de petits malins profitant à pleines mains, du nouveau, nouveau, nouveau petit virus.( Le malade imaginaire de Molière est hautement plus dangereux !)

    Le soleil levant son dernier rayon sur un souverain couchant. Le roi est nu, il dors maintenant.

    Rassurez-vous la vie est si belle sans masques et le monde est beau vu de bas en haut !

    Souverainisme ou Mondialisme, il nous faut choisir maintenant !

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