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Le directeur de la publication de VSD traite les non-vaccinés de beaufs, de losers, d’illettrés, de connards et leur enjoint à fermer leur gueule/Étude du MIT : L’hésitation à la vaccination est « hautement informée, scientifiquement instruite » et « sophistiquée »/Injections mortelles : les chiffres épouvantables de l’ANSM…

Le directeur de la publication de VSD traite les non-vaccinés de beaufs, de losers, d’illettrés, de connards et leur enjoint à fermer leur gueule

Le directeur de la publication de VSD traite les non-vaccinés de beaufs, de losers, d’illettrés, de connards et leur enjoint à fermer leur gueule

Le directeur de la publication de l’hebdomadaire VSD a son point de vue sur les non-vaccinés, et selon lui, ce sont tous des connards illettrés, des beaufs,  des losers.

Respecter le choix de chacun, la démocratie en sorte, est pour ce journaleux inconcevable, dans ce contexte, son édito mérite quasi un dépôt de plainte.

https://www.wikistrike.com/2021/08/le-directeur-de-la-publication-de-vsd-traite-les-non-vaccines-de-beaufs-de-losers-d-illettres-de-connards-et-leur-enjoint-a-fermer-l

Étude du MIT : L’hésitation à la vaccination est « hautement informée, scientifiquement instruite » et « sophistiquée »

L’hésitation à se faire vacciner est un gros problème, selon l’administration Biden. Moins de la moitié de la population est entièrement vaccinée, tandis qu’environ 56 % ont reçu au moins un vaccin.

L’objectif de vaccination complète du public américain semble être au point mort. Cela ne devrait pas nous surprendre. Lorsque les vaccins ont été approuvés pour la première fois pour une utilisation d’urgence en décembre 2020, 40 % des Américains ont exprimé leur scepticisme à l’égard du vaccin.

Essayer de faire honte aux récalcitrants a échoué de manière spectaculaire. Les insulter et les dégrader en les qualifiant de « crétins » ou d’« ignorants » a entraîné une réaction brutale et un durcissement des positions sur la vaccination.

Le projet de l’administration d’envoyer les gens faire du porte-à-porte pour les vacciner ne fait qu’alimenter le scepticisme des anti-vaccins. La confiance dans l’autorité est au plus bas, ce qui rend suspect un programme de vaccination parrainé par le gouvernement.

Pourtant, la plupart des experts s’accordent à dire que certaines personnes qui devraient se faire vacciner ne le font pas. Mais la cause profonde n’est pas l’ignorance ou la croyance en des théories du complot. Une étude du MIT sur ce problème a révélé des résultats surprenants.

NRO :

Les partisans du vaccin ne veulent ou ne peuvent pas comprendre le raisonnement des sceptiques du vaccin – ou même admettre que les sceptiques puissent avoir un raisonnement. Leurs tentatives de répondre au scepticisme ou de le comprendre finissent par être empoisonnées par la condescendance, et finissent par le renforcer.

La condescendance est de nature politique et dépasse les frontières des partis. Parfois, les arguments contre la vaccination sont confondus avec une pensée irrationnelle.

Parfois, la perception de l’irrationalité est presque accidentelle, car les arguments sont généralement des interactions sociales, et non des exercices strictement logiques. Un sceptique du vaccin peut balayer un partisan en disant : « Il est approuvé pour un usage d’urgence seulement ; il n’est pas approuvé par la FDA. Je ne pense pas que nous devrions l’exiger. » Le sceptique commence par un fait qui est facilement établi et partageable. Mais lorsqu’on le presse, il peut révéler que sa ligne de pensée est ailleurs : « Il n’y a pas d’études à long terme, et je m’inquiète des effets possibles à long terme. » Comme les deux objections ne sont pas exactement liées logiquement, le partisan en conclut que c’est de l’irrationalisme à tout crin.

Mais une étude réalisée au MIT a montré qu’une partie importante du scepticisme en matière de santé publique était très bien informée, avait des connaissances scientifiques et utilisait les données de manière sophistiquée. Les sceptiques utilisaient les mêmes ensembles de données que les personnes ayant une vision orthodoxe de la santé publique.

L’auteure principale de l’étude, Crystal Lee, affirme que ces mêmes ensembles de données peuvent être utilisés par l’un ou l’autre camp pour rassembler des arguments.

MIT News :

Les chercheurs ont passé au peigne fin des centaines de milliers de messages sur les médias sociaux et ont constaté que les sceptiques du coronavirus déploient souvent des contre-visualisations en même temps que la même rhétorique « suivre les données » que les experts en santé publique, alors que les sceptiques plaident pour des politiques radicalement différentes. Les chercheurs concluent que les visualisations de données ne suffisent pas à faire comprendre l’urgence de la pandémie de Covid-19, car même les graphiques les plus clairs peuvent être interprétés à travers une variété de systèmes de croyance.

« Beaucoup de gens pensent que des paramètres comme les taux d’infection sont objectifs », explique Crystal Lee. « Mais ils ne le sont clairement pas, si l’on en croit le nombre de débats sur la façon de penser la pandémie. C’est pourquoi nous disons que les visualisations de données sont devenues un champ de bataille. »

En effet, du fait de l’utilisation interchangeable des ensembles de données, le scepticisme vaccinal devient logique et rationnel.

Mais la plupart des sceptiques à l’égard des vaccins, si l’on entend par là les réticences, ne sont pas fondés sur la théorie du complot – ils sont fondés sur des calculs risques-avantages. Vous pouvez penser qu’il s’agit d’un calcul absurde. Mais lorsque vous examinez les schémas de participation aux États-Unis, deux facteurs ressortent, des facteurs dont l’effet est plus important que la partisanerie : l’âge et la densité. Plus vous êtes âgé et plus votre communauté est dense, plus vous avez de chances d’être vacciné. Plus vous êtes jeune et plus votre communauté est rurale, moins vous avez de chances d’avoir été vacciné. Ces chiffres reflètent les faits réels concernant le risque de décès lié au COVID. Il se peut que les gens surestiment largement le risque lié au vaccin et sous-estiment le risque lié au COVID, mais leur raisonnement est correct. Ceux qui sont moins en danger agissent comme tels.

C’est pourquoi le choix du vaccin est si important. Pourquoi avoir le même mandat pour quelqu’un qui vit à New York et quelqu’un qui vit dans la campagne du Dakota du Sud ?

Une approche plus globale du scepticisme à l’égard des vaccins est nécessaire si nous voulons que toutes les personnes qui doivent être vaccinées soient protégées. Il faut tenir compte des préoccupations légitimes des citoyens qui, pour leurs propres raisons, ne veulent pas se faire vacciner. Mais si, effectivement, les individus font leurs propres calculs risques-avantages, il serait extrêmement utile que la gauche s’abstienne de sa condescendance écœurante envers ceux qui ont des questions sérieuses et légitimes.

Source : PJ Media – Traduit par Anguille sous roche

Injections mortelles : les chiffres épouvantables de l’ANSM

Publié par Antonin Campana sur 3 Août 2021, 09:44am

Injections mortelles : les chiffres épouvantables de l’ANSM

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) est un établissement public qui a pour mission d’évaluer les risques sanitaires présentés par les médicaments et autres produits. Selon Wikipedia, l’agence compte 1000 employés et 2000 « experts ».

Les données de pharmacovigilance exposées pour la France par l’ANSM, et que nous rapportons ci-dessous, sont sans doute très en dessous des réalités. Il faut savoir en effet que 62.4% du personnel siégeant dans cette organisation a déclaré (en 2004) avoir des intérêts dans l’industrie pharmaceutique, cosmétique ou autre (Wikipedia). Le personnel en question aura donc sans doute moins tendance à amplifier ces chiffres qu’à les minorer. D’autre part, il faut savoir que 5 à 10% seulement des effets indésirables sont déclarés à l’ANSM par les médecins (selon Les Entreprises du Médicament – LEEM).

Les chiffres indiqués concernent la France uniquement. Ils sont cumulatifs et comptabilisent, selon le « vaccin »,  le nombre de cas depuis le début de la campagne vaccinale jusqu’au 01 juillet (pour Pfizer et Moderna), et au 08 juillet (pour Astrazeneca) :

  1. PFIZER (Rapport N°17 – Enquête de pharmacovigilance du vaccin Pfizer – BioNTech Comirnaty  : période du 28 mai 2021 au 1 juillet 2021 ) :

https://ansm.sante.fr/uploads/2021/07/16/20210716-vaccins-covid-19-rapport-pfizer-periode-28-05-2021-01-07-2021-2.pdf

Décès (tableau 2) : 761 !

A ce chiffre effarant, il faut ajouter celui des « effets indésirables », qui sont souvent catastrophiques pour ceux qui les subissent (tableau 4) :

2551 mises en jeu du pronostic vital !

1075 problèmes cardiaques graves (873 « non graves ») !

681 AVC !

832 thromboses graves !

400 problèmes neurologiques graves (168 « non graves ») dont 233 paralysies faciales !

Etc. –

 

  1. ASTRAZENECA Vaxzevria (Rapport N°14 – Enquête de pharmacovigilance du vaccin VAXZEVRIA®   période du 04 juin 2021 au 08 juillet 2021)  

https://ansm.sante.fr/uploads/2021/07/23/20210723-covid-19-rapport-14-vaxzevira-astrazeneca-2.pdf

Décès : 170 (Tableau 1) !

247 mises en jeu du pronostic vital !

    244 AVC !

63 infarctus !

324 embolies pulmonaires !

471 Thromboses !

Etc. (tableaux 2 et 3).

 

  1. MODERNA (Rapport N° 14 – Enquête de pharmacovigilance du vaccin COVID‐19 VACCINE MODERNA période du 28 mai 2021 au 01 juillet 2021) :

https://ansm.sante.fr/uploads/2021/07/16/20210716-vaccins-covid-19-rapport-moderna-periode-28-05-2021-01-07-2021-2.pdf

Décès : 44

50 mises en jeu du pronostic vital !

136 affections cardiaques !

348 affections du système nerveux !

17 Affections psychiatrique !

123 Affections respiratoires !

Etc.

Au total, ces trois vaccins ont donc causé en six mois la mort de 975 personnes !

En avez-vous entendu parler ?

Ces vaccins ont aussi détruit la vie de milliers d’autres. On se remet difficilement, parfois jamais, d’un AVC ou d’un accident cardiaque. Le nombre important et la gravité de ces « effets indésirables » confirment les témoignages des infirmiers, des ambulanciers et des médecins, de plus en plus confrontés à l’afflux de vaccinés en état critique ou dont le pronostic vital est mis en jeu.

Tout cela ne fait que commencer. Nous ignorons totalement les conséquences de ces « vaccins » sur le long terme. Déjà, des soignants notent le redémarrage de certains cancers, avec la réapparition de ganglions dès la première injection. Nous allons donc faire face à une catastrophe sanitaire d’une ampleur inédite.

Que le lecteur ce rapporte aux rapports de l’ANSM dont nous avons mis les liens. Qu’il se fasse son opinion, qu’il vérifie ce que nous écrivons, qu’il fasse fonctionner son esprit critique.

http://www.autochtonisme.com/2021/08/injections-mortelles-les-chiffres-epouvantables-de-l-ansm.html

Les États-Unis atteignent un taux de vaccination de 70 %, avec un mois de retard sur le calendrier, alors que le variant Delta fait son chemin

Lundi, les États-Unis n’ont pas atteint l’objectif fixé par le président Joe Biden d’administrer au moins une dose du vaccin contre le COVID-19 à 70 % des adultes américains – avec un mois de retard – selon les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

Biden avait initialement prévu d’atteindre cet objectif pour le 4 juillet.

Les CDC ont annoncé tard lundi que 180 762 301 personnes, soit 70 % des adultes américains, avaient reçu au moins une dose, tandis que 164 919 666 personnes, soit 49,7 % de la population, étaient entièrement vaccinées contre le COVID-19, la maladie causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois).

Selon l’agence, à la date de lundi matin, un total de 346 924 345 doses de vaccins contre le COVID-19 avaient été administrées dans tout le pays.

[Note : A titre d’information, les taux de vaccination varient considérablement selon la race…].

Dans la plupart des États, les Noirs et les Hispaniques ont reçu une part plus faible de vaccinations par rapport à leur part de cas et par rapport à leur part de la population globale.

Du côté des bonnes nouvelles, les taux de vaccination ont augmenté dans 48 des 50 États au cours des deux dernières semaines, 27 États ayant enregistré une hausse de plus de 30 % des taux de vaccination au cours de cette période…

Les trois vaccins contre le COVID-19 actuellement autorisés pour une utilisation d’urgence aux États-Unis sont produits par Pfizer-BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson. Ces trois vaccins n’ont pas encore reçu l’approbation complète de la Food and Drug Administration (FDA). Pfizer et BioNTech ont soumis leur demande le 7 mai, Moderna a entamé en juin une soumission continue, tandis que Johnson & Johnson a déclaré en avril qu’il prévoyait de le faire plus tard cette année.

La FDA prend généralement plusieurs mois avant d’accorder une autorisation complète à un vaccin. Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research de la FDA, qui réglemente les vaccins, a déclaré au Washington Post la semaine dernière que l’agence exigeait généralement un suivi d’au moins six mois des personnes ayant reçu le vaccin lors de l’essai clinique.

Cette étape a été franchie dans un contexte de recrudescence des cas du variant Delta COVID-19, hautement contagieux, et peu de temps après que les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont mis à jour leurs recommandations sur le port du masque pour indiquer que les personnes entièrement vaccinées devraient également porter un masque à l’intérieur dans les zones à haut risque.

Le 27 juillet, le Dr Rochelle Walensky, directrice des CDC, a déclaré aux journalistes que les recherches indiquent que « dans de rares cas, certaines personnes vaccinées infectées par le variant Delta après la vaccination peuvent être contagieuses et transmettre le virus à d’autres personnes ».

Les personnes entièrement vaccinées qui contractent le variant Delta peuvent avoir la même charge virale que les personnes non vaccinées, a déclaré Walensky, notant que le variant peut être transmis par des personnes vaccinées.

Le variant Delta représente actuellement plus de 80 % des nouveaux cas aux États-Unis.

À la suite de la mise à jour des directives des CDC, certaines juridictions ont décidé de réimposer l’obligation de porter un masque, indépendamment du statut vaccinal. Lundi, la Louisiane est devenue le premier État à le faire pour tous les environnements intérieurs, sauf lorsqu’ils sont à la maison, y compris les collèges et les écoles, invoquant la propagation du variant contagieux.

Pendant ce temps, dans un comté du Massachusetts, les épidémies de COVID-19 du mois dernier associées à de grands rassemblements publics se sont produites principalement parmi des personnes entièrement vaccinées.

Le 27 juillet, le président a suggéré que ceux qui ne sont toujours pas vaccinés « sèment une énorme confusion ».

« Nous avons une pandémie à cause des non-vaccinés, et ils sèment une énorme confusion », a déclaré Biden lors d’une visite à McLean, en Virginie. « Et il n’y a qu’une seule chose dont nous sommes sûrs, si ces 100 millions d’autres personnes se faisaient vacciner, nous serions dans un monde très différent. Alors, faites-vous vacciner. Si vous ne l’avez pas fait, vous êtes loin d’être aussi intelligent que je l’ai dit. »

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale

Des millions de personnes sont confinées alors que la Chine lutte contre la pire épidémie de COVID depuis Wuhan

Nous avons noté la semaine dernière que le variant delta est finalement arrivé en Chine, provoquant l’une des pires épidémies du pays depuis la vague initiale de COVID qui s’est propagée de Wuhan à travers la Chine (et le monde). Malgré les efforts des autorités, l’épidémie semble s’être aggravée au cours du week-end, et les responsables réimposent maintenant des restrictions liées au COVID à Pékin pour la première fois depuis des mois, alors que les questions sur l’efficacité des vaccins COVID chinois se multiplient.

Selon Bloomberg, l’épidémie est maintenant la plus vaste depuis l’épidémie initiale de fin 2019, car des cas sont découverts dans 14 des 32 provinces. Le fait que le delta se soit répandu si largement à travers la Chine – même si le nombre de cas, qui sous-déclare probablement (peut-être de façon dramatique) les véritables niveaux de pénétration du delta, reste relativement faible – alarme les responsables gouvernementaux.

En outre, Pékin a interdit aux touristes d’entrer dans la capitale pendant la période de pointe des vacances estivales.

Dans le même temps, en Asie du Sud-Est, les autorités sanitaires viennent d’annoncer le plus grand nombre de décès hebdomadaires depuis des mois.

Des millions de personnes sont à nouveau confinées chez elles en Chine après que les autorités sanitaires ont signalé lundi 55 nouveaux cas transmis localement, dont un nouveau cas à Pékin, l’épidémie s’étant étendue à plus de 20 villes. Il a été demandé aux Pékinois d’éviter de quitter la ville dans les jours et les semaines à venir. Sept nouvelles infections ont également été confirmées à Wuhan, où le nouveau groupe de cas aurait été localisé dans une gare (un groupe de travailleurs migrants a rapidement été mis en cause). De nouveaux cas ont été signalés dans la province du Henan, où d’importantes inondations ont eu lieu ces derniers jours.

À Pékin, et dans d’autres grandes villes de Chine, les signes familiers de verrouillage sont désormais évidents partout. Les grandes villes, dont Pékin, ont fait passer des tests à des millions d’habitants tout en bouclant les quartiers résidentiels. Tous les contacts proches des personnes infectées ont été mis en quarantaine.

Selon l’AFP, plus de 1,2 million de résidents ont été placés en quarantaine stricte pour les trois prochains jours dans la ville centrale de Zhuzhou, dans la province du Hunan, alors que les autorités préparent leur campagne de tests et de vaccinations à l’échelle de la ville.

« La situation reste sombre et compliquée », a déclaré le gouvernement de Zhuzhou.

Comme nous l’avons signalé la semaine dernière, la dernière épidémie a été liée à un groupe de cas dans la ville de Nanjing, où neuf nettoyeurs d’un aéroport international ont été testés positifs le 20 juillet. Dans la destination touristique populaire de Zhangjiajie, célèbre pour sa forêt nationale, une épidémie s’est propagée le mois dernier parmi les clients d’un théâtre, qui ont ensuite contribué à la propagation du virus dans tout le pays.

Les 1,5 million de résidents de Zhangjiajie ont été confinés vendredi. Les autorités recherchent d’urgence des personnes ayant récemment voyagé depuis Nanjing ou Zhangjiajie, et ont demandé aux touristes de ne pas se rendre dans les zones où des cas ont été découverts.

source AUBE DIGITALE

La FDA pourrait accorder l’autorisation complète pour le vaccin de Pfizer dès septembre

Selon le Wall Street Journal, citant des conseillers de la FDA et d’anciens fonctionnaires connaissant bien le processus, la Food and Drug Administration (FDA) pourrait accorder une autorisation complète pour le vaccin anti Covid-19 de Pfizer dès septembre ou octobre.

L’empressement à obtenir une autorisation complète – par opposition à l’autorisation d’utilisation d’urgence actuelle – intervient alors que de nombreuses écoles, hôpitaux et employeurs ont utilisé l’autorisation complète comme point de référence pour aller de l’avant avec les vaccinations obligatoires.

« Nous aimerions qu’elle soit approuvée aussi vite que possible, afin que nous puissions revenir à une expérience plus normale », a déclaré Jim Malatras, chancelier de l’Université d’État de New York, qui ne peut actuellement pas imposer de vaccin obligatoire pour les quelque 400 000 étudiants desservis par le système. À l’heure actuelle, l’école exige soit des vaccins, soit des tests hebdomadaires.

Trois vaccins – ceux de Pfizer Inc. et de son partenaire BioNTech SE, Moderna Inc. et Johnson & Johnson – sont autorisés pour une utilisation d’urgence aux États-Unis. Pfizer et Moderna ont déposé les documents initiaux en vue d’une autorisation complète. Cependant, seul Pfizer a soumis toutes les informations nécessaires à la FDA, selon les sociétés, et les analystes s’attendent à ce qu’il soit le premier à obtenir le feu vert. Moderna déclare qu’il est toujours en train de compléter les données de roulement, et Johnson & Johnson déclare qu’il prévoit de déposer une demande d’autorisation complète plus tard cette année. –Wall Street Journal

La FDA adopte une approche « tout le monde sur le pont » pour examiner la demande d’autorisation complète de Pfizer « aussi rapidement que possible, conformément à l’évaluation complète de haute qualité que le public attend de la FDA ».

Comme l’indique le Journal, l’approbation complète assouplira les restrictions en matière de distribution et de publicité et permettra à un plus grand nombre d’États, d’écoles et d’employeurs d’obliger les gens à se faire vacciner, selon des avocats et des fonctionnaires actuels ou anciens de la FDA. Une fois que l’autorisation complète aura été accordée, le vaccin pourra être prescrit comme dose de rappel par les médecins.

Selon une enquête menée en juin par la Kaiser Family Foundation, plus de 30 % des Américains non vaccinés seraient plus enclins à se faire vacciner si la FDA accorde une autorisation complète.

« Les grandes différences entre les taux de vaccination à travers le pays en disent long sur les perceptions du risque à travers le pays », a déclaré Joseph Allen, professeur associé à l’université de Harvard et responsable du programme « Healthy Buildings » de l’université. « Si vous êtes une entreprise qui opère dans les 50 États et même à l’international, il est difficile pour eux de bouger sur le mandat de vaccination et avoir une approbation et une autorisation complète de la FDA faciliterait les choses. »

Pfizer dit avoir lancé un processus de soumission continu en mai, tandis que Moderna a fait de même en juin – leur permettant de soumettre des sections finies de leurs demandes sans avoir à attendre l’achèvement complet.

« C’est comme si vous disiez que tous les cadeaux de Noël ne sont pas sous le sapin, mais que vous pouvez commencer à les déballer », a déclaré l’ancien responsable scientifique de la FDA, le Dr Jesse Goodman.

Une fois qu’une entreprise a terminé sa demande, la FDA dispose de 60 jours pour décider d’accorder ou non un examen prioritaire. Ensuite, en vertu de la loi de 1992 sur les frais d’utilisation des médicaments sur ordonnance, la FDA doit prendre des mesures concernant une demande dans les six mois suivant sa soumission, contre dix mois dans le cadre d’un examen standard.

Au début du mois, l’agence a accordé un examen prioritaire à Pfizer, et Moderna a fait savoir qu’elle en ferait la demande. AstraZeneca PLC a déclaré qu’elle demanderait l’approbation complète de son vaccin, qui n’est pas encore autorisé pour une utilisation d’urgence aux États-Unis, d’ici la fin de 2021. Les États-Unis ont une offre excédentaire d’autres vaccins, mais la société affirme que son vaccin peut encore jouer un rôle.

Cela dit, certains experts en santé publique suggèrent que l’approbation complète pourrait ne pas faire grand-chose pour augmenter le nombre de vaccinations en raison de l’apparence d’un processus précipité et politisé.

« Cela semble être une solution facile, mais je pense que nous devons comprendre que ce n’est pas le cas », a déclaré Arnold Monto, professeur d’épidémiologie à l’université du Michigan. « S’ils agissaient plus rapidement dans une situation compliquée, je crains que certaines personnes ne disent : « Pourquoi ont-ils agi si vite ? ». Ont-ils vraiment examiné à la loupe toutes les données qu’ils étaient censés examiner?’ »

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3 réponses »

  1. L’hallucination collective criminelle mondiale marque-t-elle la fin de l’Occident ?

    Méfiez-vous de l’I.A. (Imagination-Artificiel), nous sommes en pleins dedans et personne n’en ressortira idem…

    Grâce aux Pass-Puces désinfectés la dernière guerre mondiale sera Pasteurisé… Prenez vites vos actions, mais choisissez bien votre OS (Opérateur-Santé)…

    À très bientôt pour de très sales nouvelles beaucoup moins sérieuses !

  2. L’argument béton : les labos ont demandé et obtenu d’être déchargé de toutes responsabilités en cas de complications ou de décès, ceci indique que le degré de confiance des fabricants de vaccins est NUL pour leur propre production, CQFD ! Pourquoi un quidam quelconque devrait se permettre de faire confiance alors que les désormais milliardaires n’en ont absolument pas la moindre.
    PS la police, les sinistres et d’autres sont dispensés de vaccins dès fois qu’ils en meurent . . . .

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