À Paris, par exemple, ce pourcentage passe de 22,4 %, en 1990, à 37,4 %, en 2017. Dans le 18e arrondissement de la capitale, le chiffre est particulièrement important puisque « 43 % des mineurs sont immigrés ou ont au moins un parent d’origine extra-européenne ».
En Île-de-France, le département de la Seine-Saint-Denis est lui aussi concerné par cette tendance démographique, la proportion d’enfant immigrés ou ceux ayant au moins un parent d’origine extra-européenne est la même que dans la capitale.
Cette forte augmentation est également constatée dans d’autres grandes métropoles françaises comme à Rennes, où cette part été multipliée par trois en l’espace de 27 ans, passant de 7,7 % à 22,8 %.
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Mais Noooooon voyons ….
Lupus vous savez bien que “penser”, et pire : “dire” celà, c’est forcément du “complotisme”….
Questions qui relèvent de l’analyse et de la prospective de l’évolution des populations :
– Quelle proportion de musulmans ?
– Quel taux de fécondité « musulmane » ?
Merci pour l’ensemble de votre site.
la conquête par les ventres : c’est en cours !