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Un général américain ne rejette pas l’idée de collaborer avec les talibans pour affronter l’État islamique/L’Iran s’est emparé de véhicules militaires américains/2001-2021 : Bilan provisoire de la « guerre sans fin »
Face à l’État islamique au Khorassan , qui a revendiqué l’attaque contre l’aéroport de Kaboul, les Américains ne comptent pas se laisser faire. Mais sans autre soutien sur place, il leur faudra négocier avec les talibans. Voire s’associer aux nouveaux maîtres du pays pour abattre un ennemi commun.
C’est un très gros pavé dans la mare qu’a osé lâcher le général américain Mark Milley, qui occupe rien de moins que le poste de chef d’État-Major des armées des États-Unis. Il estime « possible » que les États-Unis finissent par collaborer avec le nouveau régime des talibans afin de coordonner la lutte contre certains mouvements terroristes, rapporte The Guardian.
L’ennemi de mon ennemi…
Rappelons que ce ne sont pas les talibans qui ont mené une attaque-suicide meurtrière contre l’aéroport de Kaboul, tuant 13 militaires américains et plus de 150 Afghans, mais l’État islamique au Khorassan, une branche de Daech hostile tant aux USA qu’aux seigneurs de guerre afghans, jugés trop modérés. Et ce qu’a tenu à souligner le général Milley, c’est que l’ennemi de votre ennemi peut servir à trouver un terrain d’entente.
Le chef d’État-Major a d’ailleurs personnellement rencontré des leaders talibans à deux reprises cette année pour tenter de réfréner leurs attaques contre le gouvernement afghan en place. « A la guerre, vous faites ce que vous devez faire pour réduire les risques pour la mission et pour vos forces, et non ce que vous voulez nécessairement faire » a-t-il résumé.
Reste que l’idée de Milley ne fait pas l’unanimité, loin de là. Lors d’une conférence de presse commune au Pentagone ce mercredi, le secrétaire à la Défense Lloyd Austin a préféré ne faire « Aucun saut de logique vers des questions plus larges. » Le général lui-même a souligné qu’il parlait au conditionnel, qualifiant au passage les talibans de brutaux: « S’ils ont changé ou non, cela reste encore à démontrer. »
Des talibans très businesslike
L’administration Biden a promis des représailles sanglantes envers l’État islamique au Khorassan (ISKP) : une frappe aérienne au moins, menée par drone, a été menée. Elle aurait tué deux planificateurs du groupe terroriste, mais elle aurait aussi fait des victimes civiles.
Mais sans troupe au sol, et surtout sans renseignement, les frappes américaines risquent de manquer tant d’efficacité que de précision. D’où l’idée de stabiliser des relations avec les talibans pour coordonner la lutte contre un ennemi commun. Le général du corps des marines Frank McKenzie a d’ailleurs qualifié les relations avec les miliciens afghans de « très pragmatiques, très businesslike » durant la sécurisation de l’aéroport de Kaboul.
Des Humvee typiquement américains ont été repérés sur les autoroutes iraniennes. Ces véhicules ont soit été saisis, soit été achetés aux talibans. A Washington, on minimise la valeur d’une telle prise.
Ces derniers jours, Washington tentait de faire bonne figure face à la problématique de l’équipement perdu en Afghanistan, qu’il ait été abandonné durant l’évacuation ou qu’il s’agisse de matériel destiné à l’armée gouvernementale afghane. Les autorités américaines assuraient avoir rendu inutilisable tout ce qui était resté sur le tarmac de l’aéroport de Kaboul. Quant au reste, le Pentagone estimait qu’il « n’était pas d’une grande utilité pour qui que ce soit. » Apparemment tout le monde n’est pas d’accord avec cette dernière affirmation: depuis quelques jours, des véhicules américains ont été repérés à différentes reprises sur le sol iranien.
Ces images ont été repérées sur un flux Telegram médiatique iranien qui couvre l’actualité militaire et, selon Kian Sharifi, journaliste à la BBC, elles ont été prises sur la route qui relie Semnan, dans le nord du pays, à Garmsar, au sud-est de la capitale Téhéran. On reconnait en tout cas aisément des véhicules blindés Humvee de fabrication américaine.
Reverse engineering
Il y a deux hypothèses pour expliquer comment les Iraniens ont mis la main sur ces engins : soit ils les ont saisis à des anciens militaires afghans qui ont pris la fuite à bord de ces véhicules vers la frontière iranienne, soit ils les ont achetés aux talibans. C’est cette dernière piste que privilégie la version persanophone de l’agence russe Sputnik: Téhéran aurait acheté des véhicules de combat, des drones, et même des hélicoptères ayant appartenu aux forces afghanes pour un quart de leur prix. L’agence évoque une source anonyme. Celle-ci aurait aussi confirmé que l’Iran déplaçait ce butin vers des centres de recherche à des fins de reverse engineering.
Le Pentagone ne s’est pas exprimé officiellement sur le sujet, mais l’un de ces portes-paroles, le major Rob Lodewick, a tenu à préciser que ces engins n’avaient rien de bien novateur: « Cet équipement était destiné à combattre une insurrection low tech, ce n’est pas le genre de matériel qui serait d’un grand usage pour une force militaire, et il ne représente pas une menace sérieuse pour les États-Unis ou pour les pays environnants. » Pour rappel, le coût de l’investissement en matériel militaire que les Américains ont consenti en Afghanistan est estimé à 28 milliards de dollars.
L’université Brown, qui comptabilise depuis vingt ans le coût humain et financier de la « guerre sans fin » ou « guerre au terrorisme », a établi un bilan provisoire :
Le coût humain général (hormis les personnes disparues) se situerait entre 897 000 et 929 000 morts. Ce chiffre ne comptabilise les pertes humaines qu’en Afghanistan, Iraq, Pakistan, Syrie et Yémen. Il faudrait ajouter au moins 120 000 morts supplémentaires en Libye.
Le coût financier pour les seuls États-Unis serait de 8 049 000 000 000 dollars. À ces 8 000 milliards pour les contribuables US, il faut ajouter plusieurs centaines de milliards de dollars pour les contribuables afghans, iraquiens, libyens, syriens et yéménites dont les pays sont largement des tas de ruines.
La « guerre sans fin » est censée éliminer le terrorisme. Cependant depuis qu’elle est lancée par le président George W. Bush (photo), les opérations terroristes n’ont jamais été aussi nombreuses et cruelles. On a même assisté à la création d’un pays terroriste : l’Émirat islamique en Iraq et en Syrie. Si l’on accepte le discours officiel, ce carnage n’a donc servi à rien.
"Homo Homini Lupus" : Parce que Hobbes est un killer et Rousseau un doux rèveur....
Nouveau blog , nouvelle année, nouveau cycle ,nouvelle action…croix de bois, croix de fer, si nous mentons, nous allons en enfer...le regard est hagard mais l’écriture aussi…courte et acérée et souvent trop alambiquée, pressée par le temps, empressée d’embrasser l’actualité économique et financière…orthographe approximative….pensée sms pour une mise en lumière, un simple coup de projecteur sur un théâtre d’ombres financières témoins de nos passions et de nos désirs les plus obscurs…magnéto Serge et bienvenue donc à bord du radeau médusé: Capitaine "Devil"Virtual Lupus est à la barre du 1er site garanti 100% porno financier...parce qu'ici si on ne vous cache rien, on ne vous dit parfois, pas grand chose non plus....enfin en apparence....seulement en apparence...
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« Depuis que le Président Nixon a rompu le lien final entre le dollar et l’or, aucune monnaie majeure pour la première fois dans l’histoire n’a de connexion avec une commodity ». Milton Friedman, 1991.
« Il n’y a pas de moyen plus subtil et plus sûr de détruire les bases de la société que de débaucher la monnaie ». John Maynard Keynes,1920.
« Le papier monnaie sans ancrage s’est régulièrement avéré une malédiction pour le pays qui l’a employé ». Irving Fisher, 1921.
« Il y a de bonnes raisons de croire que la nature de la monnaie n’est pas vraiment comprise ». John Law, 1720.
« Nous pensons que si vous sapez les bases de la monnaie, vous sapez aussi les bases de l’économie. La difficulté est de définir quelle est la part de la structure de liquidités qui correspond à de la vraie monnaie » ; « la monnaie, je ne sais plus très bien ce que c’est ». Alan Greenspan, 2000.
« La liquidité, l’abondance monétaire, c’est quand on croit que l’on va vendre plus cher que l’on a acheté ». D. Kohn, 2003.
The Wolf international corporation edition est heureux de vous présentez ses bruits, cris et hurlements à l’oreille des Loups
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