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La déclaration ci-dessus de Rafael Mariano Grossi, directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), aura sans aucun doute ses partisans et ses opposants. Un débat a déjà lieu entre les États membres de l’UE sur l’opportunité d’inclure ou non l’énergie nucléaire dans le panorama énergétique global. À la fin de cette année, la Commission européenne prendra une décision : l’énergie nucléaire est-elle une énergie verte ou non ?
Le directeur général de l’AIEA a fait cette déclaration dans une interview accordée à Euronews. La taxonomie de l’énergie nucléaire fait actuellement l’objet d’un vif débat au sein de l’UE. Un nouveau manuel de l’Union européenne devrait servir de guide aux gouvernements et aux entreprises pour savoir dans quels projets ils peuvent investir qui sont verts et respectueux du climat.
Presque pas de CO2
« Le débat sur l’énergie, et l’énergie nucléaire en particulier, doit être mené sur des faits. Le fait est que l’énergie nucléaire est une forme d’énergie verte, qui n’émet pratiquement pas de CO2 », affirme M. Grossi. « Plus encore, c’est une forme d’énergie qui empêche des millions de gigatonnes de CO2 d’être projetées dans l’atmosphère. Aujourd’hui, l’énergie nucléaire fournit la moitié de toute l’énergie verte que nous avons en Europe. »
Par ailleurs, le chef de l’énergie atomique note également que trop d’émotions prennent souvent le pas sur les faits dans le débat sur l’énergie nucléaire. « Quand il s’agit de faits et de vérités, nous devrions simplement suivre la science. » Outre l’énergie nucléaire elle-même, le débat porte souvent sur les déchets nucléaires hautement radioactifs. Les déchets nucléaires sont une réalité, mais il n’y a jamais eu d’accident parce qu’ils sont traités correctement. La quantité est également ridiculement faible. Saviez-vous que tous les déchets nucléaires des 100 réacteurs américains en service depuis 60 ans tiennent dans un seul stade de football ? ».
« Comment peut-on comparer cela aux dommages causés à l’atmosphère et au climat par d’autres formes d’énergie qui accélèrent le réchauffement de la planète ? » conclut M. Grossi.
Au début du mois, dix pays de l’UE, la France en tête, ont écrit à la Commission pour que l’énergie nucléaire soit reconnue comme une forme d’énergie à faible émission de carbone. Des milliards de subsides européens sont en jeu. De l’autre côté de la table se trouvent les pays antinucléaires, l’Allemagne en tête. Ce pays a décidé de fermer tous ses réacteurs nucléaires d’ici 2022 et est soutenu dans cette décision par l’Autriche, le Danemark, le Luxembourg et l’Espagne.
Deux projets pour deux types de réacteurs différents sont sur la table en France. Le réacteur pressurisé européen et le Small Modulator Reactor, de petite taille. Les deux ont leurs différences, leurs spécificités, leurs avantages, et leurs risques. Les SMR semblent plutôt prévus pour l’exportation. Tour d’horizon.
La France mise sur le nucléaire pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, entre autres scénarios ; contrairement à la Belgique, qui désire entièrement sortir du nucléaire en 2025. Dans ce but, le président de la République Emmanuel Macron devrait annoncer, avant la fin de l’année, la construction de plusieurs centrales nucléaires, baptisées « réacteur pressurisé européen » (EPR), confirme la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili. Cette technologie, dite de troisième génération, est réputée pour être plus sûre que les générations précédentes. Il s’agit de grandes usines qui ont une puissance pouvant aller jusqu’à 1.600 mégawatts.
A terme, elles devraient remplacer les centrales présentes aujourd’hui, vouées à disparaître. La question – non encore tranchée – est de savoir quelle sera la part du nucléaire et celle du renouvelable dans la stratégie pour atteindre la neutralité carbone et sortir des énergies fossiles. La probable annonce de Macron répondrait ainsi à un rapport du gestionnaire du réseau électrique RTE, qui avait élaboré différentes solutions pour cette stratégie, allant du tout à l’énergie verte au mix entre renouvelable et nucléaire.
SMR : plus petits et déployables partout
D’un autre côté, la France élabore également des projets pour les Small Modulator Reactor (SMR), des mini-réacteurs ou réacteurs d’appoint. Macron a confirmé qu’un projet était à l’étude chez EDF, le distributeur français d’électricité, et chez d’autres partenaires. Un milliard d’euros devraient d’ailleurs être injectés dans le programme. Un premier chantier serait prévu pour 2030.
Ailleurs dans le monde, les études sur les SMR sont déjà plus avancées. Le grand avantage de ces réacteurs est leur petite taille : ils peuvent facilement être déployés partout. Dans des zones recluses par exemple, comme des territoires polaires ou désertiques, où se trouvent notamment des activités comme des mines ou des industries, qui tournent encore aux énergies fossiles.
Leur puissance oscille entre 5 et 200 mégawatts, selon les modèles. L’enjeu est donc la capacité à contenir l’énergie dans des petites structures compactes. L’autre avantage de leur taille est qu’ils peuvent être produits en usine, en grand nombre, ce qui peut ainsi réduire les coûts (il est estimé entre un à deux milliards).
Quel intérêt des SMR en France si des EPR sont prévus?
EDF indique qu’ils seront surtout prévus à l’exportation. La présence de plusieurs réacteurs pressurisés européens (EPR) et la prolifération des énergies renouvelables suffisent pour alimenter les besoins énergétiques de l’Hexagone, selon les calculs.
L’objectif de la création des SMR est donc d’être présent sur le marché international, qui va devenir un gros marché dans les années à venir, selon les sources consultées par BFM Business. Une fierté atomique française à reconstruire après l’éclatement d’un « accord » pour des sous-marins avec l’Australie, qui a finalement préféré le modèle américain, qui tourne, lui, à l’énergie nucléaire.
Risques accrus?
Avec les centrales nucléaires se pose également la question de la sécurité. Selon les détracteurs de l’énergie atomique, petite taille n’équivaut pas à petit risque d’explosion. En plus, comme les réacteurs peuvent être déployés partout, le risque d’explosion est également multiplié et augmenté à de nombreux endroits. Pour les défenseurs du nucléaire, la petite taille donne la possibilité de pouvoir enterrer les réacteurs, en partie, ou de les mettre dans une piscine de refroidissement.
Une autre question se pose avec le nucléaire – et qui reste un poids dans toutes les négociations -, celle des déchets radioactifs. Petit ou grand réacteurs, il y aura dans les deux cas des déchets et il n’y a aujourd’hui toujours pas de solution à long terme pour les recycler.
Le gestionnaire du réseau électrique RTE a publié un rapport très attendu sur la trajectoire du pays, si la France souhaite sortir de l’énergie fossile d’ici 2050. Coûts, défis techniques… voici ce qu’il faut retenir de cette étude.
2050, sans énergies fossiles. C’est l’ambitieux projet proposé par le gestionnaire public du réseau électrique RTE, qui présentait ce lundi un rapport sur la question. Voici ce qu’il faut en retenir.
• Pourquoi le rapport de RTE était très attendu?
Le gestionnaire du réseau électrique RTE avait été mandaté en 2019 par le gouvernement pour se projeter sur le paysage énergétique de la France en 2050. La question était simple: comment sortir totalement de l’énergie fossile en 2050 pour faire de la France un pays neutre en carbone?
Question simple, réponse complexe. “L’électricité ne représente que 25% de la consommation finale d’énergie actuelle contre 60% pour l’énergie fossile” rappelle Xavier Piechaczyk, président du directoire de RTE, lors de la présentation du rapport.
Pour inverser cette tendance et en finir avec le fossile, RTE s’appuie sur deux leviers. D’abord, une électrification massive du pays que ce soit dans les transports (véhicules électriques, chaudières électriques…) ou dans l’industrie (transformation des hauts-fourneaux…). Ensuite, il s’agit d’améliorer l’efficacité énergétique de la France (amélioration des procédés industriels, meilleure isolation des bâtiment), voire de se montrer plus sobre en énergie.
Partant de ce constat, RTE a dressé six scénarios qui impliquent nécessairement le développement massif des énergies renouvelables (EnR) et dans certains cas la construction de nouvelles centrales nucléaires.
Premier scénario (M0): Sortie du nucléaire et 100% d’énergies renouvelables en 2050
Ce scénario implique la fermeture rapide des réacteurs nucléaires en service, sans construction de nouveaux réacteurs EPR. Pour y arriver, RTE préconise de multiplier par 21 la quantité d’énergie solaire produite, par 4 l’éolien terrestre et par 30 l’éolien en mer.
Deuxième scénario (M1): sortie du nucléaire et 100% d’énergies renouvelables en 2060
Ce scénario implique la fermeture plus lente des centrales nucléaire d’ici 2060 sans construction de nouvelles centrales. La majorité de l’électricité produite serait alors solaire (36% du total), en multipliant les petites installations sur le territoire. L’éolien terrestre suivrait (23%) devant l’éolien maritime (17%).
Troisième scénario (M23): sortie du nucléaire et 100% d’énergies renouvelables en 2060
Même stratégie sur le nucléaire que le scénario M1 mais il s’agira de privilégier les parcs éoliens plutôt que le solaire. L’éolien terrestre représenterait 32% de la production, devant le solaire (22%) et l’éolien maritime (21%).
Quatrième scénario (N1): construction de huit réacteurs nouvelle génération EPR mais large priorité donnée aux énergies renouvelables
Dans ce scénario, RTE table sur la fermeture rapide des centrales nucléaires existantes tout en proposant la construction de 8 réacteurs EPR d’ici 2050. Mais les énergies renouvelables resteront majoritaires (2/3 de la production totale) également réparties entre le solaire, l’éolien terrestre et l’éolien maritime.
Cinquième scénario (N2): construction de 14 réacteurs EPR mais priorité toujours donnée aux énergies renouvelables
Ce scénario implique la construction d’ici 2050 de nouveaux réacteurs nucléaires, à raison d’une paire tous les 3 ans environ à partir de 2035 avec montée en charge progressive. Le développement des énergies renouvelables se poursuit (même si elle sera moins importante que pour le scénario précédent) et représente deux tiers de l’électricité produite en 2050.
Sixième scénario (N03): le nucléaire représente 50% de l’électricité produite
C’est le scénario le plus nucléarisé avec la construction de 14 réacteurs EPR, ainsi que plusieurs mini-réacteurs d’appoint (SMR), tout en poursuivant le développement des énergies renouvelables. Cela implique de poursuivre l’exploitation des centrales actuelles tant qu’elles respectent les normes de sûreté.
• Quel est le scénario privilégié?
RTE se garde bien de trancher sur un scénario préférentiel, ce choix étant avant tout politique. Il n’empêche, le rapport pointe certaines limites des scénarios avec le moins de nucléaire (M0) et celui avec le plus de nucléaire (NO3).
Un scénario 100% EnR “est un chemin possible mais complexe avec beaucoup d’incertitudes” souligne Thomas Veyrenc, directeur stratégie et prospective de RTE lors de la présentation du rapport. Cela implique d’abord que la France accélère considérablement le rythme des installations des EnR, bien plus vite que ne le font actuellement nos voisins les plus actifs.
De l’autre côté du spectre, le maintien des centrales nucléaires actuelles tout comme le développement des nouveaux réacteurs EPR et des mini-centrales nucléaires représentent des défis techniques très importants pour l’avenir.
Sur la question des prérequis technologiques et industriels, c’est finalement le scénario N2 qui en affichent le moins, même si RTE se garde bien d’en faire son scénario privilégié.
Dans tous les cas, RTE estime “qu’atteindre la neutralité carbone est impossible sans un développement significatif des EnR”, compte tenu des besoins. En clair, même le scénario N03 implique un fort investissement dans le renouvelable.
• Quelle est la stratégie la moins coûteuse?
Les coûts de production sont à peu près équivalents mais les coûts de flexibilité et de réseaux sont plus importants avec le renouvelable. En effet, développer les EnR implique un renouvellement du réseau électrique et la construction de centrales à hydrogène pour compenser les périodes où les EnR ne fonctionnent pas (faute de soleil ou de vent, par exemple). L’écart de coûts est d’environ 10 milliards d’euros par an, en moyenne, même si de nombreux facteurs peuvent faire varier ce chiffre.
“Construire de nouveau réacteur est pertinent du point de vue économique” tranche donc RTE, qui souligne néanmoins que les EnR “sont devenues de solutions compétitives.”
Dans tous les cas, RTE estime qu’un bilan carbone neutre en 2050 est réalisable à un “coût maitrisable”. A condition de s’y investir pleinement.
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« Depuis que le Président Nixon a rompu le lien final entre le dollar et l’or, aucune monnaie majeure pour la première fois dans l’histoire n’a de connexion avec une commodity ». Milton Friedman, 1991.
« Il n’y a pas de moyen plus subtil et plus sûr de détruire les bases de la société que de débaucher la monnaie ». John Maynard Keynes,1920.
« Le papier monnaie sans ancrage s’est régulièrement avéré une malédiction pour le pays qui l’a employé ». Irving Fisher, 1921.
« Il y a de bonnes raisons de croire que la nature de la monnaie n’est pas vraiment comprise ». John Law, 1720.
« Nous pensons que si vous sapez les bases de la monnaie, vous sapez aussi les bases de l’économie. La difficulté est de définir quelle est la part de la structure de liquidités qui correspond à de la vraie monnaie » ; « la monnaie, je ne sais plus très bien ce que c’est ». Alan Greenspan, 2000.
« La liquidité, l’abondance monétaire, c’est quand on croit que l’on va vendre plus cher que l’on a acheté ». D. Kohn, 2003.
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Comment refroidir les réacteurs (actuels et futurs) si les glaciers (qui alimentent les cours d’eau en été) continuent de fondre???