Souverainiste Européen : antimondialiste raisonnable, antiislamiste raisonné, anticapitaliste financier mais pas trop et antisocialiste fabien mais pas assez….Libertarien par Idéal mais Etatiste par pragmatisme ! Cours Forrest cours !
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Au fil des mois, et sans l’afficher, Emmanuel Macron déroule la pelote du Great Reset en France. Pour comprendre la stratégie menée par le pouvoir exécutif, il faut en fait abandonner toute référence à la notion de droite ou de gauche, et relire l’ouvrage de Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos, intitulé le Great Reset. Le parallèle entre le projet de l’un et la réalisation de l’autre est tout à fait troublant. En voici une synthèse.
Entre Emmanuel Macron et Mario Draghi, nul ne sait quel est le meilleur agent du Great Reset, et il n’est pas impossible que l’un et l’autre se tirent la bourre aujourd’hui pour en être les héros. Pour tous ceux qui se demandent encore si Emmanuel Macron est de gauche ou de droite, il n’est en tout cas pas inutile de comparer son oeuvre politique déployée depuis un an avec le projet du Great Reset de Klaus Schwab. Les ressemblances sont si frappantes qu’on se demande même si la France n’est pas le champ d’expérimentation d’une doctrine que nous avons commentée en son temps dans notre ouvrage consacré au sujet.
Macron met en oeuvre le Great Reset depuis un an
Selon la presse subventionnée (par Macron, au passage, qui a lancé un plan spécial d’aide l’été dernier…), le Great Reset est la marque des complotistes, comme le nombre 666 est la marque de la bête dans l’Apocalypse. Pourtant, le Great Reset est un projet public, signé de Klaus Schwab, qui a donné lieu à un long battage de la caste mondialisée, totalement public lui aussi, à l’occasion du dernier Forum de Davos.
Le slogan de cette session résume parfaitement l’ambition du Great Reset, passée sous silence en France, malgré ses évidentes réalisations :
Il est urgent que les acteurs mondiaux coopèrent pour gérer simultanément les conséquences directes de la crise COVID-19. Pour améliorer l’état du monde, le Forum économique mondial lance l’initiative de la Grande Réinitialisation.
C’est dans ce cadre qu’Emmanuel Macron se montre le bon élève qui “coopère” dans la gestion de la crise COVID-19. Et il est très tentant d’égrener ses réalisations dans tous les domaines. Les discours d’Emmanuel Macron multiplient d’ailleurs les références à la coopération internationale, au multilatéralisme et à ses bienfaits. “Améliorer l’état du monde” par la coopération des pays dans de grandes instances technocratiques est, pourrait-on dire, au coeur du credo macronien.
Instrumentaliser le COVID pour autre chose
Nous avions souligné, dans notre analyse du Great Reset, l’instrumentalisation longue de la crise du COVID que Schwab préconise pour imposer des changements de comportement et de structure dans notre société. On rappellera ce passage de l’édition française du livre de Schwab (page 118), sous le titre de “leaders éclairés” :
Certains dirigeants et décideurs qui étaient déjà à l’avant-garde de la lutte contre le changement climatique pourraient vouloir profiter du choc infligé par la pandémie pour mettre en œuvre des changements environnementaux durables et plus vastes. Ils feront, en effet, « bon usage » de la pandémie en empêchant que la crise n’ait servi à rien.
Le Great Reset est indissociable de cette conviction selon laquelle la pandémie de coronavirus doit servir à autre chose qu’à protéger la santé. En particulier, elle est l’occasion d’imposer des changements, des réformes, des décisions, dans le domaine écologique.
Nous examinerons plus tard le contenu de ces décisions. D’ici là, on notera que, dans le Great Reset, gît fondamentalement l’idée qu’un leader “éclairé” (dans le texte) pourrait “vouloir profiter” de la pandémie pour faire advenir autre chose que des mesures liées à la pandémie. C’est ce que Schwab appelle le “bon usage” de la pandémie.
Ce faisant, on lit tout autrement les références récurrentes d’Emmanuel Macron aux “Lumières”. Et l’on repense au “leader éclairé” selon Schwab, qui exploite la situation pour faire autre chose que de la politique de santé publique. Forcément, on se dit qu’il y a au pire un lien, au mieux une coïncidence, quand on songe à l’ensemble de la politique menée par le Président depuis la déclaration de “guerre” contre le virus.
Nous allons le voir.
Passe sanitaire et contact tracking
Bien entendu, ce qui vient immédiatement à l’esprit comme premier exemple des réalisations merveilleuses du Grand Timonier français pendant l’épidémie, c’est le passe sanitaire, qui permet de “ségréger” les bons vaccinés et les méchants non-vaccinés. Le passe sanitaire est une conséquence directe des analyses de Schwab sur la surveillance de masse.
On trouvera par exemple cette explication (p. 131) du livre de Schwab :
Le traçage (contact tracing) et le suivi (contact tracking) des contacts sont donc des éléments essentiels de notre réponse de santé publique à la COVID-19. Les deux termes sont souvent utilisés de manière interchangeable, mais ont des significations légèrement différentes. Une application de suivi permet d’obtenir des informations en temps réel en déterminant, par exemple, la position actuelle d’une personne grâce à des géodonnées via des coordonnées GPS ou la localisation d’une cellule radio. En revanche, le traçage de contacts consiste à obtenir des informations a posteriori, comme l’identification de contacts physiques entre des personnes utilisant le Bluetooth.
On le voit, l’introduction d’applications permettant de remonter la chaîne des contacts d’une personne donnée, contaminée ou non (la police n’est jamais loin dans ce genre d’usage) n’est pas une idée sortie d’un cerveau français. Elle est théorisée par Klaus Schwab lui-même. La distinction entre “tracing” et “tracking” rappelle que la France n’est au fond pas le pire pays du monde, puisqu’elle se contente de retrouver les traces a posteriori des contacts entre les individus, alors qu’elle pourrait les suivre en temps réel…
Mais il ne faut pas se réjouir trop vite : le suivi des données en temps réel ne se pratique pas en partie parce que la loi l’interdit. Rien n’exclut que, dans les prochains mois, le sujet de l’autorisation du suivi en temps réel soit mis sur la table, avec des dispositifs de reconnaissance faciale.
Un autre élément du Great Reset a inspiré les politiques européennes, dont la politique française. Et là encore, Emmanuel Macron a brillé pour l’imposer en délégant à Olivier Véran la tâche de mener à bien ce projet : le tout-vaccin et le renoncement à tout traitement précoce de la maladie, pour le plus grand bénéfice des opérateurs qui développent les vaccins.
Sur cette obsession française du vaccin, nous ne reviendrons pas, puisqu’elle est bien connue de tous les Français. Mais ils la comprendront mieux en se référant au Great Reset de Schwab, qui écrivait notamment (page 41):
Plusieurs mois après le début de la pandémie, il semble que même un semblant de retour au statu quo pour la plupart des entreprises de services soit inconcevable tant que la COVID-19 reste une menace pour notre santé. Cela suggère à son tour qu’un retour complet à la « normale » ne peut être envisagé avant qu’un vaccin soit disponible.
On retrouve ici les éléments de langage qui ont dominé la stratégie française de lutte contre l’épidémie: le vaccin était la seule espérance, le seul cap à franchir pour un “retour à la normale”. Et tant pis si ce retour n’intervient qu’avec un passe sanitaire et une multiplication incessante des injections pour éviter une remontée des cas.
Au fond, le Great Reset a défendu les intérêts de l’industrie pharmaceutique en prônant l’exclusivité du vaccin. Une fois ce vaccin injecté, plus personne ne se pose la question de son efficacité réelle, ni du retour effectif à la normale, annoncé à une époque (par Karine Lacombe, comme nous l’avons rappelé) dès lors que le taux de vaccination atteignait 60%. Et 88% de la population vaccinée plus tard, nous portions toujours le masque, et nous subissions toujours le passe sanitaire.
La relance par les infrastructures et la transition énergétique
Dès le mois d’août 2020, Jean Castex et Bruno Le Maire présentaient un plan de relance supposé intégrer des financements européens. Voici comment ce plan est présenté officiellement par le site gouvernemental ad hoc :
Afin de relancer rapidement l’économie et d’obtenir des résultats en matière de décarbonation, de reconquête industrielle, de renforcement des compétences et des qualifications sur l’ensemble du territoire, un plan exceptionnel de 100 milliards d’euros est déployé par le Gouvernement autour de trois volets : la transition écologique, la compétitivité et la cohésion. Ce plan est soutenu financièrement à hauteur de 40 % par l’Union européenne.
Ceux qui ont lu notre premier paragraphe sur l’instrumentalisation de l’épidémie au profit des mesures écologiques ne seront pas surpris de voir, dès le mois d’août 2020 apparaître un plan d’investissement traduisant en chiffres les objectifs du Great Reset : décarbonation et autres thématiques écologiques. Mais on y trouve aussi des projets relatifs aux infrastructures de transport.
Ces éléments sont à mettre en rapport avec les propositions multiples du Great Reset sur ce sujet, toujours en relation avec l’idée du “leader éclairé” (page 118):
Les gouvernements dirigés par des dirigeants éclairés associeront leurs plans de relance à des engagements écologiques. Ils offriront, par exemple, des conditions financières plus généreuses aux entreprises ayant des modèles économiques à faibles émissions de carbone.
La décarbonation de l’industrie a pour objectif d’accompagner les entreprises industrielles dans l’investissement d’équipements moins émetteurs de CO2.
Par exemple, un découplage complet et global vis-à-vis de la Chine nécessiterait de la part des entreprises concernées un investissement de centaines de milliards de dollars dans des usines nouvellement implantées, et de la part des gouvernements des montants équivalents pour financer de nouvelles infrastructures, comme les aéroports, les liaisons de transport et les logements, afin de desservir les chaînes d’approvisionnement relocalisées.
Ces quelques éléments, qui pourraient être déclinés à l’infini, montrent comment la pensée du Great Reset a percolé dans la stratégie française. Cette porosité ne s’est pas limitée à l’Elysée. Elle s’est largement appuyée sur la technostructure de Bercy.
L’épineuse question de la santé
Nous nous souvenons tous du Ségur de la Santé, qui a débouché sur d’importantes mesures d’investissement, tant dans les infrastructures que dans les salaires. À l’époque, le ministère de la Santé a communiqué sur un investissement de 19 milliards tous azimuts. On se rappelle également que ce Ségur de la Santé a occulté toutes les questions de management et d’organisation qui auraient pu affaiblir l’emprise de la caste mondialisée, de ses auditeurs internes et de ses tableaux comptables sur le système de santé.
Curieusement, on retrouve aussi cette phrase dans le Great Reset de Schwab (page 52) :
La santé, comme l’a démontré la pandémie, nécessite des investissements beaucoup plus importants, tant en termes d’infrastructures et d’innovation que de capital humain.
On le voit, rien n’a été oublié dans ce dispositif, et Olivier Véran a fait tout ce qu’il fallait pour se montrer, lui aussi, un excellent élève du Great Reset.
Une politique sociale très Great Reset compatible
Du côté des politiques sociales, le Great Reset se déclare très favorable aux mesures préconisées par la Théorie Moderne de la Monnaie, sur laquelle nous reviendrons plus longuement dans d’autres publications. C’est peut-être sur ce point qu’Emmanuel Macron, tout en restant dans l’orthodoxie du Great Reset, prend le plus de liberté avec le modèle originel, à la différence d’un Joe Biden.
Schwab propose en effet la généralisation de l’helicopter money, dont le déploiement outre-Atlantique provoque d’apparentes ruptures dans la chaîne d’approvisionnement. Rappelons ce point (page 16) :
Elle pourrait ainsi provoquer des changements qui auraient semblé inconcevables avant que la pandémie ne frappe, tels que de nouvelles formes de politique monétaire comme l’« helicopter money » (déjà acquis), le réexamen/réétalonnage de certaines de nos priorités sociales et une recherche accrue du bien commun comme objectif politique, la notion d’équité acquérant un pouvoir politique, des mesures radicales en matière de bien-être et de fiscalité, et des réalignements géopolitiques drastiques.
Si la France n’a pas encore recouru officiellement à l’”helicopter money” pour relancer l’activité, Emmanuel Macron a largement recouru aux déficits publics pour faire face à la situation, et il continue à le faire massivement à l’approche des élections. En particulier, en 2020, l’Etat est intervenu massivement pour prendre en charge les salaires des entreprises confinées, et a accepté des records de déficits sociaux. Dans la perspective de sa réélection, Emmanuel Macron distribue les chèques pour “protéger” les Français contre les hausses de prix.
Ces dépenses colossales ne constituent pas des “aberrations” socialisantes qui mettraient la France hors jeu. Elles permettent au contraire d’inscrire Macron au tableau d’honneur des bons élèves du Great Reset.
Macron et la question européenne
Il reste, dans cette étude, tout un chapitre à écrire sur la politique financière de Macron rapportée au Great Reset. Mais, compte tenu du rôle de la Banque Centrale européenne dans le financement de nos déficits, cet aspect ne peut être traité en dehors de l’application européenne (notamment par la Commission, mais pas que…) du Great Reset.
Nous y consacrerons une étude à part. Mais l’énumération à laquelle nous avons procédé, qui est synthétique et non exhaustive, montre déjà combien ce Great Reset de Schwab a impacté la politique intérieure française depuis une quinzaine de mois.
Il faut lire les conclusions du dernier G20, réécouter le discours d’Emmanuel Macron à la COP 26 de Glasgow, pour comprendre que l’Europe porte en elle aujourd’hui deux élèves zélés du Great Reset et du nouvel ordre mondial dont il est porteur, à travers la cascade d’instances multilatérales qui “coordonnent” la riposte internationale à la crise du COVID. On n’est pas sûr que ces ripostes soient efficaces, mais on découvre peu à peu combien elles sont concertées sans aucune consultation des peuples qui les subissent. C’est ça, le Great Reset : la détermination des politiques nationales par une caste mondialisée qui se réunit régulièrement pour créer et décliner des “agendas” de plus en plus contraignants, au mépris du suffrage universel.
Draghi et Macron sont aujourd’hui les meilleurs élèves du Great Reset et de son multilatéralisme qui se mue progressivement en Nouvel Ordre Mondial. Jusqu’ici, le multilatéralisme se bornait à exercer une sorte de soft power international ciblé sur des sujets très précis. Désormais, il a l’ambition de coordonner toutes les politiques nationales, sous couvert de relance après la crise du COVID et de transition écologique. Peu à peu, les cadres nationaux sont remplacés par une logique mondiale fondée sur la coordination des grandes décisions lors de sommets réguliers, enchassés les uns dans les autres comme des poupées gigognes.
Draghi et Macron, chantres d’un Nouvel Ordre Mondial
L’empressement des deux hommes à servir cet ordre, fondé sur des sommets multilatéraux enchâssés les uns dans les autres (ONU, G7, G20, UE, COP, OTAN, etc.) où toutes les politiques publiques sont passées en revue, pose d’ailleurs la question de leur rivalité pour un éventuel “poste de débouché” après leur mandat.
Dans tous les cas, la France et l’Italie sont aujourd’hui à la manoeuvre pour animer une bascule brutale, à la faveur de la “reprise” ou de la “relance” après l’épidémie, vers un nouvel ordre mondial où les décisions ne seront plus concertées avec les peuples, mais où elles seront directement examinées par une caste mondialisée qui verrouille le pouvoir.
Comment le Great Reset a “mainstreamé” le Nouvel Ordre Mondial
Il faut lire les conclusions du G20 pour saisir les contours du Nouvel Ordre Mondial et son étroite parenté avec le Great Reset de Schwab. Dans la pratique, toutes les décisions du G20 ont été formulées dans le livre du fondateur de Davos l’an dernier.
Ce n’est pas que Schwab soit un grand Manitou qui tire les ficelles de la planète. C’est plutôt qu’il a joué le rôle de scribe pour une élite mondialisée qui “mainstreame” patiemment ses projets, secteur par secteur, axes politiques par axes politiques. Ce lent travail de maturation dont le Forum de Davos est l’un des théâtres, porte aujourd’hui ses fruits.
Il débouche sur un plan d’action homogène, dont les grands piliers sont connus : digitalisation, vaccination, transition écologique, avec, pour toile de fond, défense du libre échange et recentrage de la gouvernance mondiale vers les instances multilatérales plutôt que vers les Etats nations et leur suffrage universel. Dans cet ensemble, le pouvoir est détenu par une sorte de technostructure qui pilote les peuples et les nations comme on pilote une entreprise : avec une série d’agendas et d’objectifs à atteindre dans la durée, validés par des revues collectives de processus.
La bénédiction Biden
Dans cet ensemble, un élément-clé explique la précipitation avec laquelle la bascule se met en place. Il est fourni par l’éviction de Donald Trump et l’élection de Joe Biden, qui se comporte lui-même en élève docile du multilatéralisme et du Great Reset. Tant que Donald Trump occupait la Maison Blanche, une menace planait sur la domination durable de la caste mondialisée. L’arrivée de Joe Biden est autant une bénédiction qu’une course contre-la-montre : il faut désormais se presser pour établir des jalons irréversibles dans la construction d’un ordre qui ne doit plus dépendre du suffrage universel.
Dès son arrivée au pouvoir, Biden s’est pressé de déployer la politique économique du “Big Government” préconisée par Schwab. Mais il faut désormais cranter cette stratégie dans la construction de l’ordre mondial lui-même. C’est à cette mission que se consacrent un Draghi, un Macron, celle d’avancer le plus vite, le plus loin possible, en partant du principe que le bras de fer avec les peuples n’est pas gagné, et que tout ce qui est pris n’est plus à prendre.
Cette précipitation témoigne de la gêne qu’un Trump a pu causer au développement des projets ourdis par la caste mondialisée. L’épidémie de COVID 19 fournit l’occasion inespérée de rattraper le temps perdu et de gagner du temps pour l’avenir.
L’émergence de nouveaux Rogue States
Dans l’ancienne Pax Americana, certains Etats (la Libye, la Syrie, l’Iran, la Corée du Nord) étaient décrétés “rogue states”, c’est-à-dire Etats voyous à combattre. La mise en place d’un nouvel ordre mondial suscite l’émergence de nouveaux Rogue States. On y mettra la Russie, qui était déjà en délicatesse avec ce système, en y ajoutant le Brésil, devenu infréquentable avec Bolsonaro, et la Turquie, où Erdogan déploie un projet entre Orient et Occident qui devrait tôt ou tard, déboucher sur une impasse.
Dans tous les cas, il n’est plus guère possible pour un Etat de s’abstraire de l’ordre international qui se met en place. Un état de fait se crée, qui laisse peu de place à la contestation…
La démocratie libérale a désormais dépassé son optimum historique. Comme le dit Michel Maffesoli vient le temps des soulèvements des peuples contre une caste qui a décidé de les maltraiter.
Ce n’est pas un scoop ,ancien ( et toujours) larbin des rothchild l’ersatz de président gauleiter de la région France a toujours été un sbire du nouvel ordre mondial ,;la fausse alternative fausse gauche fausse droite nous est servie depuis 90 ans entraînant les peuples sans discernement sur des voies de garages prévues cet effet alors qu’il s’agit des mondialistes contre les souverainistes,c’est un progrès que de le découvrir maintenant ,il reste du chemin à faire,bon courage
"Homo Homini Lupus" : Parce que Hobbes est un killer et Rousseau un doux rèveur....
Nouveau blog , nouvelle année, nouveau cycle ,nouvelle action…croix de bois, croix de fer, si nous mentons, nous allons en enfer...le regard est hagard mais l’écriture aussi…courte et acérée et souvent trop alambiquée, pressée par le temps, empressée d’embrasser l’actualité économique et financière…orthographe approximative….pensée sms pour une mise en lumière, un simple coup de projecteur sur un théâtre d’ombres financières témoins de nos passions et de nos désirs les plus obscurs…magnéto Serge et bienvenue donc à bord du radeau médusé: Capitaine "Devil"Virtual Lupus est à la barre du 1er site garanti 100% porno financier...parce qu'ici si on ne vous cache rien, on ne vous dit parfois, pas grand chose non plus....enfin en apparence....seulement en apparence...
le blog a lupus...un regard hagard sur l'écocomics et ses finances....
« Depuis que le Président Nixon a rompu le lien final entre le dollar et l’or, aucune monnaie majeure pour la première fois dans l’histoire n’a de connexion avec une commodity ». Milton Friedman, 1991.
« Il n’y a pas de moyen plus subtil et plus sûr de détruire les bases de la société que de débaucher la monnaie ». John Maynard Keynes,1920.
« Le papier monnaie sans ancrage s’est régulièrement avéré une malédiction pour le pays qui l’a employé ». Irving Fisher, 1921.
« Il y a de bonnes raisons de croire que la nature de la monnaie n’est pas vraiment comprise ». John Law, 1720.
« Nous pensons que si vous sapez les bases de la monnaie, vous sapez aussi les bases de l’économie. La difficulté est de définir quelle est la part de la structure de liquidités qui correspond à de la vraie monnaie » ; « la monnaie, je ne sais plus très bien ce que c’est ». Alan Greenspan, 2000.
« La liquidité, l’abondance monétaire, c’est quand on croit que l’on va vendre plus cher que l’on a acheté ». D. Kohn, 2003.
The Wolf international corporation edition est heureux de vous présentez ses bruits, cris et hurlements à l’oreille des Loups
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