Les fanatiques allemands du covid vont s’attaquer aux comptes bancaires de l’ »extrême droite »
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À titre de comparaison : Le budget allemand en 2019 était de 356,5 milliards d’euros et le produit intérieur brut total de la République tchèque était alors d’environ 220 milliards d’euros.
« Sans la crise, l’économie allemande aurait connu une croissance de 1,3 % au cours de ces années », a souligné Wollmershäuser. Le marasme économique provoqué par la pandémie est « la pire crise économique depuis la Grande Dépression des années 1930 ». Parmi les conséquences de ce bouleversement figurent une augmentation de la dette nationale et un appauvrissement de l’éducation. Cependant, les pertes telles que celles subies par le secteur de l’éducation ne peuvent pas encore être quantifiées en termes économiques.
Depuis le début de la pandémie, les économistes avaient mis en garde contre les dommages économiques à long terme. Une enquête de l’institut d’études d’opinion Allensbach a récemment montré qu’une majorité d’Allemands craignaient une crise financière et économique à cause du covid.
Les fanatiques du covid prévoient de redoubler d’efforts
Mais quiconque ose s’exprimer sur ce projet de loi monumental est taxé d’agitateur d’ »extrême droite » et la ministre de l’intérieur Nancy Faeser (SPD) a annoncé un plan d’action contre « l’extrémisme de droite ».
Ce plan sera mis en œuvre d’ici Pâques, a déclaré Mme Faeser mercredi au Bundestag. « L’extrémisme de droite est la pire menace pour notre ordre fondamental libre et démocratique », a averti la ministre de l’Intérieur.
« Et c’est pourquoi la lutte contre l’extrémisme de droite est notre priorité absolue. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour mieux protéger les personnes qui sont menacées et attaquées dans notre pays. Nous sommes une démocratie résiliente. Nous combattons les ennemis de la société ouverte. »
Elle s’est plainte des « munitions mentales » préparées pour les auteurs d’actes extrémistes. « Ces escrocs savent ce qu’ils font. Ils ont des partisans qui répandent la misanthropie et le racisme depuis l’intérieur de nos parlements. »
S’en prendre aux comptes bancaires des critiques
Le plan de Faeser est similaire à celui de Justin Trudeau au Canada : pour « arrêter la radicalisation et briser les réseaux d’extrême droite », le gouvernement allemand va s’en prendre à l’argent de leurs détracteurs. « Nous allons retracer les flux financiers des extrémistes et leur retirer leurs sources de revenus, et nous allons très systématiquement les désarmer. »
Au Canada, Trudeau a gelé des comptes bancaires sans procédure régulière ni recours juridique, et a menacé de retirer les enfants des manifestants et de tuer leurs animaux domestiques. En fait, les droits civils ont été complètement écartés au moment où Trudeau a invoqué la Loi sur les urgences.
La loi sur la promotion de la démocratie, qui est en cours de préparation en Allemagne, permettra également de combattre systématiquement les adversaires des gauchistes en déployant la police et les autorités chargées de la sécurité, tout en augmentant le flux déjà écrasant de la propagande gauchiste. « C’est aussi la responsabilité de chacun d’entre nous en tant que société. C’est pourquoi nous allons renforcer l’engagement social, l’éducation politique et la prévention de l’extrémisme. »
Sans surprise, Faeser prévoit de lancer cette nouvelle attaque depuis le ministère de la Famille : « C’est pourquoi la ministre de la Famille Anne Spiegel et moi-même allons rapidement mettre sur les rails la loi sur la promotion de la démocratie. »
L’extrémisme de gauche, quant à lui, est considéré comme un problème « exagéré ».
Toute critique est un « extrémiste de droite »
En Allemagne, les médias, les partis et les associations s’efforcent systématiquement de gommer les différences entre les conservateurs et l’extrême droite, de sorte que toute critique devient synonyme d’ »extrême droite » et vice versa, comme c’est le cas au Canada.
Marco Mendicino, le ministre canadien de la sécurité publique, a annoncé que quatre camionneurs albertains qui avaient été accusés de « conspiration en vue d’assassiner des policiers » avaient « des liens étroits avec une organisation d’extrême-droite dont les dirigeants se trouvent à Ottawa ».
Lorsqu’on lui a demandé d’identifier cette organisation, il n’a pas pu le faire. Lorsqu’on lui a de nouveau demandé, il a parlé de « rhétorique ». Pressé davantage, il a concédé qu’il avait inventé le lien avec les dirigeants du convoi d’Ottawa, puis a laissé entendre que l’information provenait de certains Canadiens sur les « médias sociaux ».
Ainsi, l’affirmation du ministre d’une « menace pour la sécurité publique à Ottawa », sur laquelle reposaient les pouvoirs d’urgence, a été démentie – par lui-même.
Pas de transparence tout en « promouvant la démocratie »
Le ministère allemand des finances a quant à lui refusé de dresser la liste des contacts de l’ancien ministre des finances et actuel chancelier Olaf Scholz (SPD) avec des lobbyistes du secteur financier. L’autorité a rejeté la demande de liberté d’information d’une filiale du mouvement citoyen Finanzwende, rapporte le magazine allemand Spiegel. Elle se justifie en affirmant que la constitution des rendez-vous avec les lobbyistes aurait nécessité de gros efforts.
Le tribunal administratif de Berlin a également suivi les arguments des avocats du ministère des finances pour garder les nominations secrètes.
Les militants, en revanche, exigent que le ministère crée la transparence sur les nominations de Scholz en matière de lobbying. « Au lieu de cela, une justification fragile du rejet est présentée l’une après l’autre », a déclaré Lena Blanken, militante de Finanzwende, à Epoch Times.
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