Souverainiste Européen : antimondialiste raisonnable, antiislamiste raisonné, anticapitaliste financier mais pas trop et antisocialiste fabien mais pas assez….Libertarien par Idéal mais Etatiste par pragmatisme ! Cours Forrest cours !
"Nous vivons une époque nietzschéenne marqué du sceau de la volonté de puissance dans un monde qui ne veut croire qu’au messianisme religieux et marxiste !"
"Le Présent éclaire notre Passé pour mieux construire notre Futur !"
"Le sexe, la drogue et le rock and roll sont au jeune fou ce que les textes, le grog et les patates chaudes sont au vieux Sage"
" Mieux vaut une fin terrifiante qu’une terreur sans fin "
"Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort… Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche"
"Ce qui ne peut perdurer finira forcément par cesser"
"Celui qui a péché par la Dette doit périr dans la Dèche"
« L’Ultraliberalisme et le Néokeynésianisme sont les deux faces d’une même pièce : Une sorte d’immense farce tragico-comique »
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Quiconque commente la guerre en Ukraine a forcément tort. C’est la règle. Puisque chaque belligérant est un système à part entière qui produit ses propres informations et sa sphère d’influence dédiée. Enfin, il paraît. Car finalement, rien de neuf dans ce conflit qui ne fait que réactiver une bonne vieille tectonique des plaques que la guerre froide avait diluée peu à peu dans des conflits transverses. Un peu de réchauffisme et voilà que les pôles géopolitiques du globe se mettent à crépiter de nouveau. Avec toujours, à leur zone de contact et d’évitement, un martyr unique : l’Europe centrale. Et pas n’importe quelle Europe centrale. Car l’Ukraine, n’en déplaise au néo-tsar Vladimir Poutine, existe bel et bien. Elle n’est ni un produit « subversif » de l’Europe occidentale ni une construction bolchévique, comme l’a sous-entendu récemment le président-presque-à-vie de la Fédération de Russie. Il y a au moins trois guerres emboîtées les unes dans les autres, dans ce nouveau conflit européen qui déchaîne à juste titre les passions. D’abord une guerre diplomatique qui s’inscrit dans un bras de fer quasi-séculaire avec les États-Unis et leurs séides atlantistes. Mais cette guerre-là n’est pas la principale : même si la Russie doit effectivement déplorer une lente concentration des forces otaniennes à ses frontières et dans la plupart de ses ex-républiques soviétiques, le vrai combat russo-américain se jouait ailleurs depuis déjà bien longtemps. D’ailleurs, la France et l’Allemagne avaient déjà mis un veto formel à une adhésion potentielle de l’Ukraine à l’OTAN en 2008. Quant aux américains, les rois du lâchage précipité, ils avaient déjà plus ou moins abandonné l’Ukraine, comme ils l’ont fait avec les kurdes ou les afghans… on peut accorder au moins une chose à Poutine : la mandature de Zelensky a sans doute tout d’un pouvoir fantoche qui est loin d’être aussi « démocratique » qu’on veut bien nous le faire croire aujourd’hui, dans le « camp du bien ».
Mais encore une fois, la vraie guerre n’est pas là. La vraie guerre que mène Poutine semble être un combat mémoriel. Poutine est un autocrate, il se sent donc investi d’une mission quasi-millénariste. Il oppose le temps long de l’histoire au temps émotionnel et itératif que manipule à outrance l’occidentisme – pour reprendre un terme cher au philosophe anti-soviétique Alexandre Zinoviev. Ce qui a survécu avec Poutine, c’est le mythe bolchévique de la grande guerre patriotique, déjà hérité de la Russie tsariste du XIXème siècle et avant cela de la Moscovie du XVIème, opposée à sa rivale la Kiévie. C’est-à-dire l’Ukraine. Dont la principale faute est d’être depuis toujours considérée comme le berceau de la Grande Russie. Dès le IXème siècle, les tribus de slaves orientaux se réunissent en un état composite mais soudé par une forte identité foncière, la Ruthénie. Si elle éclate au XIIème siècle, elle se reforme peu à peu en agrégeant de nouveaux foyers de pouvoir et de nouveaux peuples : finnois, baltes slavisés ou de culture steppique, sarmates, tribus d’origine truques ou iraniennes… ce qui se forme sans crier gare, c’est une nation non bâtie sur la notion d’état mais sur un territoire. Un territoire qui définit une culture, une identité, une conception singulière du politique, où l’état n’est pas sacralisé précisément à cause de ce substrat tribal, pan-européen et multi-communautaire. Voir à ce titre le chef d’œuvre de Paradjanov, Les Chevaux de Feu, qui retrace les mythes et les coutumes ancestrales des Houtsoules, population montagnarde assimilée qui vivait dans les Carpathes ukrainiennes. Comme tous les grands peuples européens, le liant national ici c’est la terre, et non l’héritage romain de l’état, entité abstraite. L’Ukraine procède précisément de ce nationalisme völkisch contre lequel bientôt s’opposera le nationalisme étatique d’une Moscovie qui se voit comme l’héritière de l’Empire Byzantin, donc messianique et autoritaire.
L’Ukraine, aujourd’hui est une des dernières représentantes en Europe de ce vieux nationalisme « terrien » que Poutine, en bon « bolchévique-tsariste », déteste par-dessus tout. Tout comme l’Occident, condescendant et faux-jeton, le déteste également. Le pouvoir fantoche de Zelensky, qui a paupérisé le pays tout entier et engendré une crise de défiance, a été probablement le coup de poignard avant la mise à mort par les chars de Poutine. Car la troisième guerre s’ajoute aux précédentes, et c’est bien sûr la guerre énergétique. L’Ukraine paye donc triplement sa position géographique centrale et son enracinement profond dans une Europe que toutes les superpuissances haïssent de concert. Comme le rappelait Zinoviev, « aujourd’hui, l’occidentisme se met à singer les prétentions maniaques de l’adversaire disparu ». De part et d’autre de l’Ukraine, il n’y a que des monstruosités supra-étatiques qui entendent bien réduire en poudre et en gaz les plus vieilles nations européennes.
"Homo Homini Lupus" : Parce que Hobbes est un killer et Rousseau un doux rèveur....
Nouveau blog , nouvelle année, nouveau cycle ,nouvelle action…croix de bois, croix de fer, si nous mentons, nous allons en enfer...le regard est hagard mais l’écriture aussi…courte et acérée et souvent trop alambiquée, pressée par le temps, empressée d’embrasser l’actualité économique et financière…orthographe approximative….pensée sms pour une mise en lumière, un simple coup de projecteur sur un théâtre d’ombres financières témoins de nos passions et de nos désirs les plus obscurs…magnéto Serge et bienvenue donc à bord du radeau médusé: Capitaine "Devil"Virtual Lupus est à la barre du 1er site garanti 100% porno financier...parce qu'ici si on ne vous cache rien, on ne vous dit parfois, pas grand chose non plus....enfin en apparence....seulement en apparence...
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« Depuis que le Président Nixon a rompu le lien final entre le dollar et l’or, aucune monnaie majeure pour la première fois dans l’histoire n’a de connexion avec une commodity ». Milton Friedman, 1991.
« Il n’y a pas de moyen plus subtil et plus sûr de détruire les bases de la société que de débaucher la monnaie ». John Maynard Keynes,1920.
« Le papier monnaie sans ancrage s’est régulièrement avéré une malédiction pour le pays qui l’a employé ». Irving Fisher, 1921.
« Il y a de bonnes raisons de croire que la nature de la monnaie n’est pas vraiment comprise ». John Law, 1720.
« Nous pensons que si vous sapez les bases de la monnaie, vous sapez aussi les bases de l’économie. La difficulté est de définir quelle est la part de la structure de liquidités qui correspond à de la vraie monnaie » ; « la monnaie, je ne sais plus très bien ce que c’est ». Alan Greenspan, 2000.
« La liquidité, l’abondance monétaire, c’est quand on croit que l’on va vendre plus cher que l’on a acheté ». D. Kohn, 2003.
The Wolf international corporation edition est heureux de vous présentez ses bruits, cris et hurlements à l’oreille des Loups
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