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La censure et la propagande menacent notre liberté

La censure et la propagande menacent notre liberté

La censure est à bien des égards une forme inversée de propagande. Ce n’est pas une erreur ou un oubli que de nombreux médias grand public ne donnent à leur public que peu de possibilités de donner leur avis. Ils font tout leur possible pour éviter tout ce qui pourrait remettre en cause leur récit. Si l’on peut affirmer que l’absence d’une zone de commentaires ou d’une fonction liée à un format en ligne n’est souvent qu’une omission, il pourrait s’agir de quelque chose de plus et de bien plus sinistre. L’absence de débat sur l’implication de l’Amérique dans le conflit actuel en Ukraine montre comment la propagande peut dicter la politique.

Ils ne veulent pas de votre opinion

La propagande tend à devenir une boucle auto-alimentée qui joue un rôle énorme dans le façonnement des opinions publiques. L’absence de boucle de rétroaction est un outil qui renforce l’idée qu’il n’y a pas d’objection ou de critique à l’égard de l’article ou de la déclaration et que tout le monde accepte ses conclusions. Je soutiens que l’omission subtile d’une section de commentaires en ligne vise souvent à étouffer les voix dissidentes et non à simplifier le format.

La définition de la censure est la suppression d’un discours, d’une communication publique ou de toute autre information, sur la base d’opinions ou de matériel jugés répréhensibles, nuisibles, sensibles ou « incommodes ». La censure peut être menée par des gouvernements, des institutions privées ou des entreprises. Cela inclut les médias grand public.

La censure joue un rôle important dans la peur de s’exprimer. De par sa nature, la censure implique souvent que ceux qui sont réduits au silence essaient de dire quelque chose de très mal. Je considère la censure et le rôle des grands médias dans ce domaine comme faisant partie de la boucle de propagande auto-alimentée qui joue un rôle si important dans la formation de l’opinion publique. Les dirigeants qui contrôlent les médias ont tendance à s’attaquer lentement aux droits constitutionnels de l’individu en faisant valoir l’idée que tout cela est « pour le bien de tous ».

L’idée d’avoir une presse libre de couvrir l’actualité est liée à l’idée qu’elle sera juste et qu’une telle liberté s’accompagne d’un certain degré de responsabilité. Un exemple courant est que la liberté d’expression devrait donner à quelqu’un le droit de dire ce qu’il pense mais pas de crier au feu dans un théâtre bondé. Cela peut déboucher sur un argument concernant le devoir des médias de présenter une vision aussi impartiale que possible des événements. La situation est compliquée par le fait que de nombreux organes d’information se sont orientés vers un format de divertissement plutôt que vers la présentation de faits concrets et, à cet égard, le sensationnalisme attire les téléspectateurs.

La propagande façonne l’opinion publique !

Appelez-la comme vous voulez, propagande ou fake news, c’est plus ou moins la même chose et nous en sommes bombardés quotidiennement. Et cela va continuer à se développer à l’avenir, compte tenu des nombreux nouveaux outils à la disposition de ceux qui souhaitent à la fois nous contrôler et nous tromper. Déjà, les fausses nouvelles et les faux drapeaux font que beaucoup d’entre nous ont du mal à faire la part des choses. Pour aggraver les choses, la capacité croissante des ordinateurs à générer des images humaines est sur le point d’amener la situation à un tout autre niveau, car ce domaine technologique trompeur et potentiellement dangereux commence à faire l’objet d’abus horribles.

On pourrait dire que les médias grand public sont devenus une force polarisante qui attise les troubles sociaux. En encourageant la polarisation, les médias américains ont rendu impossible l’union du peuple et la reprise du contrôle de Washington. Je ne serais pas surpris que ceux qui contrôlent le pays ne soient pas étourdis par cette affaire et par les problèmes que Facebook a créés en jouant rapidement et librement avec les données de ses adeptes. En franchissant la ligne et en abusant de la confiance de ceux qui ont des comptes et des informations publiées sur sa plateforme, Facebook a enlevé une grande pression aux médias traditionnels pour qu’ils fassent un meilleur travail.

La triste réalité est que le « pouvoir au peuple » est mort parce que nous, en tant que peuple, sommes si divisés et incapables de nous mettre d’accord sur quoi que ce soit. Ce qui est encore plus troublant, c’est la relation que tant de grandes entreprises ont établie avec le gouvernement. Quiconque ne croit pas que les pays utilisent la guerre psychologique et la propagande pour influencer les opinions des gens à l’intérieur et à l’extérieur de leur pays est naïf. Malheureusement, c’est un facteur énorme dans notre déploiement militaire et dans les guerres sans fin qui profitent à ceux qui fabriquent les armes de la mort.

Un exemple des mensonges dont nous sommes abreuvés

La propagande est un outil puissant qui a donné lieu à de nombreuses guerres qui enrichissent ceux qui fabriquent les armes aux dépens de ceux qui sont appelés à donner leur sang. Le fait que le géant Amazon ait entrelacé des intérêts commerciaux avec la CIA, la NSA et plusieurs autres agences gouvernementales de l’ »État profond » est un monument qui montre que nous avons perdu le contrôle de la partie massive de notre gouvernement qui nous espionne et crée les récits sur lesquels nous dansons. Le fait que l’ancien PDG d’Amazon, Jeff Bezos, possède également le Washington Post, le journal le plus influent d’Amérique, devrait donner des frissons à ceux qui croient en la liberté et en un gouvernement limité. En termes simples, la propagande a atteint un tout nouveau niveau et a libéré une force à laquelle aucune de nos institutions ne peut résister.

Aujourd’hui, de nombreuses personnes obtiennent la majorité de leurs informations sur Internet. Bien que cela ait fait une énorme différence dans la façon dont les nouvelles sont distribuées et dont nous les recevons, la réalité est qu’une grande partie du contenu reste contrôlée par quelques acteurs puissants qui sont guidés par un agenda d’intérêt personnel. On pourrait arguer que les médias ont l’obligation morale d’offrir un « forum public » s’ils veulent avoir le droit de s’appeler « libres et équilibrés », mais l’étau se resserre lentement autour de ceux qui souhaitent s’exprimer. Interdire certaines idées et certains discours ne fait que renforcer la capacité des gouvernements à contrôler les masses.

Beaucoup d’entre nous, au-delà du périphérique, dans les coins reculés et sauvages de l’Amérique, ont appris à sentir que les médias ont une relation désinvolte avec la vérité. À bien des égards, les médias contrôlés par quelques courtiers du pouvoir sont désormais considérés comme un outil de l’establishment plutôt que comme le protecteur du peuple et le défenseur de nos droits. Les fondateurs de l’Amérique n’ont jamais voulu que des forces aussi impies guident nos opinions. Cela pourrait expliquer pourquoi la presse est souvent tenue en si mauvaise estime par le public qui compte sur elle pour s’informer. Les reportages remplis d’allusions ou de commentaires subtils, voire de messages subliminaux, entachent l’idée que les médias sont justes. Lors d’interviews, nous avons souvent l’occasion de voir à quel point il est possible de maltraiter un invité invité à répondre à des questions lorsqu’il s’oppose au récit que l’on veut faire.

Cela se traduit souvent par des efforts exagérés pour mettre des mots dans la bouche de quelqu’un et sortir des déclarations de leur contexte. Ces mots sont ensuite déformés de la manière la plus nuisible qui soit. Si l’invité représente des opinions différentes de celles de l’intervieweur, on assiste souvent à une embuscade. Si un invité est favorisé ou si ses opinions sont approuvées, c’est souvent comme s’il avait écrit les questions faciles qui lui ont été posées, comme s’il avait reçu les questions à l’avance ou comme s’il contrôlait l’interview. Tout cela peut ensuite être étayé par une série de déclarations scénarisées qui reviennent toutes en boucle pour soutenir un message dur ou subliminal.

La couverture biaisée des événements actuels étant très courante, il n’est pas étonnant que les Américains remettent en question l’honnêteté des médias dont les rangs semblent s’être remplis d’opportunistes et de clochards déguisés en journalistes. Le fait est que nous ne sommes souvent pas d’accord avec tout ce que nous voyons ou lisons, de sorte que l’ »accord implicite » n’est pas valable. Le simple fait d’inclure une case « pouce levé » ou « pouce baissé » à la fin d’un article donnerait au moins aux lecteurs la possibilité de donner leur avis. La prochaine fois que vous serez en colère ou que vous ne serez pas d’accord avec la façon dont un article caractérise un événement, je vous invite à prendre le temps de vérifier si la source vous a donné l’occasion de présenter votre point de vue. Je ne serais pas surpris qu’elle ne l’ait pas fait.

Traduction d’Advancing Time par Aube Digitale

« Si l’on ne croit pas à la liberté d’expression pour les gens qu’on méprise, on n’y croit pas du tout »

« Si l’on ne croit pas à la liberté d’expression pour les gens qu’on méprise, on n’y croit pas du tout. »

« If you believe in freedom of speech, you believe in freedom of speech for views you don’t like. Goebbels was in favor of freedom of speech for views he liked. So was Stalin. If you’re in favor of freedom of speech, that means you’re in favor of freedom of speech precisely for views you despise. »

Manufacturing Consent: Noam Chomsky and the Media (1992)

EN BANDE SON :

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2 réponses »

  1. « La triste réalité est que le « pouvoir au peuple » est mort parce que nous, en tant que peuple, sommes si divisés et incapables de nous mettre d’accord sur quoi que ce soit. »

    C’est complexe. J’aimerais essayer de nuancer le propos de Jade si je peux me permettre.

    Dans « Mort d’un pouri » une sorte de « maître du monde » joué par Klaus Kinski dit avec tout le cynisme qui convient et avec son fantastique accent que « en attendant qu’ils installent l’internationale du prolo, nous avons mis en place l’internationale du pognon ».

    En somme, les « big boss » du pognon (fonds de pensions, banques centrales, multinationales, GAFA etc.) mettent de côté toute chose humaine (cultures, langues, religions, croyances, morales, vérités diverses, opinions et que sais-je encore) pour ne converger, ne s’organiser, ne se souder qu’autour du plus petit dénominateur commun : l’intérêt financier.

    En « bas », chez « nous-autres », c’est le bordel, pour faire simple. Zéro organisation, ou bien multiplication d’organisations diverses et relativement séparées les unes des autres ou mieux encore, en opposition.
    Tendances politiques (si la droite/gauche n’existe, à priori, plus au sommet, le clivage existe bel et bien dans la population), religieuses, morales, culturelles, divergentes, toute la liste des « choses humaines » dont, visiblement, ‘nous’ n’arrivons pas à ‘nous’ dépatouiller ?

    Si d’aventures, imaginons, tous les « anti-doxa » ou « anti-Macron » ou peu importe l’appellation, se réunissaient sous une même bannière, que tous les sites (par exemple) « alternatifs » ne fassent plus qu’un, vous savez… le « grand UN »…

    La trilatérale du ‘dissident’, le Bilderbeg du « pauvre ».

    Un adage populaire : « Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier ».

    Mais ne dit-on pas que « l’union fait la force » aussi. L’union des divers alors, peut-être. Sites « alternatifs », alter, Altérités.

    Cette « internationale du pognon » (Michel Audiard) fait beaucoup de mal, au bas mot. Elle est plutôt fonctionnelle, certes. Il ne s’agirait pas de le nier tout de même.
    Mais elle est fonction-nelle que parce que c’est une machine une entité au sein de laquelle nul homme n’habite sinon des maillons d’une chaîne implacable.
    C’est une usine, la même que celle de Chaplin, ceux que nous appelons les « maîtres » sont des ouvriers.
    Je ne suis pas fonctionnel, mais en vie.

    Mais cette grande convergence autour d’un unique point, le pognon, est-il un si bon pari sur le long terme ? Peut-être. Je n’en sais rien, de répondre par l’affirmative est assez tentant, de fait, jusqu’ici.

    Mais quid de l’entropie ? Assistons-nous, aujourd’hui, à leur fin ou à la nôtre (réduction à l’esclavage, fin des haricots, 1984 et tout le toutim) ? Seraient-ils victimes d’entropie, c’est-à-dire victimes de leur « inceste » (au sens figuré). La reproduction du même, éternellement (?), autour d’une et une seule « valeur », c’est le cas de le dire… nonobstant tout ce qui dépasse d’eux-mêmes, réduisant leur être, leur tête, pensée, esprit au seul UN.

    Le Prince Salina ne disait-il pas que cela ne favorisait pas la race (propre comme au figuré) ?

    Pour reprendre la citation de Jade, je ne suis pas certain qu’il faille que nous les imitions, nous rabaisser à nous réunir autour d’un quelconque plus petit dénominateur commun. Car, pour ce faire, comme j’ai dit plus haut, cela n’est possible qu’en éliminant toutes autres choses, à savoir la majeure partie de ce que nous sommes individuellement. Des Hommes.

    Ce qu’ils font, ce que nous ne faisons pas. Un vrai casse-tête.

    L’entropie est mort. Un peu comme une mer étale, plus rien, plus de vague, plus de courants plus d’jus. Pour filer l’humour du blog hôte, plus de vagues plus de Kali’Yuga’surfing.
    L’entropie est Davos, l’entropie est cet instant durable où tout le monde se met d’accord, c’est exactement ça, ou quand le forgeron de Goscinny a perdu l’envie même de se foutre sur la gueule avec le poissonnier. C’est ne plus avoir l’émoi.

    Je ne sais plus qui disait cela, mais, à peu près, quand X rejoint un parti (politique), il est d’accord avec disons 90% de la grille de lecture. Puis, de s’apercevoir que le 10% restant, sur lequel il s’est assis, était en réalité capital (pour X).

    L’ « élite », et nous le savons tous, fonctionne sur le principe de secte. Pour rentrer (et ne plus en sortir), rien de plus simple, il faut s’auto-body-snatcher (comprendre déshumaniser, désindividualiser). Soit, c’est un modèle. Assez performant, je dois dire ; per for mant. Fonction-nel

    Qu’est-ce qu’ « on » veut à la fin ? Tous être connectés les uns aux autres, le tout relié à « LA CENTRALE » ? Bip bip, la ruche (l’hexagone est leur symbole, pas très subtil).

    Dans l’article voisin, partagé sur ce même blog même jour, il y a je pense la contradiction parfaite avec le propos de Jade via la citation de Simone Weil ;

    « D’une manière générale, tous les problèmes concernant la liberté d’expression s’éclaircissent si l’on pose que cette liberté est un besoin de l’intelligence, et que l’intelligence réside uniquement dans l’être humain considéré seul. Il n’y a pas d’exercice collectif de l’intelligence. Par suite nul groupement ne peut légitimement prétendre à la liberté d’expression, parce que nul groupement n’en a le moins du monde besoin. Bien au contraire, la protection de la liberté de penser exige qu’il soit interdit par la loi à un groupement d’exprimer une opinion. Car lorsqu’un groupe se met à avoir des opinions, il tend inévitablement à les imposer à ses membres. »

    Depuis quelque temps, une expression, plus encore, un concept a le vent en poupe.
    « L’intelligence collective »… le travail en atelier, en groupe, ce genre de chose qui prolifère. Sans vouloir être facile, c’est un concept gauchiste. Et, je crois, ce jargon, cette novlangue masquent plus ou moins bien ce à quoi cela renvoie : la pensée unique, à termes, et, en attendant, une accélération de la réduction des individualités, des pensées propres.
    Je ne suis pas seul, je ne sais pas tout, je lis, j’apprends des autres mais à la fin, ce que je ponds, c’est moi qui le ponds. Nous nous influençons les uns les autres mais « l’intelligence collective » n’est pas ça, ce truc pue et je manque de talent pour expliquer pourquoi.
    Simone Weil, alors, ou Body Snatchers, le film, ou autre.
    D’ailleurs « l’individualisme » est aussi un concept gauchisant visant à me culpabiliser d’être moi-même au fond, quand on y pense.

    Dire que nous sommes « divisés » est évidemment perçu comme négatif. Pourtant nous ne le sommes précisément que parce que nous demeurons des hommes habités d’intelligence. Et libres de l’exprimer selon.
    Avant de couper le cordon ombilical, je serais tenté de dire que le bébé EST la mère. Et inversement.
    Ensuite, l’enfant est relié à sa mère, mais séparé.
    C’est la raison pour laquelle les trucs comme Davos, le système secte, sont contre nature, c’est au moins essayer de retourner en arrière, avant le découpage. Un director’s cut quoi..haha.
    Ce qui énerve tout le temps les admirateurs du film original.
    Revenir sur ce qui a été fait, ce que Dame Nature obligeait, une réaction, non.

    Dans « La Règle du jeu » (Renoir), un personnage dit « Tu comprends sur cette Terre il y a une chose effroyable, c’est que tout le monde a ses raisons ». Sous-entendu que personne ne tombe d’accord.
    Plutôt que de dire « effroyable », devrait-il dire merveilleux.
    Plutôt que de dire « divisés », faudrait-il dire différents, Alter, variés, divers, hétéroclites, hétérogènes, hétérosexuels (ha… je plaisante !).

    De Gaulle : « Comment voulez-vous gouverner un pays où il existe plus de 300 sortes de fromages ? », on ne peut pas, et c’est parfait ! C’est plutôt, toujours De Gaulle, pour ne pas se tromper sur la première ; « Un pays qui produit plus de 365 sortes de fromages ne peut pas perdre la guerre ! ».
    Là, c’est clair maintenant.

    Je pourrais user de la métaphore biologique, un corps en vie, bouillant, plein de microbes un sacré gloubi boulga, l’inverse de Davos ; un dés « astre » mort unifié par le vide.
    Dangereux, oui, très dangereux, mais au fond et c’est là où je veux en venir, la meilleure des résistances est à mon avis de ne pas les imiter, de ne pas leur ressembler, de ne pas faire un « Bilderberg du rebelle » en miroir ; Il ne faut pas trop jouer avec les miroirs…

    Et car « lorsqu’un groupe se met à avoir des opinions, il tend inévitablement à les imposer à ses membres. ». Une trilatérale du dissidôsse ? Une bonne idée, mauvaise.

    Ne pas, jamais, soustraire un peu de soi pour un peu de ça. Ça commence comme ça. Il est toujours possible de faire passer un éléphant par un trou de serrure, mais il faut rogner un p’tit peu. A la fin on a un fin Macron. Un éléphanteau ou ce qu’il en reste.

    « Le pouvoir au peuple », mais le peuple n’a pas spécialement, sauf erreur de ma part, j’élucubre un peu, à avoir le pouvoir, il est tout et sans lui il n’y a rien. Si le peuple devait avoir un seul devoir, ce serait de rester lui-même, entier dans sa multiplicité de vues.
    Celui qui veut marcher sur sa tête et faire la grimpette est comme l’éléphant ci-dessus. A la fin le petit maître est tout en haut mais tout à fait rapetissé de quelques bons décimètres. Je ne les envie pas.
    Que reste-t-il d’eux une fois en haut, et puis, aussi, à une certaine altitude on manque un peu d’oxygène je crois. Ceci expliquant cela, sans doute.

    Comment disent-ils déjà, nos chers propagandistes ? Ha oui, la « biodiversité »…
    Bah voilà.
    Contre le grand UN, le grand « bordel », la vie.

    Jules César a divisé, il a régné, il est mort. Le peuple, lui, non.
    Toujours là, que ça plaise ou non.

    365 fromages (« nous autres ») contre 1 Babybel (Davôsse) ;

    Les paris sont ouverts…

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