Législatives : Tous les chemins mènent à Rome, tous les rats vont à Paris |
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Aymeric Caron dans la 18e circonscriptions de Paris (la circo du siège de L’Incorrect !), Sandrine Rousseau dans la 9e, Bayou dans la 5è, les journalistes de l’Incorrect vont avoir l’embarras du choix à Paris aux prochaines élections ! Pour la sagesse populaire, « les rats quittent le navire », dans le monde de la politique, les rats finissent toujours à Paris. Comme une sorte de migration à un certain moment de sa vie politique. Avant c’était la droite (Chirac, Dati, Le Pen, …) maintenant c’est la gauche. Car Paris est devenu l’épicentre de la purulence. Le point de départ de l’infection sociétale, métèquale, enculale qui prionise notre société. Non pas parce qu’elle est la capitale ou la plus grande ville de la France mais parce qu’elle devient petit à petit un bastion et un centre d’expérimentation sociale regroupant progressivement les principaux relents qui détruisent un corps politique et populaire déjà bien attaqué. Il faut bien se rendre compte que cette tendance au regroupement des enculés dans un même endroit est unique au monde. Il y a 18 circos à Paris. Dans la 8e on retrouve la séduisante Laetitia Avia. Dans la deuxième c’est Gilles Le Gendre qui est l’incarnation chimiquement pure, le visage marial de la Macronerie arrogante, dans la 3e il y a Stanislas Guérini, la 17e est le territoire de la Obono et dans la 7e froufroute la Pacôme Rupin (rien que le nom !). Si les trois comiques subcités passent en juin, Paris sera devenu quasiment un microcosme fermé. Une curiosité zoologique. Un laboratoire suintant tout ce que l’air du temps compte de pustulences, de bactéries pourisseuses. Paris intra-muros agrège, attire le pourri. Comme un immense bouton blanc en formation ! Grouillant et suintant. Donnant vie et alimentant en prions une couronne d’infections et de staphylocoques dorés dont le principal foyer de charognerie est la Seine Saint-Denis. Zemmour et ses lieutenants ne s’y sont pas trompé en n’osant même pas se présenter à Paris par exemple. Car ils savent que c’est désormais un territoire perdu. Qui veut se donner, bouche et cul, à Caron et Rousseau. Dernier arrêt avant le terminus du califat de la Tour Eiffel. Au-delà du mépris pour la ville poubelle que nous partageons tous, il convient de s’interroger sur cette tendance qui sépare progressivement Paris et les vagues bleds alentours du reste de la France. La maire de Paris recueille 1,75% des voix à l’élection présidentielle. La présidente de la région Île-de-France fait à peine mieux avec ses 4,78%. Les députés de Paris sont de plus en plus de tendances ultra-ultra-marginales dans la société et la population est un mélange de corniauds domestiques n’ayant aucune attache identifiable et d’immigrés exotiques. Paris n’est plus la France et toute la France rejette Paris. Paris suit la voie de Marseille en fait. Tant au niveau de sa population que de sa représentation, elle représente un microcosme en rupture complète avec le pays qu’elle est censée incarner. Microcosme fonctionnant et vivant en vase clos. Si la Rousseau et Aymeric Carron passent en juin, leurs circos respectives seront, par exemple, le terrain d’expérimentation de toutes les abominations disponibles sur le marché. Laboratoire des futures dingueries sociétales. Avec la Coffin, conseillère de Paris, ils s’allieront, s’exciteront mutuellement, entraînant les Parisiens vers un gouffre enculo-vegano-islamo-féministo-bourgeois. Partant, ne vous étonnez pas que les Bretons ou les Corses ne se reconnaissent pas dans cette grouillasserie ! Par Maël Pellan L’Incorrect« Le barbare se contente de détruire ; le touriste profane »
Nicolás Gómez Dávila – Escolios a un texto implícito (1977) EN BANDE SON : |
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