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Quand exactement les nazis ont-ils cessé d’être « les méchants » ? REPONSE de Bruno Bertez : EN MARS 2009 !

Quand exactement les nazis ont-ils cessé d’être « les méchants » ? REPONSE BB EN MARS 2009.

LE GRAND SECRET/ Vous voulez comprendre et connaitre les pays qui sont obligés de s’incliner devant les sanctions imposées par les USA, regardez le bilan de leurs banques, si ils sont dépendants du dollar alors ils doivent obéir.
La militarisation du dollar est implicitement agitée par les Etats-Unis à l’égard des pays récalcitrants. l’Etat de leur système bancaire, interconnecté au dollar donc demandeur de dollars , les rend totalement dépendants. EX: La Deutsche Bank est un talon d’Achille!

BRUNO BERTEZ via Tweeter

By brunobertezautresmondes brunobertez.com 2 min View Original

Les nazis ont cessé d’être les méchants quand face, à la terrible crise financière, monétaire et économique qui devait emporter, balayer tout le système occidental, les élus américains ont choisi de refuser de sanctionner les riches pour leurs débauches, leurs imprudences et l’avidité de leur enrichissement.

En Mars 2009 les ultra riches, les kleptocrates, les Paulson et autres multimilliardaires ont décidé qu’au lieu de sanctionner, de nettoyer la pourriture, il fallait masquer la situation et faire payer les erreurs des riches aux pauvres; on a socialisé les pertes des ultra riches. On s’est enfoncé dans le mensonge , puis la fausse monnaie ; puis les contrôles, puis les lois scélérates sur la sécurité etc

On a mis en branle l’engrenage des pertes de libertés et des pratiques anti-démocratiques.

Lisez les mémoires de Geithner qui était aux affaires à cette époque, cela transparait.

On a décidé de ne pas faire payer les riches car on a eu peur d’eux ; si on les sanctionnait explique Geithner alors ils allaient jouer la politique du pire et tout faire tomber. Donc on les a sauvés, on les a flatté, personne n’est allé en prison, on les a enrichis par la création monétaire et l’argent gratuit, et on a ipso facto quasi sans débat décidé que ce seraient les pauvres qui paieraient.

D’où l’austérité et la paupérisation des salariés.

L’austérité et les inégalités ont produit le populisme. Il a représenté jusque 40% de la population en Occident et a amené Trump au pouvoir, a la fois populiste et préfasciste. Trump était une sorte de compromis.

Le populisme a produit le besoin pour les riches de retrouver les solutions traditionnelles, celles de la crise des années 30 : le fascisme et la nécessité de la guerre .

Bien sur fascisme moderne est soft, et insidieux. Ce fascisme vicieux, il est tout a fait normal qu’il retrouve ses activistes, ses fers de lance chez les mercenaires paumés toujours au service du Grand Pognon : les nostalgiques du nazisme.

La crise de 2008 et son traitement infame ont produit un fascisme rénové, technicisé, dont les troupes nazies sont la caricature .

L’histoire des années 30 se répète sous une forme adaptée à notre époque.

Les mêmes causes, la crise du Capital, produisent toujours les mêmes effets : le besoin de baiser les peuples.

BRUNO BERTEZ

 

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