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Obsolescence programmée et Poly-A : « Le modèle de la consommation est même devenu le modèle contestataire !

« Le modèle de la consommation est même devenu le modèle contestataire !

C’est que l’universalisation du modèle de consommation libertaire doit transcender les classes sociales. […] En multipliant les intérêts corporatifs de la marginalité, du sexe, de la classe d’âge. En réalisant la plus grande atomisation du corps social. La contestation doit dresser la femme contre l’homme, le jeune contre l’adulte. Chacun contre tous. En multipliant les marginalisations, les anomies, les déviances. Pour que le conflit soit constant, intime. En organisant la guerre civile de la société civile. »
— Michel Clouscard, Le Frivole et le Sérieux (1978)
Peut être de l’art
Avec le transgenrisme, c’est la grande mode du moment ! On ne parle que de ça dans Landerneau par exemple. Le polyamour ou Poly-A ! Trouple, quadrouple, quintouple. C’est comme les prix, ça grimpe tout le temps. Le but est de déconstuire tous les schémas. Toto est avec Zaza. Zaza est aussi avec Lolo et Lolo est avec Nénesse. Mais Nénesse n’est pas avec Toto ou juste occasionnellement et Zaza et Lolo sont intermitto-sexuels, c’est à dire qu’elles se lèchent la cramouille mais quand ça leur chante. De surcroît, chacun peut aller biter de son côté, mais attention il faut avertir les autres !

Tout le monde est plus ou moins avec tout le monde et tout le monde est plus ou moins à voile et à vapeur. D’où la multiplication des situations « poly-A ». Sartre et Simone étaient les plus stars du truc. « Nous allons réinventer le couple !» disait la saloperie de Saint-Germain des Prés. La bourgeoisie dégénérée.

Sartre allait donc ramener sa sale gueule chez toutes les putains du quartier, De Beauvoir se faisait ramoner le cul par tous les mimilles et les Lanzmann du coin et tout ça se retrouvait le soir pour bien renifler l’odeur des occasionnels sur le corps de l’autre.

Beurk ! Une dégoutance pareil me fait sortir de ma culotte à reculons. Il faut être vraiment dérangé du slip pour aimer ce genre d’abominations. Même dans le milieu natio, il y en a des tordus pareils à ce qu’on dit.

Et parfois les Poly-A ont des enfants ! Les marmots grandissent donc dans un environnement où personne ne sait bien qui est papa-maman. Qui fait quoi. . Vous êtes prof et vous récoltez ce genre de conneries dans votre classe, bonjour le merdier. Pour le môme, la normalité c’est de voir son père et sa mère dans un lit avec 50 autres lascars. Pour adapter les contes de fées en classe à l’heure de « l’histoire partagée », ce n’est pas évident. A part éventuellement Blanche Neige et les 7 nains….

Bien entendu, le Poly-A se conjugue avec le transexualisme. Donc Papa est maman, maman est moitié papa et les autres papa-maman de la maison on ne sait plus trop. Il est évident que les services sociaux n’ont pas le droit d’intervenir dans ce genre de bordel parce qu’il ne faut pas « juger la sexualité des gens », vous comprenez. Même si les gosses sont complètement désazimuté avec tout ça. Les « assos » veillent à ce que ces monuments de modernité que sont les familles Poly-A ne soient pas dérangées dans leurs suçades. D’ailleurs beaucoup de couples poly-A ne veulent pas savoir qui a fécondé la ou les femelles du harem. Donc les enfants ont une maman principale, des mamans secondaires et un certain nombre de pères potentiels. Quand ceux-ci ne sont pas devenus, entre temps, eux aussi des « « mères » » (voir plus haut).

Finalement, on juge les musulmans pour leur polygamie, mais qu’avons nous inventé en Occident ? Un modèle pire ! La polygamie musulmane, c’est simple : un gros verrat avec pleins de petites truies autour. Le poly-A c’est toutes les situations,  la décadence ultime, l’horreur progressisto-sociétale.

« Laissez une paroisse vingt ans sans prêtre : on y adorera les bêtes » avait dit Jean-Marie Vianney. Le très saint curé d’Ars était tellement en dessous de la réalité actuelle.

Par Maël Pellan

 

 

 

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