Art de la guerre monétaire et économique

Le Billet du LUPUS : Guerre eschatologique entre les Elites lucifériennes, l’Europe en fait les frais, la Sainte Russie Orthodoxe fait de la résistance…

Guerre eschatologique entre les Elites lucifériennes, l’Europe en fait les frais, la Sainte Russie Orthodoxe fait de la résistance…

La guerre qui oppose  les forces néoconservatrices américaines, le fameux complexe militaro-industriel, comprenez par-là l’Empire judéo-wasp (l’union des juifs et des protestants), aux forces mondialistes de Davos : communément référencés au 19ème et 20ème siècle en tant que Socialistes fabiens -la trop fameuse 3ème voie. Cette guerre des Elites a trouvé donc à s’exprimer au travers d’un nouveau terrain de jeu qu’est devenu le bourbier européen et son avatar ukrainien.

  L’Europe en plein processus de dissolution, travaillée dans son sang par les hommes de Davos au travers d’une immigration musulmane de remplacement et d’une déstructuration identitaire sous la férule woke, se voit aujourd’hui confrontée à  une vassalisation complète à marche forcée, par l’Empire anglo-sioniste et son représentant militaire  en Europe : l’Otan.

  Pour l’Otan en Ukraine il n’est pas question de défense des intérêts européens, mais d’agression systématique de la Russie, par les forces étatsuniennes, afin de priver l’Europe à la fois de ses ressources énergétiques et de ses racines spirituelles : la Sainte Russie Orthodoxe.

Les Mondialistes de Davos ont cru pouvoir profiter de la saine réaction des Russes à l’encerclement « otanien », et de la relative faiblesse de la riposte européenne au travers de sanctions suicidaires, pour faire avancer leur  programme malthusien de grand reset. Bien mal leur en a pris, car  Davos se trouve aujourd’hui face  à la politique de la canonnière des néoconservateurs US, qui utilisent l’arme monétaire d’un Dollar fort pour affaiblir davantage l’Euro, et exporter ainsi l’hyper-inflation  américaine.

 Ceci afin bien sûr de fragiliser du même coup tout le secteur bancaire européen ,dont on connait la grande dépendance au dollar.

 Il ne faut pas voir autrement  la guerre des taux d’intérêt à court terme que se livrent actuellement les banques centrales Fed et BCE, les Américains ayant pris plus qu’une longueur d’avance sur les Européens. Des Européens enferrés dans le leurre d’une inflation transitoire, facilement combattue au travers d’un programme mondialiste, qu’ils espèrent encore mettre en place, de décroissance accélérée.

 Les Mondialistes de Davos et leur financier George Soros ont dépensé tant de temps et tant d’argent pour essayer de  convaincre les Néo-cons Américains d’ « abandonner tout espoir » d’un retour sur la scène internationale, qu’il y a une certaine jouissance pour nous « Gueux européens », à voir que ce sont eux, les « Supers têtes pensantes davossiennes » qui ne peuvent plus rien faire d’autre que de « pénétrer » dans « l’antre du dragon américain » de déflation des actifs. L’ajustement promet d’être biblique. Cela sera douloureux, y compris pour nous Européens.

Les Néo-conservateurs américains misant sur une désynchronisation des marchés financiers américains et européens.  Dans un jeu de vases communicants « pervers » la déflation des actifs européens servant à revalorises les actifs américains, le secteur de la technologie en tète.

Un déséquilibre des forces qui s’annonce et qui peut paraitre injuste, pour des Mondialistes fabiens opposés a des Néo-conservateurs tout aussi lucifériens, mais que voulez-vous le solipsisme et l’arrogance des Hommes de Davos, des personnes perverses qui ont toujours connu le pouvoir et qui  se sentent en droit de l’exercer à perpétuité, sont sans limite.

 Alors pourquoi ne pas aussi profiter du spectacle des diatribes, des gémissements et des grincements de dents des pires personnes au monde aujourd’hui.

Bien maigre consolation me direz-vous…On a la destinée que l’on mérite, la nôtre hélas Européens, c’est de ne plus en avoir, et de naviguer désormais à vue.

LE LUPUS

« La fatigue est le chemin le plus court vers l’égalité et la fraternité – et durant le sommeil la liberté finit par s’y ajouter »

Chemin de l’égalité

Une heure d’ascension dans les montagnes fait d’un gredin et d’un saint deux créatures à peu près semblables.

La fatigue est le chemin le plus court vers l’égalité et la fraternité — et durant le sommeil la liberté finit par s’y ajouter.

Friedrich Nietzsche – Humain, trop humain ; « Le Voyageur et son Ombre » (1878)

EN BANDE SON :

2 réponses »

  1. Le jeu d’échec de la diagonale des fous furieux au nom des dieu et de tout les leurs qui dure depuis des millénaires arrive peut-être a son terme …

    « Il est inutile de se faire des illusions avec les chimères d’un quelconque optimisme : nous nous trouvons aujourd’hui à la fin d’un cycle. Depuis des siècles déjà, tout d’abord de façon insensible, puis avec le mouvement d’une avalanche, de multiples processus ont détruit, en Occident, tout ordre normal et légitime des hommes, ont faussé les conceptions les plus hautes de la vie, de l’action, de la connaissance et du combat. Et le mouvement de cette chute, sa vitesse, son côté vertigineux, a été appelé “progrès”. Et des hymnes au “progrès” furent entonnés, et l’on eut l’illusion que cette civilisation – civilisation de matière et de machine – était la civilisation par excellence, celle à laquelle toute l’histoire du monde était pré-ordonnée : jusqu’à ce que les conséquences ultimes de tout ce processus fussent telles qu’elles provoquèrent, chez certains, un réveil. »

  2. « Timpul celor alesi » en roumain, »Le temps de ceux qui sont élus. »
    Oiseaux rares chantez Christine et Jean Louis,le seul chant possible qui est celui de réveil. Car certains l’entendront au milieu des cris rauques éructés et gémissements plaintifs par l’infra humain en pénitence.

    Le commentaire de Anders hier sur leblogalupus, Oui : « Le jeu d’échec de la diagonale des fous furieux au nom des dieu et de tout les leurs qui dure depuis des millénaires arrive peut-être a son terme …

    L’heure ne nous laisse aucun espace d’optimisme, mais lisons plutôt Jean Parvulesco dans le numéro 4 de Contrelittérature automne 2000 présentant le roman roumain de Mirela Roznovéano . : »Aussi le problème des affirmations présentes de la contrelittérature se pose-t-il exclusivement entre nous autres, à l’intérieur de notre propre camp retranché, le camp du combat grand-européen pour le retour à l’être, et ne saurait donc nous concerner que nous autres, mobilisés comme nous nous trouvons en première ligne par l’épreuve finale de notre commune prédestination révolutionnaire. Épreuve finale qu’il nous faut à présent assumer, tragiquement, d’une manière plénière, crucifiée comme nous nous trouvons tous, personnellement aussi bien en tant que communauté de combat que génération prédestinée, au-des- sus des précipices sans fond de l’actuelle confrontation suprêmement décisive de l’être et du non-être, sur la ligne de rupture de deux mondes ontologiquement antagonistes irréductibles. »
    https://wp.nyu.edu/mroznoveanu/2018/04/19/jean-parvulesco-about-le-temps-de-ceux-qui-sont-elus/

    Cela peut vous donner quelques clés de mon article qui vient d’être publié dans le magazine anglophone de l’Inde du sud Kerala « Om Gayatr »i et qui reprend en titre un vers du poème du poète catholique Francis James, la prière;
    « Par les quatre horizons qui crucifient le monde. »
    L’optimisme n’est pas assez, il nous maintenait dans une certaine passivité, il ne nous reste rien d’autre que le combat ontologique et le petite vertu théologale d’Espérance chantée par Péguy.
    page 16 : »https://heyzine.com/flip-book/8c6487020a.html?fbclid=IwAR1DU5GsU5E_O9R4OwaWyjlwbSWXHk8Tqo03z2mHCj1nGz53blXF9ig7Iu4

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