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Le prince Andrew et Ghislaine Maxwell étaient si « intimes » qu’elle avait un accès complet au palais de Buckingham

Rapport : Le prince Andrew et Ghislaine Maxwell étaient si « intimes » qu’elle avait un accès complet au palais de Buckingham

Le prince Andrew a fait l’objet d’une condamnation massive pour ses liens avec le financier américain et délinquant sexuel condamné Jeffrey Epstein, ainsi qu’avec sa petite amie Ghislaine Maxwell. Cette dernière a été condamnée à 20 ans de prison pour trafic sexuel et abus sexuel.

Le prince Andrew et Ghislaine Maxwell entretenaient une relation si étroite que le duc lui donnait « un accès illimité » au palais de Buckingham, rapporte The Sun en citant un ancien officier de la police royale.La police du palais aurait fait signe à Maxwell d’entrer car elle était autorisée à entrer « à volonté » pour visiter les appartements du duc.

L’agent de sécurité Paul Page, qui a travaillé au palais de Buckingham de 1998 à 2004, a déclaré au Sun que Maxwell était souvent vue entrant et sortant des appartements du prince Andrew.

« Selon Page, la petite amie d’Epstein était l’un des visiteurs les plus fréquents d’Andrew dans les années 2000, époque à laquelle les deux hommes se sont rapprochés et où Maxwell l’a présenté pour la première fois à Epstein.

Parmi ces visites, l’officier se souvient d’un « pique-nique intime » qui aurait eu lieu « juste devant la fenêtre de la chambre de la Reine ».

En outre, Page a déclaré que lui et ses collègues avaient reçu l’ordre de ne pas inscrire le nom de Maxwell sur les livres d’or, ce qui était « très inhabituel ».

« Elle avait un accès comme aucun autre individu en dehors de la famille royale. Elle était à un autre niveau », a-t-il affirmé. « Nous lui faisions signe d’entrer et elle allait directement dans la cour et dans les appartements du duc d’York. »

Si elle se voyait refuser l’accès pour une raison ou une autre, Page a déclaré qu’ils se faisaient « crier et hurler dessus » par le duc. Maxwell, quant à elle, n’était « pas une personne amicale » qui « regardait presque de haut » les agents de sécurité.

Condamné pour ses liens avec le défunt pédophile Jeffrey Epstein, le prince Andrew a toujours affirmé que son amitié avec lui passait par le prisme de Maxwell, qu’il connaissait « depuis qu’elle était à l’université au Royaume-Uni ».

« Epstein, qui en 2019 a été retrouvé mort par suicide derrière les barreaux après avoir été condamné pour trafic sexuel, était le petit ami de Maxwell. La mondaine aurait fait partie de son réseau de trafic sexuel – ce qu’elle nie avec véhémence. Fin juin, elle a été condamnée à 20 ans de prison pour trafic sexuel et abus sexuels. »

SOURCE

Après avoir réglé le procès civil qui a fait l’effet d’une bombe avec Virginia Roberts Giuffre, qui l’accusait de l’avoir violée, le prince Andrew a largement fait profil bas. Le prince Andrew « n’a aucune intention » d’aider les autorités américaines dans leur enquête sur Jeffrey Epstein, a rapporté le Mirror citant une « source royale bien placée ».

« Il n’a rien à dire et rien à ajouter », a expliqué la source. « Il ne voit aucune raison pour que quelqu’un veuille lui parler et maintenant que son affaire a été réglée avec Virginia Giuffre, il considère que l’affaire est réglée ».

« Cette remarque intervient au milieu des appels à se pencher sur les associés et les amis du défunt délinquant sexuel américain condamné et de sa petite amie Ghislaine Maxwell. Le prince Andrew, qui vient de mettre un terme à sa bataille juridique avec l’une des victimes d’Epstein, Virginia Roberts Giuffre, est toujours exhorté à « se manifester et à raconter toute l’histoire ».

En 2019, le duc d’York a déclaré à la BBC, dans une interview choc, qu’il ne regrettait pas d’être ami avec Epstein, et a particulièrement nié avoir jamais rencontré Giuffre, bien qu’on lui ait montré une photo où lui et la femme sont représentés. Andrew a déclaré qu’il ne se « souvenait pas que cette photo ait jamais été prise ».

Il a nié avec véhémence les accusations de Giuffre. La bataille juridique entre les deux a été réglée après qu’Andrew lui ait versé 12 millions de livres sterling.

« S’il n’a rien fait de mal, alors présentez-vous et racontez toute l’histoire au FBI, pas aux médias », a déclaré au Mirror Spencer Kuvin, qui représente plusieurs des victimes d’Epstein et de Maxwell.

Au cours de l’interview de 2019, Andrew a déclaré qu’il était prêt à aider l’enquête sur Epstein, mais un an plus tard, le procureur américain de l’époque pour le district sud de New York, Geoffrey Berman, a affirmé que le duc avait fourni « zéro coopération ».

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1 réponse »

  1. Il faut les pendre haut et court. Emasculer les hommes, couper les seins et le reste de ces femmes perverses…

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