L’Administration Biden est en train de détruire l’armée américaine en s’attaquant aux soi-disant « suprémacistes blancs », ceux qui s’opposent à la prise du vaccin COVID pour des raisons religieuses ou de santé ou d’immunité naturelle, et les personnes qui refusent d’utiliser les pronoms préférés des activistes du genre.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Tony Lentini, paru sur le site d’American Thinker, le 9 juillet.

La théorie critique de la race, le transgenrisme et la « diversité, l’équité et l’inclusion » détruisent notre armée

Le recrutement militaire aux États-Unis est en chute libre au moment même où l’Administration Biden chasse les soi-disant « suprémacistes blancs » (quiconque a voté pour Trump ou croit en la Constitution), ceux qui s’opposent à la prise du vaccin COVID pour des raisons religieuses ou de santé ou d’immunité naturelle, et les personnes qui refusent d’utiliser les pronoms préférés des activistes du genre. Le résultat de tout cela est une armée castrée et divisée de plus en plus incapable de combattre et de gagner des guerres.

Un récent sondage de l’Université de Chicago a révélé que deux tiers des électeurs républicains et indépendants et 51 % des électeurs se décrivant comme « très libéraux » conviennent que le gouvernement américain est « corrompu et braqué contre les gens ordinaires comme moi ». La confiance dans toutes nos institutions est en baisse et l’armée ne fait pas exception.

Les jeunes Américains s’engagent dans l’armée pour diverses raisons, mais le patriotisme est un élément commun.

L’endoctrinement de la Théorie critique de la race (TCR) est maintenant requis dans toutes nos forces armées, y compris dans nos académies militaires. La TCR enseigne que notre nation est systématiquement raciste et que tous les Blancs sont essentiellement mauvais. Elle décrie nos Pères fondateurs, notre Constitution, nos institutions, notre économie capitaliste et notre mode de vie tout entier comme étant irrémédiablement bigots.

Les frères et sœurs d’armes de l’armée se battent les uns pour les autres plus que pour toute autre raison. Le dénigrement de la race blanche par la TCR est lui-même profondément bigot ; il suffit de lire une partie de leur littérature et de substituer le mot « Noir » à chaque mention du mot « Blanc » pour s’en rendre compte. Il y avait un dicton dans l’armée qui disait que la seule race et la seule couleur dans l’armée était la couleur olive. La TCR est une source de division, elle dresse les races les unes contre les autres et sape le travail d’équipe nécessaire pour réussir au combat. Elle ne devrait pas avoir sa place au sein de notre armée, et pourtant, des politiciens et des bureaucrates progressistes aux plus hauts niveaux rendent son enseignement obligatoire, et des généraux et des amiraux « wokes » louangent et mettent en œuvre des politiques qui nuisent à la cohésion et au moral des unités.

Il en va de même pour l’endoctrinement du transgenrisme et de la fluidité des genres.

Les soins de santé militaires gratuits ne couvrent pas les augmentations mammaires et autres chirurgies esthétiques.

Sous l’Administration Biden, les services sont maintenant tenus d’accepter les recrues transgenres, et vous pouvez parier votre dernier dollar – tous nos dollars, en fait – que des chirurgies de réaffectation de genre très coûteuses sont en route vers un hôpital militaire près de chez vous.

Non seulement ces opérations coûtent des sommes considérables, mais elles sont également exténuantes et nécessitent une longue convalescence, ce qui rend ces patients inaptes au service. Les chefs militaires incitent déjà les militaires à utiliser les pronoms préférés du personnel non binaire.

Soyez assurés qu’ils seront bientôt obligatoires.

Un reportage récent révèle que l’armée a déjà averti les soldats de ne pas se plaindre d’avoir à se doucher avec des personnes transgenres qui n’ont pas subi de chirurgie de réassignation sexuelle.

Les officiers « Respect » de nos académies de service et de l’armée organisent désormais des séances d’endoctrinement afin de faire pression sur les troupes pour qu’elles adoptent et célèbrent ce qu’elles savent être faux.

Ces officiers « Respect » sont la version américaine moderne des commissaires politiques soviétiques et nazis, qui pourraient coûter la vie à des soldats et des commandants imprudents.

Non seulement ces politiques nuisent au recrutement, mais elles encouragent également l’aversion au risque et l’hésitation du commandement, les dernières choses dont vous avez besoin dans une force de combat professionnelle.

Tout comme la TCR et le transgenrisme, les initiatives dites de « diversité, d’équité et d’inclusion » affaiblissent également nos forces armées.

La diversité pour le plaisir de la diversité n’est pas une politique saine pour l’armée.
L’unité l’est.
L’unité de but.
L’unité d’un groupe de frères et de sœurs prêts à mourir les uns pour les autres.
Le DEI favorise la pensée de groupe politiquement correcte et produit des soldats « pajama boy » par opposition aux guerriers « toxiquement masculins ».

À qui faites vous confiance pour gagner des guerres ?

« L’équité et l’inclusion », telles qu’interprétées par le régime Biden, signifient un traitement et un avancement inégaux basés sur la race ou l’orientation sexuelle, par opposition au mérite.

Sous le régime actuel, les officiers généraux et les amiraux américains sont sélectionnés pour une promotion en grande partie sur la base de leur travail plutôt que de leur capacité à diriger les troupes, gagner des guerres et protéger la patrie.

Alors que la guerre mondiale entre l’Occident et un axe Russie-Chine doté de l’arme nucléaire est une possibilité réelle compte tenu du conflit en Ukraine et des ambitions de la Chine à l’égard de Taïwan, à qui faites vous confiance pour conduire notre nation sur le chemin difficile qui l’attend ?

Des officiers d’état-major « wokes » qui, une fois à la retraite, bénéficieront de postes lucratifs dans l’industrie de la défense (à condition qu’ils saluent, se comportent et fassent du prosélytisme au nom de politiques qu’ils savent contre-productives) ? Ou des guerriers au franc-parler comme Patton et Halsey ?

Pour ce qui est des troupes, posez-vous la question suivante : Pourquoi quelqu’un mettrait-il sa vie en danger pour servir un pays dont on lui a appris qu’il était fondamentalement raciste et mauvais ?

*Tony Lentini est diplômé de West Point en 1971 et a servi pendant cinq ans dans l’armée américaine, où il a atteint le grade de capitaine. Il est membre de STARRS (Stand Together Against Racism and Radicalism in the Services), un groupe d’anciens combattants dont la mission est d’éduquer le peuple américain sur les dangers d’une armée « woke ».

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Americanthinker