Ottawa va « intégrer de façon permanente » l’idéologie woke dans son ministère
Un guide stratégique fédéral de « lutte contre le racisme » détaille les plans visant à « intégrer de façon permanente » l’idéologie woke d’extrême gauche dans le système d’immigration du Canada.
Le document de 40 pages intitulé Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada : Stratégie de lutte contre le racisme 2.0 fournit une mise à jour détaillée de la façon dont le ministère prévoit de combattre le soi-disant « racisme systémique » au sein du système d’immigration canadien.
Au milieu du rapport, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada propose que sa stratégie « antiraciste » devienne une caractéristique permanente du ministère, ajoutant qu’elle devrait être mise en place de manière à ne pas pouvoir être annulée par les gouvernements futurs.
« Veiller à ce que l’engagement en faveur de la lutte contre le racisme soit ancré de manière permanente dans la structure du ministère et que la haute direction soit responsable des résultats sur une base continue, indépendamment des changements de gouvernement ou de personnel », affirme le rapport.
L’« antiracisme » est une pratique fondée sur des concepts d’extrême gauche et comprend souvent des pratiques d’embauche fondées sur le racisme. Les politiques « antiracistes » font souvent référence à des concepts tels que la « décolonisation » ou le fait que les gens détiennent un « privilège blanc » inhérent.
« L’opposition consciente aux théories, attitudes et actions racistes. L’antiracisme ne consiste pas seulement à être contre l’idée du racisme. Il s’agit également de prendre des mesures actives pour le combattre », écrit le personnel dans un glossaire définissant le terme.
Les mesures proposées par le ministère comprennent une « formation obligatoire aux préjugés inconscients » et des objectifs de performance « antiracistes ».
« Obliger les employés et les cadres à suivre une formation obligatoire sur les préjugés inconscients et inclure des objectifs antiracistes dans les accords de performance », a écrit le personnel.
« Continuer à marteler les engagements en matière de lutte contre le racisme, en consacrant des ressources pour suivre les progrès et faire passer le message que cette question n’est pas que des paroles. »
D’autres initiatives comprennent l’introduction d’un bulletin d’équité pour chaque département qui noterait les performances en matière d’« antiracisme » lors de l’embauche ou de la promotion.
La section du glossaire du guide indique également que le soi-disant « privilège blanc » peut également s’étendre aux personnes qui n’ont pas la peau claire.
« (Le privilège blanc signifie) bénéficier d’un pouvoir, d’avantages, d’un accès et/ou d’opportunités non gagnés, basés sur le fait d’être blanc ou d’être perçu comme blanc », a écrit le personnel.
« Les personnes blanches sont définies comme appartenant à l’un des divers peuples à la peau claire, généralement d’origine européenne. Ce terme est devenu un indicateur moins de la couleur de la peau que de l’acceptation sans réserve des héritages et des pratiques actuelles de la suprématie blanche et du colonialisme. »
D’autres ministères fédéraux ont élaboré des politiques « antiracistes » et intégré l’idéologie wok dans leurs organisations respectives.
Un rapport exclusif de True North datant de février sur des documents internes d’Affaires étrangères Canada a révélé un service des affaires étrangères obsédé par des concepts comme la « microagression », l’« antiracisme » et le « sectarisme ambiant » dans l’embauche.
« Les gens choisissent naturellement les personnes avec lesquelles ils veulent travailler. Le principe central est celui de la ‘bonne adéquation’, ce qui donne libre cours au sectarisme ambiant et peut l’amplifier », se plaint le personnel dans le rapport.
Source : True North – Traduit par Anguille sous roche
Les Verts effacent les Blancs des publicités sur l’ »avenir de l’Allemagne »
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Le parti des Verts en Allemagne a lancé une campagne de relations publiques célébrant sa vision de l’avenir du pays, bien qu’une chose semble étrangement absente : les blancs.
Trois affiches ont été publiées dans le cadre de la campagne, décrivant le type d’avenir auquel les Allemands peuvent s’attendre si le parti obtient suffisamment de pouvoir pour réaliser son programme politique.
L’une des affiches montre un couple de lesbiennes noires avec l’inscription « Une patrie pour tous, sauf pour les nazis ».
Une autre image montre une femme brune, probablement d’origine moyen-orientale, accompagnée des mots « Travailler pour un avenir ».
Une troisième image représente un enfant noir probablement d’origine africaine avec les mots « Des écoles qui peuvent faire l’avenir et l’histoire. »
Les observateurs ont noté que les Blancs, qui représentent 87 % de la population allemande, ne semblent pas faire partie intégrante de l’avenir du pays, selon le parti des Verts.
Le parti des Verts en Allemagne n’est en aucun cas une entité obscure, c’est une force majeure de la politique allemande.
Il détient actuellement 118 des 736 sièges du Bundestag après avoir remporté 14,8 % des suffrages exprimés lors des élections fédérales de 2021 et est désormais le troisième plus grand des six groupes parlementaires.
Comme nous l’avons souligné précédemment, 300 délégués du Parti vert détestent leur propre pays à tel point qu’ils ont demandé, par voie de pétition, que le mot « Allemagne » soit retiré de leur propre manifeste.
La nouvelle commissaire allemande chargée de la lutte contre la discrimination a récemment fait l’objet d’un examen minutieux parce qu’elle avait utilisé un langage péjoratif en qualifiant les Allemands ethniques de « pommes de terre ».
Entre-temps, la diversité continue d’être une telle force que les chiffres publiés par le gouvernement allemand montrent que les étrangers non allemands sont responsables de plus de 39 % du total des meurtres et de 56,25 % des condamnations pour homicide involontaire, alors qu’ils ne représentent que 12 % de la population.
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