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Les NEWS “sans importance” du LUPUS du Lundi 22 Mai 2023

Les NEWS “sans importance” du LUPUS du Lundi 22 Mai 2023

Marchés

Les négociations autour du budget du gouvernement américain sont une fois de plus interrompues vendredi, les représentants républicains quittant la table des discussions. Le marché en prend ombrage et rend du terrain sur la nouvelle, ce d’autant plus que Janet Yellen plombe l’ambiance des banques régionales en indiquant que de nouvelles fusions pourraient s’avérer nécessaires, l’ETF KRE perd 1,88% sur la séance, mais gagne 7,8% sur la semaine. La Fed semble momentanément passer au second plan des préoccupations du marché, qui note toutefois que Jerome Powell veut marquer une pause dans le cycle de hausses le mois prochain, afin de faire le point sur l’état de l’économie et de l’inflation. Le marché des Fed Funds ne prévoit du coup guère plus de hausse le 14 juin et semble moins convaincu que la Réserve Fédérale va démarrer un cycle de baisses d’ici la fin de l’année.

On revient au plafond de la dette US, avec des stratèges qui sortent du bois pour nous avertir que l’indice S&P500 (SPX) risque de chuter de 20% si les Etats-Unis font défaut sur le paiement de leur dette, ces mêmes oracles prédisant 50% de probabilités que le Congrès vote un relèvement du plafond, ben voyons…

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Christine Lagarde réitère sa rhétorique faucon, déclarant que «la BCE ne fait pas de pause sur la base des informations dont je dispose aujourd’hui» et que les perspectives d’inflation sont «trop élevées et pour trop longtemps». Elle ajoute toutefois que les décideurs politiques ont parcouru une grande partie du chemin vers la maîtrise des prix. Aux États-Unis, Neel Kashkari déclare qu’il pourrait soutenir une pause en juin.

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Les négociateurs sur la limite de la dette américaine ont repris les discussions hier soir après que Joe Biden et Kevin McCarthy ont accepté que leurs équipes se penchent à nouveau sur la question. Ils prévoient de se rencontrer en personne aujourd’hui. Le républicain Garret Graves déclare que le GOP insiste sur un plafond de dépenses pluriannuel. Janet Yellen a déclaré que le gouvernement sera à court de fonds à la mi-juin, soulignant l’urgence de parvenir à un compromis. «Je pense que les chances d’atteindre le 15 juin tout en étant en mesure de payer toutes nos factures sont assez faibles», déclare-t-elle à la chaîne NBC. Les économistes de Goldman estiment que le niveau des liquidités du Trésor tombera d’ici le 8 ou le 9 juin en dessous des 30 milliards de dollars qu’il a indiqué comme étant le strict minimum pour faire face aux obligations fédérales.

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Guerre des semi-conducteurs : en visant Micron, la Chine joue la carte de l’escalade envers les États-Unis

Avant celle de l’énergie, le monde traversait une grande pénurie de puces informatiques devenues une véritable ressource stratégique nécessaire pour l’assemblage de la majorité des objets de haute technologie, de la voiture au missile. L’appétit de la Chine était particulièrement préoccupant : le pays n’avait pas le savoir-faire pour se passer de puces faites à l’étranger. Mais il vient d’imposer de lourdes sanctions à un fabricant américain. De quoi poser la question de ses capacités réelles.

Risque pour la cybersécurité ?

Dans l’actualité : la Chine a interdit aux entreprises chinoises travaillant sur des projets d’infrastructure d’acheter des produits du fabricant américain de semi-conducteurs Micron, a annoncé ce dimanche l’administration chinoise du cyberespace. Un geste inattendu, et une surenchère non négligeable dans la rivalité entre Pékin et Washington.

« L’examen a révélé que les produits de Micron présentaient des risques relativement graves en matière de cybersécurité, ce qui pose des risques importants pour la chaîne d’approvisionnement de l’infrastructure d’information critique de la Chine et affecterait la sécurité nationale »

10% des revenus viennent de Chine

  • Micron Technology (MU) est l’un des plus grands fabricants de puces des USA, et 10% de ses revenus proviennent des importations chinoises. Mais il est sous le coup d’une enquête sur la sécurité de ses produits, décidée par Pékin. La firme n’a, pour l’instant, pas fait d’autres commentaires que d’annoncer que des négociations étaient en cours.

Le contexte : de plus en plus de pays privent la Chine de leurs puces. Plusieurs leaders mondiaux des microprocesseurs de haute technologie ont limité leurs exportations vers Pékin, comme le Japon, mais aussi les Pays-Bas, rappelle CNN. L’Empire du Milieu est aussi plongé dans une guerre commerciale avec les États-Unis, ces derniers n’hésitant pas à mettre en place une alliance panasiatique anti-chinoise pour réguler l’arrivée de microprocesseurs. Mais il est quand même surprenant de voir le pays se priver en amont d’une source de puces.

  • La Chine a-t-elle amélioré les qualités de ses processeurs nationaux, jusqu’à pouvoir se passer d’un fabricant américain ? C’est évidemment difficile à dire. Il est certain en tout cas que le pays veut faire des progrès dans le domaine, malgré qu’on lui mette des bâtons dans les roues.
  • Les puces représentent de plus en plus un enjeu de souveraineté, et de nombreux pays s’en rendent compte un peu tard alors que la technologie pour en produire reste concentrée dans les mains de quelques-uns.
  • Le Royaume-Uni s’est ainsi engagé à investir jusqu’à un milliard de livres sterling au cours de la prochaine décennie pour consolider sa production nationale « trop peu, trop tard« , estiment toutefois certains.
  • Dans ce contexte, il est donc préoccupant qu’un pays très gourmand en puces et considéré comme en retard sur la finesse de sa production nationale puisse jouer à la surenchère ainsi.

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Le géant de la tech Meta (ex-Facebook) est sanctionné d’une amende record d’1,2 milliard d’euros ! L’autorité irlandaise de protection des données personnelles (DPC) en est à l’origine, en raison du transfert de données d’utilisateurs européens vers les États-Unis. Les dirigeants de Meta comptent faire appel et qualifient l’amende d’injustifiée et d’inutile.

Avant de suspendre ses transferts de données le mois dernier, Meta s’attendait à la mise en place d’un nouveau cadre légal relatif à l’envoi de données personnelles des citoyens de l’Union européenne vers les États-Unis. Selon un porte-parole de la Commission européenne, cet accord de principe devrait être finalisé d’ici l’été. En ce début de semaine, Meta progresse de 2,09% à 250,77 $ malgré le tacle irlandais Affaire à suivre !

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La nouvelle cible de l’Arabie saoudite : les touristes occidentaux

Le richissime État pétrolier du Moyen-Orient cherche à diversifier ses revenus dans un monde voué à s’appuyer de moins en moins sur les énergies fossiles, et mise désormais sur ses chevaux sportifs en attirant des stars internationales. Une stratégie qui risque de détourner le regard de son terrible bilan en matière de droits humains.

Zoom avant : Selon la chaîne espagnole Cadena SER, l’Arabie saoudite aurait offert au footballeur Lionel Messi 500 millions d’euros par an pour rejoindre son championnat national.

  • Il s’agit de la dernière mesure d’une série prise par les dirigeants saoudiens qui investissent depuis quelque temps des milliards d’euros dans le sport, l’art et la musique.
  • En fin d’année 2022, le joueur Cristiano Ronaldo avait ainsi signé un contrat avec le club Al-Nassr FC, évalué à 200 millions de dollars par an.
  • Un peu plus d’un an auparavant, le Fonds d’investissement public d’Arabie saoudite a mené un consortium pour l’acquisition du club Newcastle en Premier League anglaise, pour un montant dépassant les 373 millions de dollars.
  • L’Arabie saoudite a également des ambitions pour accueillir la Coupe du monde de la FIFA 2030 avec une candidature conjointe après le succès de l’édition au Qatar, son pays voisin.
  • Et elle élargit ses horizons hors du football : l’an dernier, l’État pétrolier a envisagé d’acquérir la Formule 1 auprès du propriétaire américain Liberty Media pour 20 milliards de dollars – une tentative qui est tombée à l’eau, rapportait Bloomberg.
  • L’Arabie saoudite espère ajouter à son tableau de chasse un autre « sport de riches », le golf, avec une tournée des stars à plusieurs milliards de dollars, mais aussi la boxe, pour varier les plaisirs.

Zoom arrière : Le pays dépense à tout va pour renforcer sa présence et son influence sur la scène internationale, et attirer au passage un secteur touristique haut de gamme.

  • « Il s’agit d’une réorientation complète du royaume. Ils veulent convaincre les gens qu’il s’agit d’une terre d’accueil et non d’une terre menaçante« , explique à Bloomberg Kristin Smith Diwan, chercheuse à l’Institut des États arabes du Golfe à Washington.
  • Le sport est un des secteurs phares pour y parvenir, comme on l’a vu plus haut : « Le sport est essentiel à l’évolution de l’Arabie saoudite vers un monde moins dépendant des revenus du pétrole » confirme à l’agence de presse Simon Chadwick, professeur de sport et d’économie géopolitique à la Skema Business School de Paris.
  • Grâce à ces investissements massifs dans le sport mais aussi dans la culture, le divertissement et l’industrie des loisirs de luxe, l’Arabie saoudite espère attirer d’ici à 2030 pas moins de 100 millions de visiteurs par an, pour que le tourisme représente alors 10% de son PIB. À titre de comparaison, le royaume a accueilli environ 16 millions de visiteurs l’an dernier.

Sous le radar : Cette nouvelle stratégie économique de l’Arabie saoudite pourrait distraire de son bilan déplorable en matière de droits de l’homme.

  • « Je me réjouis de ces changements, mais ils donnent une fausse impression de notre pays« , déclare à Bloomberg Lina Al-Hathloul, responsable de la surveillance et de la défense des droits de l’homme au sein de l’association ALQST.
    • Elle souligne que lorsque cette stratégie de « soft power », qui consiste à utiliser la culture, le sport et les arts pour améliorer la réputation du prince héritier et attirer les investisseurs occidentaux, aura porté ses fruits, « les allégations de violations que nous signalons ne seront plus efficaces ».
  • En 2022, les autorités saoudiennes ont ciblé des défenseurs des droits de l’homme, prononçant de lourdes peines de prison à leur encontre de ceux pour avoir exprimé leurs opinions contraires au régime sur les réseaux sociaux, a dénoncé Human Rights Watch.
  • Les abus dans les centres de détention, incluant la torture et les mauvais traitements, ainsi que la détention prolongée et la confiscation de biens sans procédure juridique restent fort répandus.
  • Les réformes législatives annoncées en faveur des droits humains sont généralement discréditées par une répression généralisée menée sous l’autorité du prince héritier Mohammed ben Salmane.
  • Cette mauvaise réputation pourrait toutefois desservir ses plans, si tant est que des sportifs quelque peu militants des droits humains ont l’audace de s’en prendre au régime : ce fut par exemple le cas, en F1, des champions du monde Lewis Hamilton et Sebastian Vettel… Avec des moyens détournés, comme des T-shirts et casques en faveur du mouvement LGBTQ. Rien qui ne puisse vraiment entraver les projets faramineux saoudiens pour le moment.

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Le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis bat son opposition lors des élections nationales d’hier, se rapprochant ainsi d’un nouveau mandat de quatre ans et signalant aux marchés que sa politique favorable aux investissements se poursuivra. Son parti, la Nouvelle Démocratie, obtient environ 41% des voix, dépassant ainsi les attentes. Il n’atteint pas le seuil nécessaire pour former immédiatement un gouvernement, il optera donc probablement pour un nouveau scrutin dans environ un mois. Et dans ce deuxième scrutin, le vainqueur bénéficie d’un bonus qui lui permettrait d’obtenir la majorité absolue.
C’est une bonne nouvelle pour la Grèce qui a fait un parcours spectaculaire ces dernières années.

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La visite surprise de Volodymyr Zelenskiy au sommet du G7 d’Hiroshima lui donne l’occasion de faire appel aux économies émergentes qui ont adopté une position neutre – et parfois ambivalente – sur la guerre. Trois invités – le Brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, l’Indien Narendra Modi et l’Indonésien Joko Widodo – évoquent la nécessité de la paix en termes généraux, même si Lula déclare qu’il condamne l’occupation de l’Ukraine. Les États-Unis mettent fin à leur opposition à l’envoi de chasseurs F-16 à l’Ukraine par les alliés du G7, tandis que M. Zelenskiy propose la tenue d’un sommet de la paix en juillet pour marquer les 500 jours de l’invasion russe.

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La Roumanie nomme un robot consultant du gouvernement

Alors que l’intelligence artificielle est une préoccupation mondiale, le gouvernement roumain embrasse pleinement cette révolution en nommant un robot comme conseiller.
L’introduction d’un robot en tant qu’assistant d’affaires gouvernementales est une première mondiale, selon le gouvernement roumain. Les politiciens espèrent que le robot fournira des conseils sur la future politique gouvernementale en fonction de ce que les gens disent de la législation actuelle.

Dans l’actu : le gouvernement roumain a nommé un robot nommé Ion comme conseiller, rapporte le Financial Times.

  • Le robot a été développé par Humans.ai, une start-up locale. Le projet est piloté par le ministère de la Recherche, de l’Innovation et de la Numérisation.
  • Ion – l’équivalent roumain de “Jan” – collecte des données à partir des médias sociaux et des messages que les citoyens publient sur un site Web gouvernemental.

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Spotify détruit par l’IA : les artistes sont des robots, les auditeurs aussi

Spotify vient de supprimer des dizaines de milliers de chansons qui étaient générées par l’IA… et écoutées en boucle par des robots. L’intelligence artificielle va-t-elle détruire le monde de l’art ?

Voilà bien longtemps que les experts prédisent le remplacement du travail humain par l’IA. Toutefois, si l’on pouvait s’attendre à l’automatisation du travail à la chaîne dans les usines, nul n’aurait pu prévoir que l’un des premiers domaines impactés serait l’art.

Pourtant, face à l’essor de l’intelligence artificielle générative, l’industrie de la musique traverse une véritable crise.

Depuis plusieurs semaines, de nombreuses chansons imitant des artistes connus sont créées par l’IA. Un faux featuring de Drake et The Weeknd a notamment rencontré un succès viral.

À présent, Spotify annonce avoir supprimé plusieurs dizaines de milliers de chansons générées par l’intelligence artificielle.

Il s’agit de morceaux mis en ligne par la startup IA Boomy, qui génère des musiques en se basant sur les prompts de l’utilisateur. Ces chansons peuvent ensuite être partagées sur Spotify et générer des revenus.

La génération de musique par l’IA pose de nombreuses questions en elle-même. Toutefois, le problème ne s’arrête pas là pour Spotify.

Les artistes IA écoutés par des robots : la boucle du streaming artificiel

Ces chansons créées par des machines étaient écoutées en boucle par un vaste réseau de robots, afin d’augmenter le nombre de streams et les revenus associés…

Le problème des auditeurs robots n’est pas vraiment nouveau, et de nombreux artistes payent des « fermes à clic » depuis des années. Toutefois, l’avènement de la musique créée par l’IA rend la situation encore plus ubuesque.

Désormais, les faux artistes sont écoutés par leurs faux fans. L’humain est tout simplement exclu de la chaîne, alors même que l’art est censé le distinguer de l’animal et le caractériser.

Alerté sur ce phénomène de « streaming artificiel » par Universal Music Group, Spotify a préféré mettre un terme à cette boucle infinie. Au total, 7% des musiques mises en ligne par Boomy ont été supprimées de la plateforme.

La startup se vante d’avoir généré un total de 14,5 millions de chansons à ce jour, ce qui représente 14% de toute la musique enregistrée dans le monde. Autant dire que la musique créée par IA inonde les services de streaming.

Face à l’évolution des technologies IA, l’industrie de la musique va devoir se réinventer de toute urgence sous peine de voir leurs empires s’effondrer comme des châteaux de cartes…

D’ailleurs, Google vient de lancer son outil MusicLM permettant de générer des musiques à partir d’un simple prompt. Le phénomène n’est donc pas prêt de ralentir.

Puisqu’il est impossible d’empêcher la prolifération de chansons créées par l’IA, la seule solution pourrait être celle proposée par Grimes : partager les royalties avec les robots.

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New York s’enfonce sous le poids de ses gratte-ciel, et pour une cité côtière ça n’est pas une bonne nouvelle

De l’invasion extraterrestre à l’attaque d’un singe géant, difficile de faire la liste de toutes les menaces auxquelles New York a dû faire face, du moins dans des œuvres de fiction. Mais la Grosse Pomme réelle n’est pas forcément à l’abri d’un danger bien plus insidieux : le surpoids, et on ne parle pas de celui de ses habitants.

La ville s’enfonce en effet dans le sol, tassant le terrain avec les dizaines de milliers de tonnes de ses immeubles. Et selon une nouvelle étude qui a modélisé la géologie du sous-sol de la ville en la comparant à des données satellitaires, la mégapole américaine s’enfonce de 1 à 2 mm par an.

764.000.000 tonnes

Cela peut paraître très peu, mais c’est en fait assez significatif que pour devenir inquiétant, selon les auteurs de l’étude, publiée dans Earth’s Future. D’autant que certaines parties de la ville s’affaissent beaucoup plus rapidement que d’autres. Et surtout, que New York est une cité côtière bâtie sur différentes îles, donc que son bâti est à une très faible altitude et qu’elle est surpeuplée. Ces populations – jusqu’à 8 millions de personnes – se retrouvent donc menacées par les eaux.

« L’objectif de cet article est de faire prendre conscience que chaque nouvelle tour d’habitation construite en bord de mer, de rivière ou de lac pourrait contribuer au risque d’inondation futur. »

Parsons et son équipe ont calculé la masse cumulée de plus d’un million de bâtiments de la ville de New York, soit 764.000.000 de tonnes de bâtiments, et ce sans compter les routes, trottoirs, ponts, voies ferrées qui accumulent aussi les tonnes. Tout cela pèse, à des degrés divers, sur les sols new-yorkais. Or ceux-ci sont de différentes natures, de la roche aux sédiments limoneux en passant par divers taux de sable dans leur composition. De quoi les faire réagir différemment aux contraintes qui pèsent sur eux.

Toujours selon l’étude de Parsons et de ses collègues, les sols riches en argile et les remblais artificiels sont particulièrement sujets à l’affaissement, tandis que le socle rocheux, qui sert d’ancrage à de nombreux gratte-ciel, ne bouge pas autant.

Un danger un peu partout, et pas de solution

Nous n’en sommes qu’à cerner le problème ; il est encore bien tôt pour imaginer des solutions à ce souci d’effondrement, qui se combine avec celui de la montée des eaux. De grandes digues ou des barrages rétractables, comme à Venise ou sur la Tamise, ne sont pas forcément envisageables partout.

Or, New York n’est pas la seule menacée : un quart de la capitale indonésienne, Jakarta, pourrait être sous l’eau d’ici 2050, certaines parties de la ville s’enfonçant de près de 11 centimètres par an en raison de l’extraction des eaux souterraines. De quoi menacer 30 millions de personnes, rappelle Science Alert.

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« Que soit perdu pour nous le jour où l’on n’aurait pas au moins une fois dansé »

Que soit perdu pour nous le jour où l’on n’aurait pas au moins une fois dansé.

Que soit appelée fausse pour nous toute vérité où il n’y aurait pas un éclat de rire !

Friedrich Nietzsche – Ainsi parlait Zarathoustra (1883)

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