Dans ce que Frontex qualifie d’ »entrées clandestines », le principal groupe de ressortissants est constitué par les Afghans (33 %), suivis par les Syriens (15 %) et les Turcs (10 %).

Le rapport de Frontex prévient également que les entrées illégales risquent d’augmenter encore l’année prochaine :

« Tout porte à croire que les entrées clandestines pourraient augmenter au cours de l’année prochaine, en raison de la pression migratoire accrue attendue aux frontières extérieures de l’UE en général », indique le rapport.

« Dans le même temps, l’augmentation du trafic de véhicules à certains points de passage frontaliers (sans parler des circonstances éventuellement modifiées lors du franchissement des points de passage terrestres pendant l’introduction du système d’entrée-sortie) accroît les chances des migrants clandestins de passer inaperçus, souvent dans des conditions inhumaines qui mettent leur vie en danger ».

Le rapport souligne également que les entrées illégales proviennent de pays (principalement l’Afghanistan et la Syrie) « où l’on peut s’attendre à certaines des plus fortes augmentations des mouvements vers l’Europe ».

Frontex a également déclaré qu’en plus de l’immigration clandestine, il y avait également une prolifération des réseaux de contrebande de drogue dans l’Union européenne, avec des saisies de drogue signalées en 2022 s’élevant à 1 898 cas et 252 tonnes de drogues illicites.

Depuis des années, les détracteurs de l’immigration de masse notent que la plupart des migrants illégaux qui arrivent en Europe sont des hommes en âge de se battre, ce qui contraste fortement avec la majorité des femmes qui sont venues d’Ukraine lorsque la guerre a éclaté.

En outre, la grande majorité de ces hommes sont des migrants économiques qui ne fuient pas la guerre ou la persécution.

L’année dernière, 69 % des vols avec violence et autres délits violents, y compris les agressions sexuelles, commis dans les transports publics en Île-de-France ont été perpétrés par des ressortissants étrangers, selon les chiffres annuels du SSMSI, le bureau des statistiques du ministère français de l’intérieur.

Toutefois, si l’on examine les données de plus près, on constate que les Africains sont responsables à eux seuls de 52 % de ces crimes, alors qu’ils ne représentent que 3,2 % de la population française.

Même pour l’ensemble de la France, les données montrent clairement que les ressortissants africains représentent 42 % des types de crimes susmentionnés, bien au-delà de leur poids statistique au sein de la population française.

En ce qui concerne les délits spécifiques aux transports publics, la situation n’a pas vraiment changé au fil des ans. La dernière fois que Remix News a publié ces données, en 2020, 69 % des agressions sexuelles étaient commises par des étrangers.

Globalement, en France, ces crimes sont également majoritairement (55 %) commis par des ressortissants étrangers, selon les données.

Dans une ventilation des statistiques de la ville de Paris, 38 % des vols avec violence et autres crimes violents ont été perpétrés par des ressortissants étrangers originaires de la région du Maghreb, qui comprend des pays d’Afrique du Nord tels que la Tunisie, l’Algérie et le Maroc, suivis par des Africains originaires de pays situés en dehors de la région du Maghreb. Au total, les étrangers ont commis environ 70 % des vols avec violence à Paris.

Par ailleurs, 8 % de ces crimes ont été commis par des ressortissants de l’UE non français et 6 % par des ressortissants européens non originaires de l’Union européenne.

La dernière fois que Remix News a publié des statistiques générales sur la criminalité en France, c’est-à-dire l’année dernière, le ministère de l’intérieur a annoncé que 48 % de tous les crimes commis à Paris étaient le fait d’étrangers.

Il convient de garder à l’esprit que les statistiques françaises ne ventilent pas les crimes en fonction de la race ou de l’appartenance ethnique, et qu’elles ne révèlent pas non plus les antécédents en matière d’immigration. Ainsi, un citoyen français dont les parents sont tous deux originaires d’Algérie sera comptabilisé comme un ressortissant français dans les statistiques criminelles. Au Danemark, ces informations sont disponibles et montrent que les migrants de deuxième génération ayant la nationalité danoise ont en fait des taux de criminalité plus élevés, notamment en matière de meurtres et d’agressions physiques.

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La maladie d’Alzheimer est aujourd’hui l’une des principales causes de décès aux États-Unis, selon les Centers for Disease Control and Prevention.

La maladie d’Alzheimer est une maladie cérébrale dégénérative et incurable qui touche principalement les personnes âgées.

Les premiers symptômes comprennent la perte de mémoire et les erreurs de jugement, mais à un stade plus avancé, ils peuvent évoluer vers des problèmes touchant un plus grand nombre de fonctions, telles que l’équilibre, la respiration et la digestion.

Comme l’explique Anna Fleck de Statista, alors que les maladies cardiaques, le cancer et Covid-19 ont fait de loin le plus grand nombre de victimes en 2021 (dernières données disponibles), la maladie d’Alzheimer s’est classée en septième position avec 119 399 décès cette année-là, soit 31 personnes pour 100 000 habitants.

Le nombre de personnes décédées de la maladie d’Alzheimer aux États-Unis a plus que doublé entre 2000 et 2019, selon le dernier rapport de l’Alzheimer’s Association.

Alors qu’une moyenne de 17,6 personnes sur 100 000 mourait de cette forme de démence au début du millénaire, ce chiffre est passé à 37 pour 100 000 personnes près de deux décennies plus tard.

Selon l’Association Alzheimer, cette évolution est probablement due au vieillissement de la population, l’âge étant le principal facteur de risque de la démence d’Alzheimer. Toutefois, l’association note que cela pourrait également refléter une augmentation du nombre de diagnostics formels de la maladie ou même du nombre de médecins qui déclarent la maladie d’Alzheimer comme cause de décès.

Les analystes de l’organisation caritative prévoient que d’ici 2025, le nombre de personnes âgées de plus de 65 ans atteintes de la maladie d’Alzheimer aux États-Unis pourrait atteindre 7,2 millions, et jusqu’à 13,8 millions d’ici 2060, s’il n’y a pas de percée médicale pendant cette période pour prévenir, ralentir ou guérir la maladie.

À cet égard, les sociétés pharmaceutiques ont mis au point un certain nombre de médicaments ciblant différents symptômes, de l’inflammation à la plasticité synaptique en passant par les voies de neuroprotection.

Selon AgingCare, les lésions neurologiques et la faiblesse musculaire peuvent conduire les patients à éprouver des difficultés à effectuer des mouvements simples, comme avaler de la nourriture sans aide. Il s’agit de la cause de décès la plus fréquente chez les patients atteints de la maladie d’Alzheimer, car elle peut entraîner l’inhalation d’aliments ou de liquides dans les poumons, ce qui peut conduire à une pneumonie, car il est alors plus difficile de lutter contre les infections bactériennes.

L’Association Alzheimer insiste sur l’importance de consulter un médecin lorsqu’une personne présente des symptômes de la maladie d’Alzheimer. En effet, un diagnostic précoce permet de traiter la maladie plus tôt, ce qui peut atténuer les symptômes pendant une période limitée et donner plus de temps pour planifier l’avenir.

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Le site d’informations de l’oligarque russe Konstantin Malofeev se réjouit du retour du groupe paramilitaire Wagner sur le théâtre des opérations en Ukraine dans un récent article dithyrambique sur les hommes et les actions du groupe récemment décapité par la mort de son chef et co-fondateur, Evguéni Prigojine, et de son bras droit Dimitri Outkine. Le leader d’une mutinerie qui s’était achevée par un accord avec Moscou ayant opportunément disparu – opportunément pour Poutine, évidemment – la puissance de feu et de combat de la formation de mercenaires n’est pas en passe d’être abandonnée par la Russie, qui a de toutes façons financé et fourni en armes ce groupe qui a servi et semble devoir continuer de servir ses intérêts.

Tsargrad assure ainsi que « les sections d’assaut du PMC Wagner reviennent dans la zone de la Région militaire Nord ». « Diverses sources rapportent que les combattants légendaires sont déjà arrivés sur la rive gauche de la région de Kherson sous les auspices de la Garde russe, qui sera bientôt autorisée à disposer de ses propres formations de volontaires », affirme le média.

Tsargrad.tv estime que Wagner ne doit pas tomber dans l’oubli

« Le public patriote » avait été ébranlé par ces disparitions, selon Tsargrad : ceux qui « ne sont pas indifférents au sort de la patrie » ne pouvaient « accepter le fait que l’unité légendaire, dont le nom même faisait trembler les russophobes du monde entier, qui avait capturé des villes en Syrie et dans la zone du district militaire du Nord, puisse tomber dans l’oubli, surtout maintenant, alors que des combats acharnés se déroulent sur tous les fronts de l’Ukraine et que la Russie a désespérément besoin de ces gaillards cosaques du 21e siècle ».

L’article poursuit : « Et puis sont arrivées des nouvelles encourageantes. Plusieurs sources confirment que des groupes du PMC Wagner sont actuellement arrivés dans la zone de combat de la région de Kherson. Les troupes d’assaut de la formation sont réparties entre les secteurs. Les détails sont encore inconnus, les informations étant classées comme “Secrètes” selon le correspondant militaire Yuri Kotenok sur sa chaîne Telegram, qui ajoute que la Patrie a plus que jamais besoin des combattants du “groupe musical” » – référence au fait que les soldats de Wagner sont volontiers appelés « les musiciens ».

Tsargrad rapporte que leur retour sur la ligne de front s’est produit à l’initiative du chef d’état-major général des forces armées russes Valery Gerasimov : sans cela, « il y aurait un risque de perdre une partie importante des territoires et d’être confronté à des problèmes le long du front, comme le fait de devoir mobiliser d’urgence jusqu’à un demi-million de personnes, puisqu’une réserve vitale était nécessaire pour les zones frontalières ».

Le retour de Wagner à Kherson avec la bénédiction de la Russie

Kotenok « affirme que les wagnériens recevront des fournitures et des garanties sociales en tant que combattants de la Garde russe, raison pour laquelle on a tant parlé du transfert des PMC sous le contrôle de Zolotov », ajoute Tsargrad. Le tout à la suite d’accords verbaux, puisque Wagner « ne signera aucun contrat ».

Pendant ce temps le député à la Douma d’Etat Alexandre Khinstein – membre influent du parti de Poutine, Russie unie, a déclaré qu’avec un groupe de députés, il avait soumis au Parlement un ensemble de projets de loi autorisant la Garde russe à disposer de ses propres formations de volontaires, à l’instar du ministère de la Défense. Elle aurait déjà reçu des demandes individuelles de multiples combattants de Wagner.

Le retour du groupe en tant que tel semble désormais acté. Et Tsargrad commente : « Lorsque les Ukrainiens entendent le mot “Wagner”, c’est le début de la panique ».

Mais face à la volonté des troupes ukrainiennes d’établir des points de passage à Kherson évoquée par un colonel interrogé par Tsargrad, la décision de déployer Wagner est elle-même symptomatique d’une certaine panique russe du fait de l’incapacité (réelle ou de façade) de l’armée régulière à tenir le fort.

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« Où le temps a cessé tout n’est-il pas présent ? »

Toi qui fis la mémoire, est-ce pour qu’on oublie ?…
Non, c’est pour rendre au temps à la fin tous ses jours,
Pour faire confluer, là-bas, en un seul cours,
Le passé, l’avenir, ces deux moitiés de vie
Dont l’une dit jamais et l’autre dit toujours.
Ce passé, doux Éden dont notre âme est sortie,
De notre éternité ne fait-il pas partie ?
Où le temps a cessé tout n’est-il pas présent ?
Dans l’immuable sein qui contiendra nos âmes
Ne rejoindrons-nous pas tout ce que nous aimâmes
Au foyer qui n’a plus d’absent ?

Alphonse de Lamartine – La Vigne et la Maison (1857)

EN BANDE SON :