Eric Zemmour – L’Euro ou la démocratie
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Souverainiste Européen : antimondialiste raisonnable, antiislamiste raisonné, anticapitaliste financier mais pas trop et antisocialiste fabien mais pas assez….Libertarien par Idéal mais Etatiste par pragmatisme ! Cours Forrest cours !
"Nous vivons une époque nietzschéenne marqué du sceau de la volonté de puissance dans un monde qui ne veut croire qu’au messianisme religieux et marxiste !"
"Le Présent éclaire notre Passé pour mieux construire notre Futur !"
"Le sexe, la drogue et le rock and roll sont au jeune fou ce que les textes, le grog et les patates chaudes sont au vieux Sage"
" Mieux vaut une fin terrifiante qu’une terreur sans fin "
"Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort… Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche"
"Ce qui ne peut perdurer finira forcément par cesser"
"Celui qui a péché par la Dette doit périr dans la Dèche"
« L’Ultraliberalisme et le Néokeynésianisme sont les deux faces d’une même pièce : Une sorte d’immense farce tragico-comique »

Eric Zemmour – L’Euro ou la démocratie
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Catégories :Art de la guerre monétaire et économique, Changes et Devises, Commentaire de Marché, Europe
Tagué:Eric Zemmour
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On ne peut meux dire !
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Décevant, car un peu schématique sur l’ « immoralité » du « peuple grec » pris comme un tout homogène . Ceux qui souffrent en Grèce ne sont pas ceux qui ont triché avec les comptes ou ont fraudé le fisc. Ce sont ceux qui n’ont jamais eu les moyens de le faire. Ceux qui en Grèce imposent le maintien dans l’euro sont ceux qui y ont intérêt notamment parce qu’ils ont un patrimoine, un carrière européenne, etc. Papandreou, très grand bourgeois hélleno-américain formé dans les meilleures universités des deux côtés de l’Atlantique, tout socialiste qu’il soit, en est une illustration parfaite. En Grèce la politique est une affaire de grandes familles. A force d’être obsédé par la nation, Eric en oublie son petit Marx illustré. On l’a connu plus affuté.
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Attends, attends, ça me rappelle ???
Ouais, j’y suis, c’était le truc des brigands …. d’antan :
LA BOURSE OU LA VIE ?
Mais là, AU MOINS, on avait UN CHOIX ! A.C
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