
En savoir plus sur Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances
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Souverainiste Européen : antimondialiste raisonnable, antiislamiste raisonné, anticapitaliste financier mais pas trop et antisocialiste fabien mais pas assez….Libertarien par Idéal mais Etatiste par pragmatisme ! Cours Forrest cours !
"Nous vivons une époque nietzschéenne marqué du sceau de la volonté de puissance dans un monde qui ne veut croire qu’au messianisme religieux et marxiste !"
"Le Présent éclaire notre Passé pour mieux construire notre Futur !"
"Le sexe, la drogue et le rock and roll sont au jeune fou ce que les textes, le grog et les patates chaudes sont au vieux Sage"
" Mieux vaut une fin terrifiante qu’une terreur sans fin "
"Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort… Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche"
"Ce qui ne peut perdurer finira forcément par cesser"
"Celui qui a péché par la Dette doit périr dans la Dèche"
« L’Ultraliberalisme et le Néokeynésianisme sont les deux faces d’une même pièce : Une sorte d’immense farce tragico-comique »


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ces bonus decoulent d’un détournement des lois qui régissent l’action de la FED.et d’abus de bien sociaux.bref ,comme dirait delamarche,c’est du pénal et du lourd
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http://criseusa.blog.lemonde.fr/2011/12/26/wall-street-opulence-et-misere-sous-accumulation-du-capital-iii/
L’exemple du capital financier indique que les entreprises du secteur financier ne sont pas riches, c’est qu’indique leur contrainte d’investissement dans les années 80-90. En revanche, les détenteurs directs et indirects des entreprises de ce secteur, ce sont fortement enrichis. Ils ont littéralement sucé le sang du secteur financier pour accumuler leur butin sous forme de patrimoine mobilier et immobilier. Ce secteur lui-même ne paraît plus intéressé par l’investissement productif dans les années 2000. Le surplus des profits finaux de ces années est ainsi se placer dans des investissements boursiers. La patrimonialisation financière du capital des entreprises du secteur financier épousent donc le cour plus général de l’existence du capital à l’âge de la globalisation financière.
A ce jeu, le secteur financier n’a pas perdu, mais il n’a pas non plus gagné. Ce secteur est comme le reste de l’économie américaine. Il souffre d’un investissement trop faible témoignant de la subversion des logiques productives par les illusions patrimoniales dont nous avons surtout mesuré les effets dévastateurs sur les sociétés anonymes et à un moindre titre les entreprises du Corporate Business.
Nous voulions faire le tour des raisons de la chute de l’investissement productif aux USA. Ce papier en marque le point final. Le capitalisme déconcertant montre à nouveau son visage. Derrière la puissance de Wall Street se dissimule un système productif sous financé ; là comme ailleurs, Wall Street n’a que les apparences de la puissance, en fait, elle tire sa puissance que de la matière première qu’elle travaille : l’argent. Et cet argent n’est pas sa propriété. Quant bien même le système financier fait de la création monétaire systémique, il n’en tire pas les plus grands profits. Ce sont à nouveau les détenteurs de capital qui tire leur épingle du jeu. Il nous faut donc nous tourner vers les détenteurs de patrimoine financier – gros et petit – pour examiner les rivalités patrimoniales qui ont fait basculer les USA dans la crise.
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