Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie
« Lors de la publication de ses derniers résultats trimestriels, la banque américaine Morgan Stanley a annoncé avoir « modifié son modèle de VaR pour qu’il soit plus réceptif aux récentes conditions de marchés » (L’Agefi)… Que cache cette formulation alambiquée ?
Un mot sur la VaR d’abord, acronyme de Value at Risk, que l’on peut traduire comme « valeur sous risque ». Cette formule a pour fonction de mesurer le risque de marché d’un portefeuille d’instruments financiers. Pour évaluer son risque en temps réel, la banque rentre dans ce modèle l’ensemble des actifs financiers qu’elle détient dans son bilan, leurs montants comme leurs caractéristiques, et obtient en sortie un risque de perte maximale. Cela lui permet de contrôler son niveau de risque, et donc de savoir quel montant de liquidité garder en réserve.
L’idée est séduisante sur le papier, au point que le comité de Bâle l’a adopté…
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