Droit, propriété, propriété intellectuelle

QATAR : Au royaume de l’esclavage moderne

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Domestique, ouvrier qualifié ou homme d’affaires : il n’est pas facile d’être un immigré au Qatar où les conditions de travail sont souvent inhumaines.
Un ouvrier du batîment travaille sur un site de Doha, capitale du Qatar, le 1er octobre 2007 - AFPUn ouvrier du batîment travaille sur un site de Doha, capitale du Qatar, le 1er octobre 2007 – AFP

En 2012, Theresa M. Dantes a signé un contrat avec une agence de recrutement des Philippines pour venir travailler au Qatar comme domestique. Elle devait être logée, nourrie et payée 400 dollars [305 euros] par mois. Pourtant, lorsqu’elle est arrivée, son employeur l’a informée qu’il ne lui verserait que 250 dollars [190 euros]. Elle a accepté car sa famille, restée à Quezon City, comptait sur ce salaire.

Cependant, la jeune femme n’était pas au bout de ses surprises. Theresa Dantes, 29 ans, affirme qu’elle ne prenait qu’un repas par jour, composé des restes du déjeuner familial. « S’il ne restait rien, alors je ne mangeais pas. » Elle travaillait…

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