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Tranche de vie : Immobilier, les prêts les plus courts sont parfois les meilleurs Par Le LUPUS

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Tranche de vie : Immobilier, les prêts les plus courts sont parfois les meilleurs

1-Présupposé : Dans un système capitaliste le plus dur c’est de se constituer un capital.

2-Supposé : Qu’est-ce qu’est rémunéré dans un système capitaliste : la prise de risque.

3-Par voie de conséquence pour se constituer un capital et acheter sa liberté plusieurs choix s’offrent à Moi :

Hypothèse d’Enfer : Si je choisi la quatrième solution, parce que la plus pépère et la plus ordinaire, voici ma feuille de route :

D’abord Il me faut rester locataire là où je suis et choisir d’acheter un bien très bien placé que je vais mettre en location. La rentabilité de ce bien locatif se faisant non pas par la location qui couvrira à peine mes charges mais par la revalorisation du bien susnommé d’année en année parce que très bien placé et à la vue imprenable sur les arrières cuisines d’un très grand restaurant.

Ensuite 25 ou 30 ans plus tard si j’ai survécu aux « emmerdes » avec les locataires impécunieux et aux périodes de chômage réjouissance de mon employeur, aux nombreux divorces pas à l’amiable et aux caprices de mes enfants qui me réclament davantage de pain alors qu’ils mangent déjà de la brioche, donc si j’ai survécu disais-je, je dispose alors d’un capital immobilier qui devrait me permettre d’aller mourir tranquillement, selon mes rêves les plus fous, dans un petit « appart » qui sera prolongé? si tout va bien? sur mes vieux jours  par « l’EHPAD » cimetière  des Éléphants du coin.

Sur le plan de ma quête immobilière cela se traduit il comment ?

-Je quitte la campagne pour la petite ville

-Je quitte une maison pour un appartement que j’adapte à mes possibles futurs et nombreux handicaps

-Je réduis mon train de vie compte tenu de la faiblesse de ma retraite qui fait que j’ai une diminution de revenu couplé à une  augmentation des coûts de certains postes de charges fixes.

Après cela et avec ce qui reste de ma vaillante énergie et de mon capital immobilier un saint Graal durement acquis et chèrement payé, et en l’absence de dégénérescence neurologique actée et constatée, je prends bien soin de dispatcher et disrupter le pognon chic entre mes héritiers, et cela de mon vivant,  de manière à ce que ces derniers ne se bouffent pas la tête à ma mort en me maudissant pour l’éternité. Superstition oblige ! Car cela n’aide pas vraiment un mort vivant que d’être maudit, cela ne lui facilite guère la vie pour accéder au paradis !   Parce que que cela vous surprenne ou pas j’y tiens vraiment à mon petit bout de paradis, c’est même dailleurs la seule chose à laquelle je m’accroche envers et contre tout  car ainsi va le cycle de la vie lunaire d’un propriétaire terrien  !

LE LUPUS

EN BANDE SON :

You gotta live
You gotta love
You gotta be somebody
You gotta shove
But it’s so hard, it’s really hard Sometimes I feel like going down
You gotta eat
You gotta drink
You gotta feel something
You gotta worry
But it’s so hard, it’s really hard
Sometimes I feel like going down
But when it’s good
It’s really good
And when I hold you in my arms baby
Sometimes I
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