Tribune : 90% des positifs ne sont pas malades

Dans un test PCR il y a un facteur très important qui n’est pas mentionné dans les résultats, c’est le CT (Threshold Cycle). Il s’agit du coefficient d’amplification de l’ADN , du nombre de cycles d’amplification.

Le test ne détecte pas des virus entiers en état de marche, mais des morceaux de ce virus actifs ou non. Donc il peut détecter des petits morceaux de virus d’une infection qui date de plusieurs semaines, voir plus.

Dans les prélèvements il y a très très peu de morceaux d’ARN viral, donc ils ne peuvent pas être détectés tel quel. Il faut augmenter le nombre de morceaux de manière très importante pour pouvoir les détecter.

On transforme cet ARN viral en ADN puis on met un produit qui fait que tous les ADN du prélèvement sont dupliqués de nombreuses fois. On répète plusieurs fois cette opération.

Plus on la répète, plus on amplifie leur nombre, plus le CT est grand, plus on risque d’avoir des faux positifs.

Moins on la répète, moins on a de faux positifs, mais plus on peut avoir des faux négatifs.

Suivant les appareils et les laboratoires on peut aller à des valeurs de CT plus ou moins grandes de 20 à 45 !

CT = de 20 à 30 => charge virale importante,  peu de faux positif, si positif on est certain qu’il y a bien infection à un des 5 coronavirus qui circulent. Mais risque de faux négatifs.
CT = 35 => compromis utilisé par l’IHU, mais des faux positifs.
CT = 40 ou plus => 90% de FAUX positifs = pas de virus COVID, les 10% restant ont une charge virale extrêmement faible, on n’est PAS contagieux (mais il n’y a pas de faux négatifs).

Les recommandations des scientifiques sont un CT comprit entre 20 et 30.  Dans la pratique des laboratoires d’analyses le plus souvent CT à 40 ou plus!

Si votre test est positif, exigez de connaitre à quel CT  et de refaire un autre test le lendemain pour confirmer.

Ces tests PCR avec CT limité à 25 auraient été très utiles en Février ou Mars 2020 pour isoler les vrais positifs avec une charge virale importante et traitement hydroxychloroquine + azithromycine + zinc (HCQ+AZT+Zinc).

Donc sur le plan médical depuis début juin les PCR n’ont plus aucun intérêt SAUF si on restreint le CT à 30 au maximum, ils sont valables uniquement dans ce cas.

Docteur Peter EL BAZE est  Ex Médecin Attaché des Hôpitaux du CHU de Nice, Ancien Chef du Service de Médecine Interne A1, Les Sources à  Nice & Créateur des logiciels médicaux Megabaze et Oncobaze (chimiothérapies)

Port du masque et risque pour le système immunitaire : les scientifiques allemands montent au front.


Le port du masque a un impact néfaste sur le système immunitaire, c’est maintenant un fait.

Une équipe de chercheurs de l’université d’Humboldt dirigée par le Dr Nicolas Kippenberger ont mis en évidence dans une étude nommée « großartiges Studium der Masken » et publiée dans la célèbre revue PLoS Médecine, que la capacité immunitaire de la population de Munich avait diminuée de 2,4% en seulement 3 mois.Cette étude réalisée sur un panel important, soit 9450 individus de 14 à 85 ans démontre de manière significative le risque du masque chirurgical ou tissu, si celui-ci devait être adopté sur moyen à long terme.

Des lanceurs d’alerte et de l’intuition

Alors que la question faisait déjà débat en France et dans toute l’Europe mi-Mai suite à la sortie de confinement, de nombreux signaux ont mis en évidence un certain nombre d’incohérences et de problématiques médicales : maux de tête, difficultés respiratoires, malaises. « La science est lente » précise le Dr Kippenberger, directeur de thèse et chef de l’étude « großartiges Studium der Masken. […] Il est parfois nécessaire de prendre des mesures basées sur notre intuition ». Le conseil scientifique européen a confirmé avoir étudié scrupuleusement le contenu de ces recherches dans une interview accordée à The Sciencer, mais rien ne laisse pour le moment présupposer que les pays prendront les mesures en adéquation avec ces résultats.

Appel à la prudence de l’OMS

De son côté l’OMS a affirmé sur un poste twitter le 08/09/2020 tenir compte de ces recherches, mais appelle à la prudence quant aux résultats et à leurs réplications. L’organisation mondiale de la santé a par ailleurs affirmé avoir alloué un budget de 680 000$ afin de financer une étude internationale sur le port du masque. Et même si cette somme apparaît dans les finances publiques de l’organisation, il semblerait que les recherches n’aient même pas encore commencé. https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/covid-19-flash-appeal—25-may-2020v5.pdf?sfvrsn=2110b635_1&download=true

Lien de l’étude : https://www.thieme-connect.com/products/ejournals/abstract/10.1055/a-1209-3758