La France recense 52 000 cas de corona en un jour – après l’arrêt total de tout
PAR JADE · 27 OCTOBRE 2020
Quelle est la différence entre 52 000 et 52 000 000 ?
Ne pouvons-nous pas simplement accepter que tout le monde va attraper ce virus ? Nous savons déjà que si on laisse tout le monde l’attraper, il ne se passe pas grand-chose, et les chiffres diminuent ensuite. La Suède fait maintenant partie des pays où le taux d’infection est le plus faible. C’est peut-être le seul pays à avoir le plus faible taux d’infection. Ils y sont arrivés en ne faisant rien du tout.
En France, tout est complètement fermé de partout.
Regardez le nombre de morts et de cas respectivement pour la Suède :
Un couvre feu est appliqué qui va surement avoir lieu à 19h très bientôt :
Video footage shows deserted Paris streets under a strict new 9pm curfew imposed to combat a surge in coronavirus cases. Curfews are being introduced across multiple European countries in an attempt to stop the spread of the virus. pic.twitter.com/MGGYUbKXGX
— CBS News (@CBSNews) October 26, 2020
Des policiers appliquent la loi en vigueur à des gens qui sont tranquillement posés dans des bars :
PARIS – Intervention de la BRAVM pour évacuer une terrasse pour « non respect des distanciations sociales »
— Clément Lanot (@ClementLanot) October 24, 2020
Les clients partent sans avoir pu payer.
(en marge d’une manifestation anti couvre-feu) #COVID19 pic.twitter.com/Ao5H577XBn
Cela n’a pas stoppé le virus.
Quel est le plan ici, l’Europe ? Vous suivez les conseils d’Anthony Fauci ?
Via DW :
La France a enregistré 52 010 nouvelles infections à coronavirus au cours des dernières 24 heures, ont déclaré les autorités sanitaires dimanche soir. Environ 17% des personnes qui ont été testées lors des tests de masse dimanche ont été trouvées atteintes du virus, ont montré les données de dimanche.
Le nombre de cas augmente de façon spectaculaire depuis des semaines, plusieurs cas ayant été annoncés au cours des sept derniers jours seulement.
La France, comme une grande partie de l’Europe, a mis en place un vaste programme de dépistage, qui touche plus de personnes que lorsque le virus s’est manifesté pour la première fois. Cependant, le Centre européen de contrôle et de prévention des maladies déclare que l’augmentation des tests “n’est pas la seule raison de l’augmentation des cas de COVID-19”, citant l’assouplissement des mesures préventives.
En réponse à cette augmentation, le gouvernement français a introduit de nouvelles restrictions pour les deux tiers du pays à partir de samedi. Selon les nouvelles règles, les gens ne peuvent sortir le soir que s’ils ont de bonnes raisons de le faire. Le règlement s’applique dans 54 régions administratives françaises et dans la collectivité d’outre-mer, la Polynésie française dans le Pacifique Sud.
De nouvelles restrictions.
Encore plus de restrictions.
La France continue de tout stopper pour toujours avec zéro plan de secours.
Ils ne l’ont pas fait pour le choléra, qui est une véritable maladie qui tue réellement des gens.
Les gens ne demandaient pas la preuve qu’une épidémie était en cours lorsque le choléra a frappé Paris dans les années 1830. Mais personne n’a jamais pensé à enfermer tout le monde dans sa maison.
Le reste de l’Europe fait la même chose.
En Allemagne, le président Frank-Walter Steinmeier, a juré que le virus “ne détruira pas notre avenir”, tout en reconnaissant que la lutte contre le COVID-19 exigeait pour l’instant toute l’attention de la société. Il a tenu ces propos dans un discours prononcé lors de la cérémonie de remise du prix allemand de l’environnement.
Les gens ne devraient pas oublier “les autres grands défis de l’humanité”, tels que la protection des ressources et de l’environnement, a-t-il déclaré. Le changement climatique, a souligné M. Steinmeier, ne fait pas de pause pendant la pandémie.
En Espagne, le Premier ministre Pedro Sanchez a déclaré le deuxième état d’urgence du pays, imposant un couvre-feu dans toutes les régions, à l’exception des îles Canaries. Le couvre-feu dure de 22 heures à 5 heures du matin, heure locale, les dirigeants régionaux étant autorisés à varier les heures, à condition que les mesures soient plus strictes. Ils seront également autorisés à fermer les frontières régionales, et les rassemblements publics seront limités à six personnes issues de ménages distincts.
Les pays du continent continuent de faire état de chiffres records d’infection quotidienne.
Il est évident qu’avec ce régime de tests de masse et le fait que le virus est apparemment très contagieux, voire dangereux, ils vont continuer à enregistrer des nombres “records” d’infections jusqu’en janvier, date à laquelle la saison de la grippe atteint son apogée.
Et cela se produira l’année prochaine, et l’année suivante, et l’année d’après.
Nous devons simplement reconnaître les coûts irrécupérables et arrêter cela.
La Suède va bien. Ils vont bien. Leur solution à la prétendue crise a été de ne rien faire et de laisser les gens vivre leur vie normalement et ils vont bien. Il ne s’est rien passé.
Qu’est-ce que le citoyen lambda pense de tout ce “plan” ?
Rappel : Rien ne prouve jusqu’à présent qu’un vaccin soit même possible. S’il est possible, certains affirment même qu’il pourrait faciliter les infections au VIH et autres maladies.
Quel est donc le plan ici !?
Continuer jusqu’à ce que tout soit détruit, je suppose.
Les gens vont être choqués lorsqu’il n’y aura plus rien à détruire, puis tout d’un coup, le confinement ne sera plus important.
Le but est évidemment la destruction du pays de fond en comble.
Si l’objectif était autre chose, nous parlerions de la Suède. Les médias ne disent rien sur la Suède. Nous parlerions au moins du fait qu’il s’agit d’un pays qui s’est débarrassé du virus en ne faisant rien.
Au lieu de cela, la Suède ne fait jamais les gros titres. Dans le futur les médias vous diront que la Suède a été “légèrement touchée”, vous pouvez parier là dessus. Faites confiance à vos médias et à vos dirigeants. La vie des gens est en jeu.
Des chercheurs avertissent que certains vaccins contre le Covid-19 pourraient augmenter le risque d’infection par le VIH
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Certains des vaccins contre le Covid-19 actuellement en cours de développement pourraient augmenter le risque de contracter le VIH, a averti un groupe de chercheurs dans la revue médicale The Lancet lundi, ce qui pourrait entraîner une augmentation des infections à mesure que les vaccins sont déployés auprès des populations vulnérables dans le monde.
- Les chercheurs mettent en garde contre un “récit édifiant” issu des efforts de création d’un vaccin contre le VIH il y a plus de dix ans, où un candidat vaccin prometteur a en fait augmenté le risque que certains hommes attrapent le virus.
- Le vaccin utilisait un virus modifié – appelé adénovirus 5 (Ad5) – comme vecteur pour transporter une partie du matériel génétique du VIH dans l’organisme.
- On ne sait pas exactement comment le vaccin a augmenté les risques de transmission du VIH, mais une conférence organisée par les National Institutes of Health a recommandé de ne plus utiliser l’Ad5 comme vecteur dans les vaccins contre le VIH (le Dr Anthony Fauci était l’auteur principal du document exposant cette position).
- L’Ad5 est utilisé comme vecteur dans certains vaccins contre le Covid-19 – Science identifie quatre candidats de ce type qui font actuellement l’objet d’essais cliniques dans divers pays du monde, y compris aux États-Unis, et deux sont en cours d’essais de phase 3 à grande échelle en Russie et au Pakistan.
- Les chercheurs ont souligné la nécessité de comprendre le rôle que l’Ad5 pourrait jouer dans l’augmentation des risques de VIH dans les populations vulnérables avant de développer et de déployer des vaccins utilisant ce vecteur, ajoutant que les documents de consentement éclairé devraient refléter la “littérature considérable” sur le risque d’acquisition du VIH avec les vecteurs Ad5.
CONTEXTE CLÉ
De nombreux vaccins utilisent des virus modifiés pour transporter des matières dans le corps humain. Beaucoup utilisent pour cela un adénovirus modifié, un virus qui est généralement inoffensif, à l’exception de sa capacité à provoquer le rhume. Certains des principaux candidats pour un vaccin contre le Covid-19, notamment ceux de Johnson & Johnson et d’AstraZeneca, utilisent des adénovirus comme vecteurs. Rien ne prouve que ces vecteurs augmentent le risque d’infection par le VIH.CITATION CRUCIALE
Les auteurs ont déclaré qu’ils ont rendu public le fait que les vaccins Ad5 contre le Covid-19 pourraient bientôt être testés dans des populations à forte prévalence de VIH. Lawrence Corey, l’un des auteurs qui codirige aujourd’hui le réseau de prévention du Covid-19 aux États-Unis qui teste les vaccins pour le compte du NIH, a déclaré à Science que s’il se trouvait dans un pays d’Afrique subsaharienne, où la prévalence du VIH est élevée, “je ne vois pas pourquoi je choisirais un vecteur Ad5 (vaccin) alors qu’il existe de nombreuses autres possibilités”.Traduction de Forbes par Aube Digitale
Explosion des décès par opioïdes suite au confinement du coronavirus
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Les décès dus aux opioïdes sont en augmentation dans tous les Etats-Unis, alors que les Etats restent confinés pour lutter contre le coronavirus, ont rapporté ce mois-ci les responsables de la santé des Etats et des comtés.
Bien que les données nationales ne soient pas disponibles pour la majeure partie de l’année 2020, plusieurs États individuels signalent une augmentation des décès par surdose d’opioïdes dans le cadre de la pandémie de coronavirus.
Les responsables de la santé et les experts ont cité l’isolement accru et les pertes d’emploi dues aux fermetures d’usines dans tout l’État comme facteurs possibles de l’augmentation des décès liés aux médicaments.
“La pandémie a vraiment augmenté les facteurs de risque de troubles liés à la toxicomanie”, a déclaré Rebecca Shultz, directrice de la santé communautaire au département de la santé du comté d’Onondaga, à Syracuse.com.
Les décès liés aux opioïdes dans le comté d’Onondaga (N.Y.) ont grimpé à 86 au cours des six premiers mois de 2020, selon le département de la santé du comté. Ce nombre était presque le double des 44 décès signalés au cours du premier semestre 2019, a indiqué le service, citant le bureau du médecin légiste du comté.
L’Oregon a connu une augmentation de 70 % des décès par surdose d’opiacés en avril et mai 2020 par rapport à la même période l’année dernière, selon l’autorité sanitaire de l’Oregon.
Bien que le ministère ait qualifié cette hausse de “pic alarmant”, il a également déclaré qu’il était “prématuré de dire quelle part de la hausse des décès par overdose est attribuable à la pandémie de COVID-19”.
“Cependant, le fait de réaliser que nous allons devoir faire face à COVID-19 pendant un certain temps, et à d’autres facteurs de stress liés à l’emploi, à l’école et à l’isolement social, peut augmenter les sentiments d’anxiété et de dépression, et cela peut conduire à un niveau nocif de consommation d’alcool ou d’autres drogues”, a déclaré Tom Jeanne, officier de santé adjoint de l’État et épidémiologiste adjoint de l’État.
Traduction de Fox News par Aube Digitale
