Auteurs : Christine Datnowsky & Jef Lupieri

Date de publication : 28 novembre 2021 leblogalupus.com+2amazon.fr+2leblogalupus.com+2

Éditeur : Indépendant (auto‑édition)

Format : Broché, ~504 pages amazon.fr

🔥 AU VITRIOL (2021–2025)

« Il y a des livres qu’on lit, d’autres qu’on traverse. AU VITRIOL est un sabre. Une morsure. Un éclat d’étoile tombé sur l’asphalte noir de nos consciences engourdies. »

Entre 2021 et 2025, AU VITRIOL n’a cessé de muter, comme une entité vivante, un serpent de feu.
Publié en 2021, il n’était qu’un cri primitif. En 2025, il devient rite, temple, matrice d’éclatement intérieur.

C’est une invitation baroque à déchirer les peaux mortes.
Une autopsie en direct de nos illusions.
Une danse tantrique sur le fil du rasoir.
Une confession cannibale, un sabbat silencieux où l’on se dépouille pour renaître incandescent.

2025 marque l’achèvement d’une mue :

• La descente n’est plus un simple effondrement, c’est une offrande.
• La fusion n’est plus un caprice érotique, c’est un accouchement cosmique.
• La renaissance n’est plus une promesse New Age, c’est une scission sanglante et joyeuse.

« Ce livre n’est pas une fiction. Il est une balafre sur la joue du réel. »

Christine Datnowsky et Jef Lupieri ne proposent pas un livre, mais un acte magique, un pacte alchimique pour transmuter le plomb de nos peurs en or lumineux.

🌑 2021–2025 : L’onde et l’écho

Ces quatre années ne sont pas un prolongement, mais une respiration prolongée.
Une ligne de faille ouverte pour ceux qui osent tout perdre — et tout trouver.

Monologue — L’appel du VITRIOL

(Silence lourd. Une lumière rasante. La voix jaillit, rauque et douce à la fois.)

Il n’y a pas de page.
Il n’y a pas de livre.
Il y a la peau. La tienne. La mienne.
Il y a cette cicatrice que tu refuses de regarder, ce grondement sous la cage thoracique, ce cri noyé dans le formol des sourires.

Je t’invite.
Non, je t’arrache.
Descends. Descends là où la terre tremble, là où les os chantent et où la moelle s’ouvre en lotus noir.
Descends, ami lecteur, ami combattant, ami perdu — car tout doit se perdre avant de se trouver.

2021, le premier coup de scalpel.
2025, la suture en or liquide.
Quatre années comme quatre saisons d’une apocalypse intime.
La descente, l’ombre, le désert, la fusion, la mort symbolique, la renaissance, la réintégration.
Un chapelet d’éclairs. Une suite d’orgasmes cosmiques. Un sabbat intérieur.

« Visita Interiora Terrae Rectificando Invenies Occultum Lapidem. »
Visite l’intérieur de la terre et, en purifiant, tu trouveras la pierre cachée.

Mais la pierre n’est pas une récompense.
C’est un couteau.
Un miroir.
Un éclat d’abîme dans lequel tu disparais, pour renaître en loup solaire, en tigresse lunaire, en enfant du chaos.

Oublie les thérapies tièdes, les recettes de bonheur prémâchées, les slogans pastel.
Ici, on brûle.
Ici, on danse nu sous la pluie acide du réel.
Ici, on saigne en riant.

AU VITRIOL, ce n’est pas un livre à lire.
C’est une offrande à avaler. Une morsure à embrasser. Une corde pour t’étrangler et renaître en cri d’étoile.

Viens.
Ou fuis.
Mais sache qu’une fois la première ligne franchie, plus rien ne sera jamais comme avant.

(Silence. Une expiration profonde. Lumière s’éteint.)

INTO THE MAELSTROM : en bande son !!!!