Behaviorisme et Finance Comportementale

Ghislaine Maxwell et Jeffrey Epstein : Les Diaboliques !

Dans l’imaginaire collectif, ils forment un couple maudit, un duo toxique digne d’un thriller noir : Jeffrey Epstein, le financier charismatique et manipulateur, et Ghislaine Maxwell, héritière mondaine et maîtresse des réseaux sociaux élitistes.

Leur histoire commune dépasse le simple scandale sexuel : elle révèle les coulisses sombres du pouvoir globalisé, une mécanique implacable d’influence, d’intimidation et de corruption. Ensemble, ils ont incarné une alliance diabolique digne des grands films noirs — un Bonnie & Clyde pervers de l’élite.

1967: Actors Faye Dunaway and Warren Beatty perform in scene from movie « Bonnie and Clyde » directed by Arthur Penn. Movie won two Academy Awarads. (Photo by Michael Ochs Archives/Getty Images)

Ghislaine : la « recruteuse » masquée

Fille du magnat de la presse Robert Maxwell, Ghislaine a grandi dans un monde de privilèges et d’intrigues. Après la mort mystérieuse de son père, elle trouve en Epstein un protecteur et un nouveau rôle :

  • Maîtresse de maison dans ses multiples propriétés.
  • Architecte du réseau de jeunes filles manipulées.
  • Passeuse d’élite, reliant milliardaires, politiciens, scientifiques et aristocrates.

Elle devient la « madame » indispensable, souriante, cultivée, parfaitement intégrée à tous les cercles VIP.


Epstein : le marionnettiste

Epstein, quant à lui, joue le rôle du marionnettiste :

  • Il promet argent, ascension sociale ou simples illusions.
  • Il tisse un piège où chaque invité devient à la fois complice et prisonnier.
  • Il alimente sa légende d’énigme financière, masquant un empire bâti sur le renvoi d’ascenseur et sur le chantage.

Un réseau toxique

Maxwell et Epstein n’agissaient pas seuls. Leur force venait d’un réseau :

  • Avocats puissants, banquiers, académiciens.
  • Princes, ex-présidents, magnats des médias.
  • Des silhouettes prêtes à payer, protéger ou détourner le regard.

C’est un système d’emprise parfaitement huilé, où chaque invité risquait d’être aspiré dans le vortex du chantage et du silence.


Le mythe des « Diaboliques »

Leur duo évoque le film Les Diaboliques (1955) de Clouzot, où deux conspirateurs orchestrent un crime pervers et psychologique.

  • Ici, pas d’école française perdue, mais des îles privées.
  • Pas de piscine trouble, mais des jets privés et des dîners à Manhattan.
  • Pas de crime isolé, mais une machine industrielle d’exploitation.

Chute et héritage vénéneux

L’arrestation d’Epstein en 2019 puis sa mort « mystérieuse » ont déclenché une onde mondiale. Maxwell, capturée plus tard, cristallise aujourd’hui tout le dégoût que suscite ce réseau.

Pourtant, une grande partie du système reste invisible :

  • Des carnets noirs jamais publiés en entier.
  • Des complices jamais inquiétés.
  • Une élite internationale toujours protégée.

Conclusion

Maxwell et Epstein sont les « Diaboliques » d’une époque où le pouvoir n’a plus besoin d’armées pour soumettre, mais d’images, de secrets, de vidéos compromettantes.

Ils symbolisent la face la plus sombre d’un capitalisme mondialisé, où les corps deviennent marchandises et où l’élite se pense intouchable.

« Le vrai luxe de l’élite n’est pas l’argent, mais l’impunité. »

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