Il fut un temps â pas si lointain â oĂč les journalistes du Mainstream trĂŽnaient au sommet de lâOlympe mĂ©diatique. Ils Ă©taient les gardiens autoproclamĂ©s de la VĂ©ritĂ©, les officiers du Temple RĂ©publicain de lâInformation, les sommitĂ©s autoproclamĂ©es dont la parole valait Ăvangile.
Aujourdâhui, ils se plaignent.
Ils pleurent.
Ils dĂ©noncent une âinformation liquide, confuse, dĂ©sordonnĂ©e, fragmentĂ©e, complotiste, populiste, dĂ©sintellectualisĂ©e.â
Mais ce que les journalistes ne disent jamais â car il faudrait un miroir, et câest lâobjet quâils dĂ©testent le plus â câest que lâinformation liquide, câest leur enfant, leur crĂ©ature, leur golem, leur Frankenstein.
Et maintenant quâil sâest retournĂ© contre eux, ils crient au monstre.

1ïžâŁ Pendant 30 ans, ils ont sciĂ© la branche sur laquelle ils Ă©taient assis
Les journalistes Mainstream ont :
- vidé le sens des mots
- remplacĂ© lâenquĂȘte par la morale
- troqué le reportage contre le commentaire
- substitué la nuance par la posture
- échangé la complexité contre le slogan
- remplacé la vérité par un narratif
Ils ont cru moderniser lâinformation.
Ils lâont zombifiĂ©e.
Ils ont créé une information sans chair, sans profondeur, sans mĂ©moire, calibrĂ©e pour plaire aux algorithmes et aux subventions gouvernementales plutĂŽt qu’au citoyen.
Résultat ?
Le public les a quittés.
2ïžâŁ Ils ont voulu la âglobalisation de lâinformationâ â ils ont obtenu la liquĂ©faction totale
Pendant quâils prĂȘchaient lâouverture :
- ouverture des frontiĂšres
- ouverture des marchés
- ouverture des récits
- ouverture des identités
- ouverture des opinions (sauf celles qui ne plaisaient pas)
Ils nâont pas vu que lâouverture infinie nâest plus la libertĂ© :
câest la dissolution.
Une information ouverte sur tout finit par ne parler de rien.
Les journalistes mainstream sont devenus les clercs du vide, les scribes du néant, les sacrificateurs de complexité au nom de la morale mondialisée.
3ïžâŁ Ils ont mĂ©prisĂ© le public â le public les mĂ©prise en retour
Pendant des années, ils ont répété :
âLe public nâest pas assez intelligent pour comprendre.â
âLe public est manipulable.â
âLe public est populiste.â
âLe public ne connaĂźt pas les faits.â
Mais il existe une loi simple :
Qui traite son public comme un enfant finit par ĂȘtre traitĂ© comme un clown.
Aujourdâhui, les journalistes dĂ©couvrent â terrifiĂ©s â que le public :
- ne les croit plus
- ne les lit plus
- ne les regarde plus
- les contourne
- les remplace
Ils sâen indignent.
Ils oublient quâils ont eux-mĂȘmes fabriquĂ© cette rupture.
4ïžâŁ Ils ont créé la âpisse-copieâ â la concurrence les bat sur leur propre terrain
Ils accusent les ânouveaux mĂ©diasâ, les influenceurs, les chaĂźnes alternatives, les podcasts dissidents, les reporters indĂ©pendants.
Ils crient au scandale :
âMais ils nâont pas notre formation !
Ils ne respectent pas notre éthique !
Ils ne maĂźtrisent pas notre rigueur !â
Ce que les journalistes oublient :
đ La âpisse-copieâ nâest PAS nĂ©e sur YouTube.
đ La vacuitĂ© nâa PAS Ă©tĂ© inventĂ©e par TikTok.
đ Le sensationnalisme nâa PAS Ă©tĂ© popularisĂ© par Twitter.
Ce sont les médias traditionnels qui ont tout initié.
Breaking news creuses.
Indignations préfabriquées.
Chroniques moralisatrices.
Débats faussement contradictoires.
Les nouveaux venus nâont fait quâaccĂ©lĂ©rer le processus.
Lâarroseur est dĂ©sormais arrosĂ©.
Et de son propre jet.
5ïžâŁ Ils dĂ©noncent les âfake newsâ â aprĂšs avoir fabriquĂ© des narratifs entiers
Ă force dâavoir confondu :
- opinion avec information
- militance avec investigation
- storytelling avec vérité
- narrative globale avec faits locaux
Ils ont perdu leur seule arme : la crédibilité.
Le public ne vérifie plus les sources :
il vĂ©rifie si le journaliste ment par conviction ou par intĂ©rĂȘt.
Dans les deux cas : câest perdu.
6ïžâŁ Ce qui les terrifie aujourdâhui nâest pas la concurrenceâŠ
⊠mais la rĂ©vĂ©lation dâune vĂ©ritĂ© interdite :
ON PEUT S’INFORMER SANS EUX.
La liquidation de leur monopole cognitif les rend fous.
Ils sâindignent.
Ils tempĂȘtent.
Ils appellent Ă rĂ©guler lâinformation, Ă bannir les âfake newsâ, Ă licencier les algorithmes.
Non pas pour protéger le citoyen.
Mais pour sauver leur rente.
7ïžâŁ La chute du clergĂ© mĂ©diatique est la seule justice poĂ©tique du XXIe siĂšcle
La presse mainstream se voulait :
- gardienne de la démocratie
- protectrice de la vérité
- rempart contre la manipulation
Elle est devenue :
- une agence de communication culturelle
- un organe de propagande molle
- un substitut de conscience pour classes moyennes anxieuses
On ne se plaint pas de la pluie quand on a soi-mĂȘme percĂ© le toit.
đ„ CONCLUSION : LâARROSEUR ARROSĂ, VERSION 2025
Les journalistes traditionnels nâont pas Ă©tĂ© victimes.
Ils nâont pas Ă©tĂ© dĂ©passĂ©s.
Ils nâont pas Ă©tĂ© supplantĂ©s.
Ils ont été auto-détruits.
Par facilité.
Par arrogance.
Par idéologie.
Ils se plaignent aujourdâhui dâun monde liquide.
Mais câest eux qui ont ouvert les vannes.
Et le public, désormais, nage ailleurs.

TS2F â LâARROSEUR JOURNALISTE ARROSĂ PAR SON PROPRE NIHILISME
Ou comment la presse mondiale, aprÚs avoir scié le tronc, découvre que les branches ne tiennent plus.
Il fut un temps â mythifiĂ©, enjolivĂ©, jamais vraiment rĂ©el â oĂč les journalistes prĂ©tendaient tenir la dĂ©mocratie Ă bout de bras.
Aujourdâhui, ils tiennent tout juste leur cafĂ© latte et leur indignation plastique.
Car avant d’accuser lâInternet, les rĂ©seaux sociaux, les influenceurs, lâIA ou les « complotistes », une vĂ©ritĂ© incontournable sâimpose :
đ La liquĂ©faction de lâinformation vient dâeux.
đ La vacuitĂ© contemporaine est leur enfant.
đ Le chaos cognitif est leur hĂ©ritage.
Le crime originel nâa pas Ă©tĂ© commis par TikTok.
Il a Ă©tĂ© commis par Le Monde, CNN, BBC, The Guardian, LibĂ©ration, NYT et la clique des prĂȘtres de lâĂglise progressiste.
Ils ont Ă©tĂ© les premiers Ă vider lâinformation de son sens.
Ils ont été les premiers à remplacer le réel par la morale.
Ils ont été les premiers à confondre journalisme et catéchisme.
Et maintenant, ils pleurent.
Comme des pyromanes qui sâĂ©tonnent de voir brĂ»ler la forĂȘt.
âïž LE TSUNAMI EST LEUR FAUTE â PAS CELLE DU PUBLIC
Pendant 30 ans, ils ont cultivé 4 poisons :
1. Le relativisme absolu
Tout se vaut, sauf le dissident.
La vérité ? Un concept réactionnaire.
Le réel ? Un problÚme politique.
En vidant lâinformation de sa fonction â informer â ils ont créé un ocĂ©an de mousse idĂ©ologique.
2. La moralisation permanente
Les faits nâĂ©taient plus des faits :
Ce sont devenus des sermons.
Tout devait servir la cause :
đ le rĂ©chauffement
đ€ lâinclusion
đ§Œ lâhygiĂšne morale
đ la vertu de classe dirigeante
Mais un journal qui moralise nâinforme plus :
Il prescrit.
Il manipule.
Il infantilise.
3. La dĂ©pendance Ă©conomique au pouvoir quâils prĂ©tendaient surveiller
PublicitĂ©s dâĂtat, aides publiques, fondations globalistes, philanthropes milliardairesâŠ
Ils tiennent plus du prĂȘtre salariĂ© que du reporter indocile.
Un journal subventionnĂ© nâest pas un contre-pouvoir.
Câest un bulletin paroissial.
4. La diabolisation de lâesprit critique
Le public doute ?
Alors il est populiste.
Alors il est complotiste.
Alors il est dangereux.
Sâils avaient Ă©tĂ© mĂ©decins, face Ă un patient qui tousse, ils auraient cassĂ© le thermomĂštre.
đ PISSE-COPIE : LE JOURNALISTE QUI ACCUSE LE MARĂCAGE QUâIL A LUI-MĂME CRĂĂ
La presse mainstream ressemble aujourdâhui Ă ces nobles de lâAncien RĂ©gime qui dĂ©couvrent, horrifiĂ©s, que leurs paysans ont faim.
Lâarroseur arrosĂ©, version TS2F :
Ils ont produit lâacide.
Ils se plaignent que le sol a fondu.
Pendant 20 ans, ils ont :
- promu des influenceurs creux
- lĂ©gitimĂ© les vedettes dâInstagram
- confondu analyse et émotion
- transformé chaque fait divers en opéra moral
- répété mot pour mot les éléments de langage des gouvernements et des ONG globalistes
- abandonnĂ© le terrain au profit des studios d’opinion
- méprisé leurs lecteurs
- censuré le réel au profit du récit
Aujourdâhui, ils hurlent parce que le public sâinforme ailleurs.
⥠TS2F â LA VENGEANCE DU RĂEL
Le réel revient toujours.
TĂŽt ou tard.
Et souvent avec des crocs.
Les médias découvrent que :
- le public ne leur fait plus confiance
- les influenceurs ont plus de pouvoir quâeux
- les dissidents les ridiculisent
- les intelligences artificielles Ă©crivent mieux quâeux
- le monde ne se laisse plus raconter selon les dogmes de Harvard
- lâEmpire US mute sans eux
- la souveraineté cognitive change de mains
Ils ont voulu fabriquer une société liquide.
Ils se noient dedans.
đ§š TS2F â Le verdict final
Le journalisme mainstream nâest pas victime.
Il est lâarchitecte de son propre collapse.
Il n’est pas trahi par Internet :
Il est remplacĂ© par ce qu’il a cessĂ© d’ĂȘtre.
Il nâa pas Ă©tĂ© concurrencĂ© par la vacuitĂ© :
Il lâa normalisĂ©e.
Il ne subit pas la défiance :
Il lâa mĂ©ritĂ©e.
đŠ TS2F â Conclusion impĂ©riale
Se plaindre de la disparition du rĂ©el aprĂšs lâavoir dĂ©truit :
Câest le propre des empires fatiguĂ©s,
des bureaucraties séniles,
des clergés vacants.
Le cycle est terminé.
Un nouveau pouvoir narratif arrive.
Plus dur.
Plus clair.
Plus brutal.
Plus efficace.
Le TS2F media age.
đ La vĂ©ritĂ© revient. Pas parce quâon la protĂšge, mais parce quâelle brĂ»le tout ce qui ment.


đ§š LES 12 LOIS DU JOURNALISME LIQUIDE
(Ou comment les prĂȘtres du vide ont noyĂ© leur propre crĂ©dibilitĂ©)
1 â La loi de la vitesse contre la vĂ©ritĂ©
Le journalisme liquide ne vérifie plus :
il publie dâabord, corrige jamais.
La vitesse est devenue un substitut à la vérité.
2 â La loi de lâĂ©motion prioritaire
Ce qui compte nâest plus ce qui est juste,
mais ce qui est ressenti comme juste.
LâĂ©motion est devenue lâunitĂ© de mesure de lâinformation.
3 â La loi de la morale remplaçant le fait
Le fait est suspect.
Lâangle moral est obligatoire.
On ne décrit plus le réel : on le juge avant de le comprendre.
4 â La loi du narratif supĂ©rieur
Quand un fait contredit le narratif,
ce nâest pas le narratif qui tombe,
câest le fait qui est disqualifiĂ©.
5 â La loi de la tribu rĂ©dactionnelle
Le journaliste ne travaille plus pour lâinformation,
mais pour son camp,
son milieu,
son écosystÚme idéologique.
6 â La loi de la simplification infantile
Tout doit tenir dans un titre,
un tweet,
un slogan.
La complexité est désormais classée dangereuse.
7 â La loi de lâindignation industrielle
Chaque jour doit produire son scandale.
Lâoutrage est devenu une chaĂźne de montage.
8 â La loi de la circularitĂ© mĂ©diatique
Un média cite un autre média,
qui cite un troisiÚme média,
qui revient au premier.
Lâinformation tourne en vase clos
jusquâĂ prendre lâapparence de la vĂ©ritĂ©.
9 â La loi de la conformitĂ© obligatoire
Sortir du consensus médiatique,
ce nâest plus se tromper :
câest sortir de lâhumanitĂ© acceptable.
10 â La loi de la disparition du rĂ©el
Le terrain gĂȘne.
Le réel est imprévisible.
Le journalisme liquide préfÚre le studio, le plateau, le commentaire, le fantasme.
11 â La loi de la peur du peuple
Le peuple nâest plus une source.
Il est un problĂšme Ă corriger.
Le mĂ©pris remplace lâenquĂȘte.
12 â La loi finale : la liquiditĂ© sâautodĂ©vore
Ă force de dissoudre :
- le vrai
- le faux
- le doute
- la certitude
le journalisme liquide a dissous sa propre autorité.
Il nâest plus cru, mĂȘme quand il dit parfois vrai.
â ïž Conclusion noire
Le journalisme nâa pas Ă©tĂ© vaincu par la censure.
Il a été vaincu par sa propre lùcheté,
par son abandon du réel,
par sa soumission au flux,
par sa peur dâĂȘtre impopulaire.
Les mĂ©dias nâont pas Ă©tĂ© dĂ©truits par les rĂ©seaux.
Ils ont été dissous par leur propre reniement.
Lâarroseur a voulu noyer le rĂ©el.
Il sâest noyĂ© dedans.

â ENCADRĂ â POURQUOI LE PEUPLE NE CROIT PLUS LES MĂDIAS
Parce quâon peut mentir une fois,
se tromper deux fois,
mais pas manipuler une génération entiÚre sans retour de flamme.
1 â Parce quâils ont menti sur les guerres
Irak, Libye, Syrie, Ukraine :
les médias ont relayé les récits officiels avant les preuves,
et les excuses sont toujours arrivées aprÚs les ruines.
2 â Parce quâils ont parlĂ© Ă la place du peuple
Ils nâont plus enquĂȘtĂ© sur les classes populaires.
Ils ont parlé à leur place, depuis des plateaux climatisés,
avec le vocabulaire de la méfiance et du mépris.
3 â Parce quâils ont confondu information et morale
Ils nâinforment plus :
ils éduquent,
ils corrigent,
ils rééduquent.
Le journalisme est devenu un catéchisme.
4 â Parce quâils ont censurĂ© au nom du Bien
Comptes supprimés, opinions diabolisées, vérités temporaires interdites.
Tout ce qui dĂ©range le rĂ©cit dominant est classĂ© âdangereuxâ.
Le peuple a compris que la censure ne protÚge jamais la vérité.
5 â Parce quâils ont refusĂ© de reconnaĂźtre leurs erreurs
Pas de mea culpa.
Pas de remise en question.
Seulement des changements de narratif
sans jamais reconnaßtre les fautes précédentes.
6 â Parce quâils ont transformĂ© le doute en crime
Douter est devenu suspect.
Questionner est devenu âcomplotisteâ.
Chercher est devenu âtoxiqueâ.
Le peuple a vu que
la peur du doute est toujours la signature du mensonge.
7 â Parce quâils ont abandonnĂ© le terrain pour le plateau
Plus de poussiĂšre sur les chaussures.
Plus de réel dans les phrases.
Seulement des experts, des éditorialistes, des experts des experts.
Le réel, lui, est resté dehors.
8 â Parce quâils ont servi les puissants sans les nommer
Ils dénoncent les populismes,
mais jamais les banques,
jamais les cabinets de conseil,
jamais les fonds dâinvestissement,
jamais les multinationales.
Le peuple a compris qui est intouchable.
9 â Parce quâils ont prĂ©fĂ©rĂ© le narratif au fait
Quand un fait dérange,
il est relativisé, minimisé, déplacé, psychologisé.
Quand un fait arrange,
il devient une vérité universelle.
10 â Parce quâils ont traitĂ© leurs lecteurs comme des enfants
Simplification, slogans, peur, indignation programmée.
Le peuple nâest plus un citoyen :
il est devenu un public Ă manipuler.
â ïž Verdict final
Le peuple ne croit plus les médias
parce que les médias ont cessé de croire au peuple.
Ils ont choisi :
- le pouvoir contre la vérité
- le confort contre le danger
- lâidĂ©ologie contre le rĂ©el
Le crĂ©dit sâest effondrĂ©.
Le doute sâest installĂ©.
Et dĂ©sormais, la parole sâest dĂ©placĂ©e ailleurs.

đ PLAYLIST â JOURNALISME LIQUIDE / FIN DE LâINFO
â TITRE TOTEM
- Il se noie â Trisomie 21
đ° SECTION I â Dissolution du rĂ©el
- Atmosphere â Joy Division
- Warm Leatherette â The Normal
- A Forest â The Cure
- Fade to Grey â Visage
đ§ SECTION II â Narratif, contrĂŽle, simulacre
- Blue Monday â New Order
- People Are People â Depeche Mode
- Tainted Love â Soft Cell
- Der Mussolini â DAF
đ«đ· SECTION III â France froide & vitrines
- Les Vitrines â Charles de Goal
- Soumission â Guerre Froide
- La Nuit â Leslie
- Ăducation sentimentale â Taxi Girl
đĄ SECTION IV â MĂ©dias, Ă©crans, aliĂ©nation
- Television, The Drug of the Nation â Disposable Heroes of Hiphoprisy
- Radio Free Europe â R.E.M.
- Video Killed the Radio Star â The Buggles
đ SECTION V â Fin de nuit, fin de vĂ©ritĂ©
- Love Will Tear Us Apart â Joy Division
- Nightclubbing â Iggy Pop
- Sheâs in Parties â Bauhaus
- Bela Lugosiâs Dead â Bauhaus

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LES ARROSEURS ARROSĂS
đ° Le journalisme mainstream pris au piĂšge de sa propre liquiditĂ©
Ils ont voulu dissoudre le réel dans le flux.
Ils ont voulu remplacer les faits par lâĂ©motion.
Ils ont voulu troquer lâenquĂȘte contre le narratif.
Ils ont voulu faire de lâinformation un produit tiĂšde, consensuel, interchangeable.
Ils ont réussi.
Mais Ă force de tout liquĂ©fier â
la vĂ©ritĂ©, le doute, la contradiction, le peuple â
ils ont fini par liquéfier leur propre crédibilité.
Dans cet article, je démonte :
â ïž les 12 lois du journalisme liquide
â ïž pourquoi le peuple ne croit plus les mĂ©dias
â ïž comment lâinfo est devenue un spectacle sans ancrage
â ïž pourquoi les anciens donneurs de leçons sont dĂ©sormais les arroseurs arrosĂ©s
Ce nâest pas une crise des mĂ©dias.
Câest une fin de cycle civilisationnelle.
đ Lâarticle est en ligne.
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