Douce France

🐍 ARROSEURS ARROSÉS : LE JOURNALISME MAINSTREAM FACE À SA PROPRE LIQUIDITÉ

Il fut un temps — pas si lointain — oĂč les journalistes du Mainstream trĂŽnaient au sommet de l’Olympe mĂ©diatique. Ils Ă©taient les gardiens autoproclamĂ©s de la VĂ©ritĂ©, les officiers du Temple RĂ©publicain de l’Information, les sommitĂ©s autoproclamĂ©es dont la parole valait Évangile.

Aujourd’hui, ils se plaignent.

Ils pleurent.

Ils dĂ©noncent une “information liquide, confuse, dĂ©sordonnĂ©e, fragmentĂ©e, complotiste, populiste, dĂ©sintellectualisĂ©e.”

Mais ce que les journalistes ne disent jamais — car il faudrait un miroir, et c’est l’objet qu’ils dĂ©testent le plus — c’est que l’information liquide, c’est leur enfant, leur crĂ©ature, leur golem, leur Frankenstein.

Et maintenant qu’il s’est retournĂ© contre eux, ils crient au monstre.


1ïžâƒŁ Pendant 30 ans, ils ont sciĂ© la branche sur laquelle ils Ă©taient assis

Les journalistes Mainstream ont :

  • vidĂ© le sens des mots
  • remplacĂ© l’enquĂȘte par la morale
  • troquĂ© le reportage contre le commentaire
  • substituĂ© la nuance par la posture
  • Ă©changĂ© la complexitĂ© contre le slogan
  • remplacĂ© la vĂ©ritĂ© par un narratif

Ils ont cru moderniser l’information.
Ils l’ont zombifiĂ©e.

Ils ont créé une information sans chair, sans profondeur, sans mĂ©moire, calibrĂ©e pour plaire aux algorithmes et aux subventions gouvernementales plutĂŽt qu’au citoyen.

Résultat ?

Le public les a quittés.


2ïžâƒŁ Ils ont voulu la “globalisation de l’information” — ils ont obtenu la liquĂ©faction totale

Pendant qu’ils prĂȘchaient l’ouverture :

  • ouverture des frontiĂšres
  • ouverture des marchĂ©s
  • ouverture des rĂ©cits
  • ouverture des identitĂ©s
  • ouverture des opinions (sauf celles qui ne plaisaient pas)

Ils n’ont pas vu que l’ouverture infinie n’est plus la libertĂ© :
c’est la dissolution.

Une information ouverte sur tout finit par ne parler de rien.

Les journalistes mainstream sont devenus les clercs du vide, les scribes du néant, les sacrificateurs de complexité au nom de la morale mondialisée.


3ïžâƒŁ Ils ont mĂ©prisĂ© le public — le public les mĂ©prise en retour

Pendant des années, ils ont répété :

Mais il existe une loi simple :

Qui traite son public comme un enfant finit par ĂȘtre traitĂ© comme un clown.

Aujourd’hui, les journalistes dĂ©couvrent — terrifiĂ©s — que le public :

  • ne les croit plus
  • ne les lit plus
  • ne les regarde plus
  • les contourne
  • les remplace

Ils s’en indignent.

Ils oublient qu’ils ont eux-mĂȘmes fabriquĂ© cette rupture.


4ïžâƒŁ Ils ont créé la “pisse-copie” — la concurrence les bat sur leur propre terrain

Ils accusent les “nouveaux mĂ©dias”, les influenceurs, les chaĂźnes alternatives, les podcasts dissidents, les reporters indĂ©pendants.

Ils crient au scandale :
“Mais ils n’ont pas notre formation !
Ils ne respectent pas notre éthique !
Ils ne maütrisent pas notre rigueur !”

Ce que les journalistes oublient :

👉 La “pisse-copie” n’est PAS nĂ©e sur YouTube.
👉 La vacuitĂ© n’a PAS Ă©tĂ© inventĂ©e par TikTok.
👉 Le sensationnalisme n’a PAS Ă©tĂ© popularisĂ© par Twitter.

Ce sont les médias traditionnels qui ont tout initié.

Breaking news creuses.
Indignations préfabriquées.
Chroniques moralisatrices.
Débats faussement contradictoires.

Les nouveaux venus n’ont fait qu’accĂ©lĂ©rer le processus.
L’arroseur est dĂ©sormais arrosĂ©.
Et de son propre jet.


5ïžâƒŁ Ils dĂ©noncent les “fake news” — aprĂšs avoir fabriquĂ© des narratifs entiers

À force d’avoir confondu :

  • opinion avec information
  • militance avec investigation
  • storytelling avec vĂ©ritĂ©
  • narrative globale avec faits locaux

Ils ont perdu leur seule arme : la crédibilité.

Le public ne vérifie plus les sources :
il vĂ©rifie si le journaliste ment par conviction ou par intĂ©rĂȘt.

Dans les deux cas : c’est perdu.


6ïžâƒŁ Ce qui les terrifie aujourd’hui n’est pas la concurrence



 mais la rĂ©vĂ©lation d’une vĂ©ritĂ© interdite :

ON PEUT S’INFORMER SANS EUX.

La liquidation de leur monopole cognitif les rend fous.
Ils s’indignent.
Ils tempĂȘtent.
Ils appellent Ă  rĂ©guler l’information, Ă  bannir les “fake news”, Ă  licencier les algorithmes.

Non pas pour protéger le citoyen.
Mais pour sauver leur rente.


7ïžâƒŁ La chute du clergĂ© mĂ©diatique est la seule justice poĂ©tique du XXIe siĂšcle

La presse mainstream se voulait :

  • gardienne de la dĂ©mocratie
  • protectrice de la vĂ©ritĂ©
  • rempart contre la manipulation

Elle est devenue :

  • une agence de communication culturelle
  • un organe de propagande molle
  • un substitut de conscience pour classes moyennes anxieuses

On ne se plaint pas de la pluie quand on a soi-mĂȘme percĂ© le toit.


đŸ”„ CONCLUSION : L’ARROSEUR ARROSÉ, VERSION 2025

Les journalistes traditionnels n’ont pas Ă©tĂ© victimes.
Ils n’ont pas Ă©tĂ© dĂ©passĂ©s.
Ils n’ont pas Ă©tĂ© supplantĂ©s.

Ils ont été auto-détruits.
Par facilité.
Par arrogance.
Par idéologie.

Ils se plaignent aujourd’hui d’un monde liquide.
Mais c’est eux qui ont ouvert les vannes.

Et le public, désormais, nage ailleurs.

TS2F — L’ARROSEUR JOURNALISTE ARROSÉ PAR SON PROPRE NIHILISME

Ou comment la presse mondiale, aprÚs avoir scié le tronc, découvre que les branches ne tiennent plus.

Il fut un temps — mythifiĂ©, enjolivĂ©, jamais vraiment rĂ©el — oĂč les journalistes prĂ©tendaient tenir la dĂ©mocratie Ă  bout de bras.
Aujourd’hui, ils tiennent tout juste leur cafĂ© latte et leur indignation plastique.

Car avant d’accuser l’Internet, les rĂ©seaux sociaux, les influenceurs, l’IA ou les « complotistes », une vĂ©ritĂ© incontournable s’impose :

👉 La liquĂ©faction de l’information vient d’eux.
👉 La vacuitĂ© contemporaine est leur enfant.
👉 Le chaos cognitif est leur hĂ©ritage.

Le crime originel n’a pas Ă©tĂ© commis par TikTok.
Il a Ă©tĂ© commis par Le Monde, CNN, BBC, The Guardian, LibĂ©ration, NYT et la clique des prĂȘtres de l’Église progressiste.

Ils ont Ă©tĂ© les premiers Ă  vider l’information de son sens.
Ils ont été les premiers à remplacer le réel par la morale.
Ils ont été les premiers à confondre journalisme et catéchisme.

Et maintenant, ils pleurent.
Comme des pyromanes qui s’étonnent de voir brĂ»ler la forĂȘt.


⚔ LE TSUNAMI EST LEUR FAUTE — PAS CELLE DU PUBLIC

Pendant 30 ans, ils ont cultivé 4 poisons :

1. Le relativisme absolu

Tout se vaut, sauf le dissident.
La vérité ? Un concept réactionnaire.
Le réel ? Un problÚme politique.

En vidant l’information de sa fonction — informer — ils ont créé un ocĂ©an de mousse idĂ©ologique.

2. La moralisation permanente

Les faits n’étaient plus des faits :
Ce sont devenus des sermons.

Tout devait servir la cause :
🌍 le rĂ©chauffement
đŸ€ l’inclusion
đŸ§Œ l’hygiĂšne morale
🌈 la vertu de classe dirigeante

Mais un journal qui moralise n’informe plus :
Il prescrit.
Il manipule.
Il infantilise.

3. La dĂ©pendance Ă©conomique au pouvoir qu’ils prĂ©tendaient surveiller

PublicitĂ©s d’État, aides publiques, fondations globalistes, philanthropes milliardaires

Ils tiennent plus du prĂȘtre salariĂ© que du reporter indocile.

Un journal subventionnĂ© n’est pas un contre-pouvoir.
C’est un bulletin paroissial.

4. La diabolisation de l’esprit critique

Le public doute ?
Alors il est populiste.
Alors il est complotiste.
Alors il est dangereux.

S’ils avaient Ă©tĂ© mĂ©decins, face Ă  un patient qui tousse, ils auraient cassĂ© le thermomĂštre.


💀 PISSE-COPIE : LE JOURNALISTE QUI ACCUSE LE MARÉCAGE QU’IL A LUI-MÊME CRÉÉ

La presse mainstream ressemble aujourd’hui Ă  ces nobles de l’Ancien RĂ©gime qui dĂ©couvrent, horrifiĂ©s, que leurs paysans ont faim.

L’arroseur arrosĂ©, version TS2F :
Ils ont produit l’acide.
Ils se plaignent que le sol a fondu.

Pendant 20 ans, ils ont :

  • promu des influenceurs creux
  • lĂ©gitimĂ© les vedettes d’Instagram
  • confondu analyse et Ă©motion
  • transformĂ© chaque fait divers en opĂ©ra moral
  • rĂ©pĂ©tĂ© mot pour mot les Ă©lĂ©ments de langage des gouvernements et des ONG globalistes
  • abandonnĂ© le terrain au profit des studios d’opinion
  • mĂ©prisĂ© leurs lecteurs
  • censurĂ© le rĂ©el au profit du rĂ©cit

Aujourd’hui, ils hurlent parce que le public s’informe ailleurs.


⚡ TS2F — LA VENGEANCE DU RÉEL

Le réel revient toujours.
TĂŽt ou tard.
Et souvent avec des crocs.

Les médias découvrent que :

  • le public ne leur fait plus confiance
  • les influenceurs ont plus de pouvoir qu’eux
  • les dissidents les ridiculisent
  • les intelligences artificielles Ă©crivent mieux qu’eux
  • le monde ne se laisse plus raconter selon les dogmes de Harvard
  • l’Empire US mute sans eux
  • la souverainetĂ© cognitive change de mains

Ils ont voulu fabriquer une société liquide.
Ils se noient dedans.


🧹 TS2F — Le verdict final

Le journalisme mainstream n’est pas victime.
Il est l’architecte de son propre collapse.

Il n’est pas trahi par Internet :
Il est remplacĂ© par ce qu’il a cessĂ© d’ĂȘtre.

Il n’a pas Ă©tĂ© concurrencĂ© par la vacuitĂ© :
Il l’a normalisĂ©e.

Il ne subit pas la défiance :
Il l’a mĂ©ritĂ©e.


🩅 TS2F — Conclusion impĂ©riale

Se plaindre de la disparition du rĂ©el aprĂšs l’avoir dĂ©truit :

C’est le propre des empires fatiguĂ©s,
des bureaucraties séniles,
des clergés vacants.

Le cycle est terminé.

Un nouveau pouvoir narratif arrive.
Plus dur.
Plus clair.
Plus brutal.
Plus efficace.

Le TS2F media age.

👉 La vĂ©ritĂ© revient. Pas parce qu’on la protĂšge, mais parce qu’elle brĂ»le tout ce qui ment.

🧹 LES 12 LOIS DU JOURNALISME LIQUIDE

(Ou comment les prĂȘtres du vide ont noyĂ© leur propre crĂ©dibilitĂ©)


1 — La loi de la vitesse contre la vĂ©ritĂ©

Le journalisme liquide ne vérifie plus :
il publie d’abord, corrige jamais.
La vitesse est devenue un substitut à la vérité.


2 — La loi de l’émotion prioritaire

Ce qui compte n’est plus ce qui est juste,
mais ce qui est ressenti comme juste.
L’émotion est devenue l’unitĂ© de mesure de l’information.


3 — La loi de la morale remplaçant le fait

Le fait est suspect.
L’angle moral est obligatoire.
On ne décrit plus le réel : on le juge avant de le comprendre.


4 — La loi du narratif supĂ©rieur

Quand un fait contredit le narratif,
ce n’est pas le narratif qui tombe,
c’est le fait qui est disqualifiĂ©.


5 — La loi de la tribu rĂ©dactionnelle

Le journaliste ne travaille plus pour l’information,
mais pour son camp,
son milieu,
son écosystÚme idéologique.


6 — La loi de la simplification infantile

Tout doit tenir dans un titre,
un tweet,
un slogan.
La complexité est désormais classée dangereuse.


7 — La loi de l’indignation industrielle

Chaque jour doit produire son scandale.
L’outrage est devenu une chaüne de montage.


8 — La loi de la circularitĂ© mĂ©diatique

Un média cite un autre média,
qui cite un troisiÚme média,
qui revient au premier.
L’information tourne en vase clos
jusqu’à prendre l’apparence de la vĂ©ritĂ©.


9 — La loi de la conformitĂ© obligatoire

Sortir du consensus médiatique,
ce n’est plus se tromper :
c’est sortir de l’humanitĂ© acceptable.


10 — La loi de la disparition du rĂ©el

Le terrain gĂȘne.
Le réel est imprévisible.
Le journalisme liquide préfÚre le studio, le plateau, le commentaire, le fantasme.


11 — La loi de la peur du peuple

Le peuple n’est plus une source.
Il est un problĂšme Ă  corriger.
Le mĂ©pris remplace l’enquĂȘte.


12 — La loi finale : la liquiditĂ© s’autodĂ©vore

À force de dissoudre :

  • le vrai
  • le faux
  • le doute
  • la certitude
    le journalisme liquide a dissous sa propre autorité.
    Il n’est plus cru, mĂȘme quand il dit parfois vrai.

☠ Conclusion noire

Le journalisme n’a pas Ă©tĂ© vaincu par la censure.
Il a été vaincu par sa propre lùcheté,
par son abandon du réel,
par sa soumission au flux,
par sa peur d’ĂȘtre impopulaire.

Les mĂ©dias n’ont pas Ă©tĂ© dĂ©truits par les rĂ©seaux.
Ils ont été dissous par leur propre reniement.

L’arroseur a voulu noyer le rĂ©el.
Il s’est noyĂ© dedans.

⛔ ENCADRÉ — POURQUOI LE PEUPLE NE CROIT PLUS LES MÉDIAS

Parce qu’on peut mentir une fois,
se tromper deux fois,
mais pas manipuler une génération entiÚre sans retour de flamme.


1 — Parce qu’ils ont menti sur les guerres

Irak, Libye, Syrie, Ukraine :
les médias ont relayé les récits officiels avant les preuves,
et les excuses sont toujours arrivées aprÚs les ruines.


2 — Parce qu’ils ont parlĂ© Ă  la place du peuple

Ils n’ont plus enquĂȘtĂ© sur les classes populaires.
Ils ont parlé à leur place, depuis des plateaux climatisés,
avec le vocabulaire de la méfiance et du mépris.


3 — Parce qu’ils ont confondu information et morale

Ils n’informent plus :
ils éduquent,
ils corrigent,
ils rééduquent.
Le journalisme est devenu un catéchisme.


4 — Parce qu’ils ont censurĂ© au nom du Bien

Comptes supprimés, opinions diabolisées, vérités temporaires interdites.
Tout ce qui dĂ©range le rĂ©cit dominant est classĂ© “dangereux”.
Le peuple a compris que la censure ne protÚge jamais la vérité.


5 — Parce qu’ils ont refusĂ© de reconnaĂźtre leurs erreurs

Pas de mea culpa.
Pas de remise en question.
Seulement des changements de narratif
sans jamais reconnaßtre les fautes précédentes.


6 — Parce qu’ils ont transformĂ© le doute en crime

Douter est devenu suspect.
Questionner est devenu “complotiste”.
Chercher est devenu “toxique”.

Le peuple a vu que
la peur du doute est toujours la signature du mensonge.


7 — Parce qu’ils ont abandonnĂ© le terrain pour le plateau

Plus de poussiĂšre sur les chaussures.
Plus de réel dans les phrases.
Seulement des experts, des éditorialistes, des experts des experts.

Le réel, lui, est resté dehors.


8 — Parce qu’ils ont servi les puissants sans les nommer

Ils dénoncent les populismes,
mais jamais les banques,
jamais les cabinets de conseil,
jamais les fonds d’investissement,
jamais les multinationales.

Le peuple a compris qui est intouchable.


9 — Parce qu’ils ont prĂ©fĂ©rĂ© le narratif au fait

Quand un fait dérange,
il est relativisé, minimisé, déplacé, psychologisé.
Quand un fait arrange,
il devient une vérité universelle.


10 — Parce qu’ils ont traitĂ© leurs lecteurs comme des enfants

Simplification, slogans, peur, indignation programmée.
Le peuple n’est plus un citoyen :
il est devenu un public Ă  manipuler.


☠ Verdict final

Le peuple ne croit plus les médias
parce que les médias ont cessé de croire au peuple.

Ils ont choisi :

  • le pouvoir contre la vĂ©ritĂ©
  • le confort contre le danger
  • l’idĂ©ologie contre le rĂ©el

Le crĂ©dit s’est effondrĂ©.
Le doute s’est installĂ©.
Et dĂ©sormais, la parole s’est dĂ©placĂ©e ailleurs.

🛑 PLAYLIST — JOURNALISME LIQUIDE / FIN DE L’INFO

⭐ TITRE TOTEM

  1. Il se noie – Trisomie 21

📰 SECTION I — Dissolution du rĂ©el

  1. Atmosphere – Joy Division
  2. Warm Leatherette – The Normal
  3. A Forest – The Cure
  4. Fade to Grey – Visage

🧠 SECTION II — Narratif, contrîle, simulacre

  1. Blue Monday – New Order
  2. People Are People – Depeche Mode
  3. Tainted Love – Soft Cell
  4. Der Mussolini – DAF

đŸ‡«đŸ‡· SECTION III — France froide & vitrines

  1. Les Vitrines – Charles de Goal
  2. Soumission – Guerre Froide
  3. La Nuit – Leslie
  4. Éducation sentimentale – Taxi Girl

📡 SECTION IV — MĂ©dias, Ă©crans, aliĂ©nation

  1. Television, The Drug of the Nation – Disposable Heroes of Hiphoprisy
  2. Radio Free Europe – R.E.M.
  3. Video Killed the Radio Star – The Buggles

🌑 SECTION V — Fin de nuit, fin de vĂ©ritĂ©

  1. Love Will Tear Us Apart – Joy Division
  2. Nightclubbing – Iggy Pop
  3. She’s in Parties – Bauhaus
  4. Bela Lugosi’s Dead – Bauhaus
Unique
Mensuellement
Annuellement

Réaliser un don ponctuel

Réaliser un don mensuel

Réaliser un don annuel

Choisir un montant

€5,00
€15,00
€100,00
€5,00
€15,00
€100,00
€5,00
€15,00
€100,00

Ou saisissez un montant personnalisé :


Votre contribution est appréciée.

Votre contribution est appréciée.

Votre contribution est appréciée.

Faire un donFaire un don mensuelFaire un don annuel

En savoir plus sur Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances

Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.

2 rĂ©ponses »

  1. 🧹 NOUVEL ARTICLE SUR LE BLOG À LUPUS
    👉 Lien en commentaire

    LES ARROSEURS ARROSÉS
    📰 Le journalisme mainstream pris au piĂšge de sa propre liquiditĂ©

    Ils ont voulu dissoudre le réel dans le flux.
    Ils ont voulu remplacer les faits par l’émotion.
    Ils ont voulu troquer l’enquĂȘte contre le narratif.
    Ils ont voulu faire de l’information un produit tiùde, consensuel, interchangeable.

    Ils ont réussi.

    Mais Ă  force de tout liquĂ©fier —
    la vĂ©ritĂ©, le doute, la contradiction, le peuple —
    ils ont fini par liquéfier leur propre crédibilité.

    Dans cet article, je démonte :
    ☠ les 12 lois du journalisme liquide
    ☠ pourquoi le peuple ne croit plus les mĂ©dias
    ☠ comment l’info est devenue un spectacle sans ancrage
    ☠ pourquoi les anciens donneurs de leçons sont dĂ©sormais les arroseurs arrosĂ©s

    Ce n’est pas une crise des mĂ©dias.
    C’est une fin de cycle civilisationnelle.

    📌 L’article est en ligne.
    📎 Lien en commentaire.

    Aimé par 1 personne

Laisser un commentaire