Inflation ou déflation, quel mal faut-il craindre? Par Emmanuel Lechypre
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Souverainiste Européen : antimondialiste raisonnable, antiislamiste raisonné, anticapitaliste financier mais pas trop et antisocialiste fabien mais pas assez….Libertarien par Idéal mais Etatiste par pragmatisme ! Cours Forrest cours !
"Nous vivons une époque nietzschéenne marqué du sceau de la volonté de puissance dans un monde qui ne veut croire qu’au messianisme religieux et marxiste !"
"Le Présent éclaire notre Passé pour mieux construire notre Futur !"
"Le sexe, la drogue et le rock and roll sont au jeune fou ce que les textes, le grog et les patates chaudes sont au vieux Sage"
" Mieux vaut une fin terrifiante qu’une terreur sans fin "
"Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort… Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche"
"Ce qui ne peut perdurer finira forcément par cesser"
"Celui qui a péché par la Dette doit périr dans la Dèche"
« L’Ultraliberalisme et le Néokeynésianisme sont les deux faces d’une même pièce : Une sorte d’immense farce tragico-comique »

Inflation ou déflation, quel mal faut-il craindre? Par Emmanuel Lechypre
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Catégories :Déflation, Inflation, inflation importée, monétarisation de la dette
Tagué:Emmanuel Lechypre
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les 2 ont des effets pervers assez destructeurs, et c’est une des raisons pour qu’il faille aller plus en profondeurs et se poser les vraies questions sans tabou dans toutes ces réunions qui se tiennent au sommet entre les grandes puissances à travers le monde.
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Deflation pour vos actifs.
Inflation pour ce dont vous avez besoin.
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Philémon Mambu,
« les 2 ont des effets pervers assez destructeurs, et c’est une des raisons pour qu’il faille aller plus en profondeurs et se poser les vraies questions sans tabou dans toutes ces réunions qui se tiennent au sommet entre les grandes puissances à travers le monde. »
La déflation n’est pas une mauvaise chose, ou du moins, cela dépend à quoi c’est dû.
Gains de productivité ? C’est une bonne chose.
Contraction monétaire ? Ça peut être une mauvaise chose si la déflation n’est pas anticipée, ce qui ne serait vrai qu’à court terme seulement. Selgin disait de toute façon; si la vitesse de circulation de monnaie diminue (hausse de la demande de passifs à vue), les banques vont créer la monnaie à hauteur de ce qui est en moins dépensé, ce qui permet de maintenir l’équilibre monétaire et d’empêcher les stocks de marchandises de s’accumuler.
Dans tous les cas, la solution pour sortir de la crise au plus vite, c’est la flexibilité des salaires, car tant qu’il y a de la rigidité, le chômage va monter car la productivité stagne alors que la masse monétaire se contracte.
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