BFM

Olivier Delamarche/BFM 24 Janvier 2012

Olivier Delamarche/BFM 24 Janvier 2012 

3 réponses »

  1. Le fond ? Lequel ? Quelle est/sont la profondeur du/des fonds ? Seraient-ils des TROUS sans fond ?
    Ah ! Ah ! Maudite bonne question n’est-ce pas ?

    CELUI QUI SE NOURRIT DE RÊVE, LE VENT L’EMPORTE. Proverbe kurde.

    Entéca monsieur Delamarche nous l’aura bien dit ! Reste que pas grand monde l’écoute.
    Ben moi … OUI !

    Maintenant, j’aimerai BEAUCOUP que l’interviewer lui pose autre chose que sa sempiternelle question :

    ÇA VA MIEUX HEIN ? HEIN ? HEIN ?

    Genre : DANS QUOI QU’C’EST QU’TU MET TON POGNON par exemple ?

    Des fois qu’on apprendrait des choses ?

  2. Standard & Poor’s va probablement abaisser la note souveraine de Grèce en catégorie « défaut sélectif » lorsqu’Athènes finalisera la restructuration de sa dette, a annoncé mardi John Chambers, président du comité des notations souveraines de S&P.

    Il a toutefois précisé qu’un défaut grec ne détruirait pas nécessairement la crédibilité de l’Union européenne.

    « Il n’est pas dit qu’un défaut grec ait un effet domino dans la zone euro », a déclaré John Chambers lors d’une rencontre organisée par Bloomberg Link.

    http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL5E8CO2S620120124

  3. Je ne comprends pas pourquoi les partis traditionnels s’entêtent à vouloir sauver l’Euro. Il suffirait de dire, nous nous sommes trompés, nous revenons provisoirement à nos monnaies nationales pendant 5 ans. Nous dévaluons de facon coordonnée. Lorsque nous serons prets dans 5 ans on recommence avec l’Euro sans retomber dans les mêmes erreurs, fort de notre expérience passée. C’est ainsi qu’agit tout chef d’entreprise. L’échec fait partie de la vie et on s’enrichit des échecs (excusez moi pour ce jeu de mot involontaire).

Répondre à Antoine ClarkAnnuler la réponse.