Olivier Delamarche – 09 Mars 2012 – BFM Business
Catégories :BFM, Commentaire de Marché, Europe
Souverainiste Européen : antimondialiste raisonnable, antiislamiste raisonné, anticapitaliste financier mais pas trop et antisocialiste fabien mais pas assez….Libertarien par Idéal mais Etatiste par pragmatisme ! Cours Forrest cours !
"Nous vivons une époque nietzschéenne marqué du sceau de la volonté de puissance dans un monde qui ne veut croire qu’au messianisme religieux et marxiste !"
"Le Présent éclaire notre Passé pour mieux construire notre Futur !"
"Le sexe, la drogue et le rock and roll sont au jeune fou ce que les textes, le grog et les patates chaudes sont au vieux Sage"
" Mieux vaut une fin terrifiante qu’une terreur sans fin "
"Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort… Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche"
"Ce qui ne peut perdurer finira forcément par cesser"
"Celui qui a péché par la Dette doit périr dans la Dèche"
« L’Ultraliberalisme et le Néokeynésianisme sont les deux faces d’une même pièce : Une sorte d’immense farce tragico-comique »
Olivier Delamarche – 09 Mars 2012 – BFM Business
Catégories :BFM, Commentaire de Marché, Europe
Tagué:Olivier Delamarche
Ce diaporama nécessite JavaScript.
Nouveau blog , nouvelle année, nouveau cycle ,nouvelle action…croix de bois, croix de fer, si nous mentons, nous allons en enfer...le regard est hagard mais l’écriture aussi…courte et acérée et souvent trop alambiquée, pressée par le temps, empressée d’embrasser l’actualité économique et financière…orthographe approximative….pensée sms pour une mise en lumière, un simple coup de projecteur sur un théâtre d’ombres financières témoins de nos passions et de nos désirs les plus obscurs…magnéto Serge et bienvenue donc à bord du radeau médusé: Capitaine "Devil"Virtual Lupus est à la barre du 1er site garanti 100% porno financier...parce qu'ici si on ne vous cache rien, on ne vous dit parfois, pas grand chose non plus....enfin en apparence....seulement en apparence...
« Depuis que le Président Nixon a rompu le lien final entre le dollar et l’or, aucune monnaie majeure pour la première fois dans l’histoire n’a de connexion avec une commodity ». Milton Friedman, 1991.
« Il n’y a pas de moyen plus subtil et plus sûr de détruire les bases de la société que de débaucher la monnaie ». John Maynard Keynes,1920.
« Le papier monnaie sans ancrage s’est régulièrement avéré une malédiction pour le pays qui l’a employé ». Irving Fisher, 1921.
« Il y a de bonnes raisons de croire que la nature de la monnaie n’est pas vraiment comprise ». John Law, 1720.
« Nous pensons que si vous sapez les bases de la monnaie, vous sapez aussi les bases de l’économie. La difficulté est de définir quelle est la part de la structure de liquidités qui correspond à de la vraie monnaie » ; « la monnaie, je ne sais plus très bien ce que c’est ». Alan Greenspan, 2000.
« La liquidité, l’abondance monétaire, c’est quand on croit que l’on va vendre plus cher que l’on a acheté ». D. Kohn, 2003.
Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.
J’admire Olivier DELAMARCHE, seule personne lucide sur ce plateau, d’accepter de débattre avec « ces gens là » qui sont en plein délire…! le « crétinisme » actuel est incommensurable….! Attendons la suite…!?. A mon sens, Olivier DELAMARCHE aura évidemment raison car RIEN n’est réglé sur le fond dans ce monde stupide et borné….!
Thierry FOURGEAUD Consultant à 44100 – NANTES
le 13 Mars 2012
En fait, « ces gens là » sont rémunérés pour faire passer des slogans. Ces slogans sont compréhensibles pour les personnes de faible entendement, mais évidemment destinés à distraire des réalités. TOUT le monde voit bien que les remèdes pour sortir de la crise sont pires que ses causes. Cela fait plus d’un siècle que des personnes intelligentes et aux immenses moyens financiers sont obnubilées par la réduction de la démographie, la réduction des salaires des « ouvriers » (aujourd’hui des salariés) et par le soucis vital de rester dans le rôle de décideur dominant en éliminant les banques secondaires. Les crises sont décidées par eux en restreignant à date donnée les émissions monétaires, et les reprises aussi en inversant le processus. On pourra lire avec profit ce qui se passe aux Etats-Unis depuis 150 ans et en lisant l’ouvrage Les Confessions d’un assassin Financier de John PERKINS. Bonne lecture, mais asseyez-vous avant.
Avec des monnaies fiduciaires qui se reproduisent à volonté et qu’on utilise pour faire semblant de racheter des obligations dont plus personne ne veut, que va devenir le monde ????????
Comment les bourses peuvent elles monter dans ce contexte ????
Comment les monnaies peuvent elles avoir encore un sens ????
ces questions sont pour Olivier DELAMARCHE dont j’apprécie ses interventions.