Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie
Un article de Marc Mayor, de l’Edito matières premières et devises (publications Agora).
« L’enfant normal, lorsqu’il est pris la main dans le pot de confiture, a tendance à rougir et à baisser le regard. Mais le futur bankster a une réaction toute différente. Il plaide : “c’était pas moi, c’était ma main”.
Arrivés à l’âge adulte, ces individus finissent par diriger des sociétés comme Enron. Comme il faut que ce type d’entreprises déclare des bénéfices chaque trimestre, quoi qu’il arrive, Enron avait créé 3 000 sociétés offshore dans lesquelles elle cachait ses cadavres.
Quand la SEC, gendarme boursier, s’étonna de tels montages, la réponse fusa : “c’est pas moi, c’est ma main”. Autrement dit : “c’est pas Enron, ce sont les coquilles qui nous appartiennent qui sont en faillite”.
En théorie, vous et moi pourrions faire de même. Nous allons à la banque, obtenons un prêt, puis séparons la dette…
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