Avatar de Olivier DemeulenaereOlivier Demeulenaere - Regards sur l'économie

Du lourd, très lourd. Ecoutez bien Laurent Louis ! Ce jeune député belge, déjà connu pour avoir levé le voile sur les réseaux pédophiles, dénonce ici les mensonges et l’hypocrisie de la « guerre contre le terrorisme ». Remarquez aussi le silence, le mépris qui accompagnent son discours. Ses mots, pourtant, font mouche. Il n’a pas froid aux yeux, chapeau !

(source : Laurent Louis)

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5 réponses »

  1. « La presse n’est plus qu’un organe de propagande des pouvoirs en place. » Tellement vrai en France. Qu’est-ce que j’aimerais entendre un député comme ça à l’Assemblée nationale.

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  2. Ils ont acheté la presse de Benjamin Dorman, à lire….

    «Pourquoi la presse française n’a-t-elle rien dit avant ?» s’est-on interrogé quand l’affaire Dominique Strauss-Kahn a éclaté.
    La presse d’opposition est heureuse de recevoir des centaines de millions de subventions de Nicolas Sarkozy, mais est en campagne pour empêcher sa réélection. De ce fait, les journalistes militent plus qu’ils n’informent, reproduisant avec complaisance des scénarios mis en scène par des communiquants, renonçant souvent à faire la moindre enquête ou la menant avec des présupposés.
    De plus, cette presse se vend progressivement à des financiers dits «de gauche», oubliant que dans la presse, comme ailleurs, des financiers restent des financiers. En suivant notamment de près la reprise du Monde par Matthieu Pigasse et la gestion du Nouvel Observateur par Denis Olivennes, on découvre, étonnés, ses connivences, son opacité, et les coulisses d’une presse embourbée dans ses contradictions et ses mensonges.
    Si ce 4e pouvoir a aujourd’hui renoncé à jouer son rôle, c’est qu’il a accepté de frayer avec ce 5e pouvoir que l’on découvre ici : celui des réseaux mondialisés, mêlant hommes d’affaires, financiers, médias et politiques, agissant et décidant dans la coulisse, en toute discrétion, parallèlement à nos structures démocratiques devenues impotentes.
    Une enquête fouillée de plus de deux ans, un voyage édifiant et instructif dans l’envers du décor, où l’on croise les membres du Siècle, le plus grand groupe d’influence français, le Young Leader Arnaud Montebourg, le Bilderberger Manuel Valls, ou le German Marshall Fund, financeur américain de Terra Nova, fondation initiatrice des primaires du Parti socialiste… et où l’on découvre les stupéfiantes conditions de la nomination du parfait inconnu Herman Van Rompuy à la présidence du Conseil européen.
    Pour découvrir ceux qui nous manipulent, nous désinforment et veulent nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

    Benjamin Dormann a été journaliste dans la presse financière, trésorier d’un parti politique «divers gauche» et candidat à des élections européennes et législatives.
    Diplômé d’un MBA en finance de l’université de Chicago, il est depuis quatorze ans associé d’un cabinet de consultants indépendants, spécialisé en gestion de risques et en crédit aux entreprises, et executive chairman d’une structure internationale active dans trente pays.

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  3. S’agissant du sujet « Mali » et « lutte contre le terrorisme », voir Aymeric Chauprade sur realpolitictv
    CRISE DU MALI, Réalités géopolitiques : première partie
    Extraits :
    « Cette analyse étant longue, j’ai décidé de la découper en deux parties.

    La première partie tentera d’y voir clair sur les motivations de l’Etat malien, des Touaregs indépendantistes et des groupes islamistes.

    La seconde partie abordera la question complexe des enjeux pétroliers et gaziers dans la zone (avec notamment les intérêts pétroliers français, qataris et algériens).

    Nous pourrons alors proposer une lecture de la crise qui s’articulera autour d’un bras de fer entre Paris, Alger et Doha pour l’essentiel, avec bien entendu aussi les Etats-unis en « embuscade » et qui montrera, une fois de plus, que le terrorisme islamiste est largement instrumentalisé pour consolider ou restaurer les intérêts des principaux acteurs.
    …….
    La réalité, qu’elle nous plaise ou non, est qu’une partie importante des Arabes (mais pas forcément majoritaire) veut refonder la politique de leur pays sur les bases de l’islam politique tout simplement parce qu’elle refuse le mouvement global d’occidentalisation des valeurs; et que par ailleurs il convient, par simple honnêteté intellectuelle (et même si à titre personnel nous n’avons aucune sympathie particulière pour ce type de mouvance) de distinguer l’action terroriste jihadique et les partis politiques islamistes (type Frères musulmans). Si nous ne le faisons pas, nous ne comprendrons jamais pourquoi certains Etats peuvent avoir intérêt à créer des groupes ultra-radicaux se revendiquant de l’islam dans le seul but de décrédibiliser la masse d’un islam politique que je ne qualifierais pas de modéré (parce que cela ne veut rien dire) mais qui pour autant n’emploie pas forcément la violence terroriste comme moyen d’action politique. »

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  4. Problème quand même quand on l’écoute jusqu’au bout… il remet en cause le 11 septembre et de façon générale, laisse beaucoup de place à l’esprit complotiste…
    Bof… Il y a du tri à faire….

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    • La « théorie du complot » est l’argument de ceux qui n’ont aucun argument face à des faits qui dérangent… Etudiez mieux les sujets au lieu de fermer d’emblée votre esprit critique.

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