Allemagne

Humeur de Loup du Mercredi 18 juin 2014 : Dette française- There is no alternative! Par Bruno Bertez (Actualisé au 19 Juin 2014)

Humeur de Loup du Mercredi 18 juin 2014 : Dette française- There is no alternative! Par Bruno Bertez (Actualisé au 19 Juin 2014)

Migaud premier Président de la Cour des Comptes: « Il faut être attentif à la dette française, elle est supérieure à la dette des pays de la zone euro ».

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Passons sur la formulation maladroite voire trompeuse- la dette française n’est pas supérieure à celle des pays de la zone euro, cela est faux et en plus ne veut rien dire- mais attardons nous sur le sens de ses propos.

Ce serait le montant ou le ratio de dette qui serait le critère pour juger de la dette!

Nous dirons à Migaud qu’il se trompe de monde, il en est resté à l’époque de Raymond Barre.

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Au Japon, la dette est de 222% du GDP et le taux est de 0.6% soit la moitié du taux français! La dette française est de moins de 100% du GDP. Le monde n’apprécie pas la dette en fonction des critères d’antan Monsieur Migaud, la valeur intrinsèque de la dette est passée au second voire au troisième plan, ce qui compte ce sont les différentiels de taux. Et la dette française est attractive. Nous sommes dans le relatif, nous sommes dans un monde carry.

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Et c’est pour cela que les taux espagnols et italiens ne sont plus guère supérieurs aux taux américains.

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Migaud fait semblant de ne pas savoir que dans un monde à la dérive, celui qui s’en sort le mieux n’est pas celui qui freine la dérive et essaie de faire moins mal que les autres, non dans un monde à la dérive et qui ne stoppera jamais la dérive, c’est celui qui profite le mieux de la dérive globale, cyniquement qui s’en sort. Confère ce qu’a fait aussi la Grande Bretagne.

La France continue de jouer un rôle et une partition dépassés. Le glissement est irrémédiable, et il est imposé par les autres, les Anglo Saxons, les Nippons etc. C’est celui qui au lieu de freiner et de se montrer raisonnable, c’est celui qui tire parti du glissement général qui gère le plus intelligemment.

il faut, pour servir les intérêts de son peuple, lorsque la course au « debasement » de la monnaie et de la dette est engagée, être capable de tirer le profit maximum de ce qui est inéluctable : ce debasement.

Jouer la carte, impossible, de la vertu en ce moment est une erreur d’appréciation.

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C’est comme la pollution: vouloir respecter les critères alors que la Chine et les USA s’en fichent, c’est leur donner la possibilité de faire mieux que nous, sur notre dos.

Le malthusianisme de la dette équivaut au malthusianisme de l’écologie. S’agissant de la dette, la dette globale croit, elle est de plus en plus insolvable et non honorable, et elle ne sera jamais honorée, le point de non retour est atteint. Ce sont les pays tiers les plus cyniques qui en profitent pour consommer, s’attribuer les richesses, racheter les firmes étrangères alors que la France tente de se serrer la ceinture. C’est la répétition de l’Histoire la plus imbécile, celle du syndrome du « Bloc-Or ». Rien appris, rien compris.

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Pourquoi? parce que la France mène une politique qui n’est pas celle de ses intérêts, mais celle des intérêts allemands. La France est un pays qui a une tradition de deficit spending à l’anglo-saxonne et une tradition de pays inflationniste/ devaluationniste comme tout pays du SUD et l’optimisation, pour la France et les Français, c’est de profiter de la dérive globale pour s’en sortir au lieu de chercher à jouer aux Allemands.

De toutes façons, les Allemands se font des illusions, car ils n’échapperont pas au global en raison de la surexposition de leurs banques et de l’interconnexion financière. La position Allemande aurait été cohérente s’ils avaient peu à peu sorti leur système bancaire du maillage global. Or la Deutsche Bank est l’une des banques mondiales les plus exposées à un choc global. Il n’y a plus de cordon sanitaire, voilà ce que les Allemands et les Français ne comprennent pas. Et celui qui gagne c’est celui qui en fait le plus, de tout ce qu’il ne faut normalement pas faire. C’est celui qui cyniquement, sachant qu’on ne peut pas le laisser tomber profite de la situation, et fait tout comme les USA: le beurre, les canons, les drones, le rachat des firmes étrangères grâce au crédit etc.

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Bien entendu notre position est une position de circonstance: c’est parce que les anglo-saxons ont choisi la dérive et qu’ils l’imposent, qu’il faut faire comme eux et encore mieux: Dans un monde qui choisirait de revenir en arrière, de retrouver un ancrage, il faudrait faire ce que dit Migaux, mais ce n’est pas le cas et ce ne sera plus jamais le cas. Les jeux sont faits, alors autant en profiter, profiter des fonds japonais qui financent le déficit Français, qui refinancent l’Italie et l’Espagne.

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ADDENDUM du 19 JUIN 2014

L’article ci dessus est un piège. Nous avons hésité à l’épingler, d’entrée comme humoristique. Nous ne l’avons pas fait car nous avons considéré qu’il était plus efficace en n’étant pas identifié comme humoristique. Simplement, nous avons, dans le dernier paragraphe fourmi la clef: cet article ne vaut que dans le cadre actuel, celui de la fuite en avant global, sans rémission. 

Faire cyniquement plus de dettes que les autres, comme le font les anglo-saxons, alors que les ringards triment pour contenir déficits et ratios de dettes, est rationnel, rationnel dès lors que l’on est le maître du jeu et que l’on sait que in fine les dettes ne seront jamais remboursées et que, par un subterfuge, on résoudra le problème. 

La conduite rationnelle, si on donne la priorité à l’intérêt de son peuple, comme le font les Anglo-saxons, dans ce que l’on appelle leur pragmatisme, c’est d’attirer à soi maintenant, le maximum de ressources réelles et de laisser les autres , les idiots utiles porter le poids des promesses futures et même de les valider afin que la majorité y croit et continue de se serrer la ceinture pour laisser les accapareurs continuer leurs méfaits. 

C’est la même chose en matière d’écologie et de malthusianisme: il y a les idiots utiles des vieux pays qui imposent des restrictions, des surcoûts, à leurs population et il y a des pays qui font l’inverse, profitant du fait que les vieux pays se serrent la ceinture, pour tenter d’avoir l’expansion maximum. L’écologie et le malthusianisme c’est « ôte toi de là que je m’y mette ». 

Plus fondamentalement, ce qui est en question c’est toute une attitude face à la vie et face aux luttes sociales et globales. Vaut-il mieux prendre appui sur la tendance et utiliser sa force pour la pousser jusqu’à l’absurde ou bien faut-il s’y opposer, s’arquebouter contre cette tendance, au risque de la prolonger, de lui donner les moyens d’aller plus loin? 

Vous savez que dialectiquement, nous inclinons à croire que se mettre en face de quelque chose, le dénoncer, c’est une manière de le valider, de le prolonger. C’est la fonction par exemple des syndicats: Lutter contre le système de l’exploitation , pour en fait, faire durer le salariat qui est leur raison d’exister.. . Nous disons souvent que tout système ne survit que de sa dénonciation. Il faut des idiots utiles qui dénoncent, pour que quelque chose dure. 

Exemple le système de la dette généralisée. Si il n’ y avait pas des idiots pour réclamer que l’on fasse moins de crédit et pour vouloir rendre les dettes solvables et honorables, tout le monde comprendrait qu’il n’ a plus de limite et ainsi se déclencherait la course à qui s’endette le plus!

BRUNO BERTEZ Le Mercredi 18 Juin 2014

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16 réponses »

  1. Migaud est manifestement un agent double mais c’est aussi un idiot à ne pas surestimer… je me souviens que face à ce même jean jacques Bourdin, il s’était trompé dans un calcul de niveau CM2…

  2. AH!, la dette…

    C’est la source, le fond et la forme et n’ayons pas peur, la preuve de notre dérive existentielle.

    Cette dérive exprime notre soumission totale aux champions anglo-saxons. C’est le vide, le néant qui régit notre raison. C’est la valeur dette qui surpasse et déclasse toutes formes d’actifs et qui permettent aux insolvables de gouverner.

    La propriété, le travail, l’épargne, … /… sont confisqués par la dette. Refuser la dette aujourd’hui est devenu impossible, inimaginable, inconcevable.

    Même l’Or a succombé à la dette. La dette tue. La dette c’est pire que la drogue, car elle flingue d’abords ceux qui n’en veulent pas et en suite ceux qui en redemandent.

    Comme le chômage, les responsables ne comptent plus la dette, il faut la maquiller, la diluer, la cacher… /…pour mieux l’imposer.

    La dette c’est notre monnaie d’échange. Le vide, pour le vide, par le vide. La dette c’est la pire des religions. Le dogme absolu qui désarme le courage, la volonté, l’effort…

    La dette, c’est la guerre, le nerf de la guerre, l’arme de la guerre.

    Et même ces mots ne signifient plus rien et s’effacent devant l’ignominie que représente la dette.

    Payer la dette des autres, pourquoi-pas, nous le faisons déjà, mais comment empêcher nos ennemies d’en faire toujours et encore…puisque cela nous achève.

    Il y a plusieurs dimensions dans la dette, et la combattre fera tomber notre civilisation, ni plus, ni moins. Voilà ou nous en sommes d’avoir accepté l’inacceptable.

  3. L’article ci dessus est un piège. Nous avons hésité à l’épingler, d’entrée comme humoristique. Nous ne l’avons pas fait car nous avons considéré qu’il était plus efficace en n’étant pas identifié comme humoristique. Simplement, nous avons, dans le dernier paragraphe fourmi la clef; cet article ne vaut que dans le cadre actuel , celui de la fuite ne avant global, sans rémission.

    Faire cyniquement plus de dettes que les autres, comme le font les anglo-saxons, alors que les ringards triment pour contenir déficits et ratios de dettes, est rationnel, Rationnel dès lors que l’on est le maître du jeu et que l’on sait que in fine les dettes ne seront jamais remboursées et que, par un subterfuge on résoudra le problème.

    La conduite rationnelle, si on donne la priorité à l’intérêt de son peuple, comme le font les anglo-saxons, dans ce que l’on appelle leur pragmatisme, c’est d’attirer à soi maintenant, le maximum de ressources réelles et de laisser les autres , les idiots utiles porter le poids des promesses futures et même de les valider afin que la majorité y croit et continue de se serrer la ceinture pour laisser les accapareurs continuer leurs méfaits.

    C’est la même chose en matière d’écologie et de malthusianisme. il y a les idiots utiles des vieux pays qui imposent des restrictions, des surcouts, à leurs population et il y a des pays qui font l’inverse, profitent du fait que les vieux pays se serrent la ceinture pour tenter d’avoir l’expansion maximum. l’écologie et le malthusianisme c’est « ote toi de là que je m’y mette ».

    Plus fondamentalement, ce qui est en question c’est toute une attitude face à la vie et face aux luttes sociales et globales. Vaut-il mieux prendre appui sur la tendance et utiliser sa force pour la pour jusqu’à l’absurde ou bien faut-il s’y opposer, s’arquebouter contre cette tendance au risque de la prolonger, de lui donner les moyens d’aller plus loin?

    Vous savez que dialectiquement, nous inclinons à croire que se mettre en face de quelque chose, le dénoncer c’est une manière de le valider, de le prolonger. c’est la fonction par exemple des syndicats. Lutter contre le système de l’exploitation , pour en fait, faire durer le salariat qui est leur raison d’exister. . Nous disons souvent que tout système ne survit que de sa dénonciation. Il faut des idiots utiles qui dénoncent, pour que quelque chose dure.

    Exemple le système de la dette généralisée. Si il n’ y avait pas des idiots pour réclamer que l’on fasse moins de crédit et pour vouloir rendre les dettes solvables et honorables, tout le monde comprendrait qu’il n’ a plus de limite et ainsi se déclencherait la course à qui s’endette le plus!

  4. Bonjour, Monsieur Bertez.

    Je comprends un peu mieux votre démarche, mais…:

     » tout le monde comprendrait qu’il n’y a plus de limites et ainsi se déclencherait la course à qui s’endette le plus!  »

    …j’ai bien peur que nous ayons déjà dépassé ce stade, non ?

      • Votre regard est plus que pertinent. Mais nous sommes, à mon sens, dans une transition pendant que les idiots utiles se servent de la continuité comme parade pour ne pas inquiéter la foule.

        Plusieurs signes montrent que les déséquilibres deviennent trop importants pour êtres masqués. L’accélération du basculement devient palpable, voire déjouable. Pas encore prévisibles, certes, mais l’étau se referme.

        Ce n’est pas l’espoir qui empêchera la marche forcée que nous subissons. Le bla-bla n’a plus d’écho. Les tensions peuvent dégénérer rapidement. Les masques tombent un par un.

        Les peuples sont exclus du débat, c’est normal, mais les dernières élections montrent que le jeu fait de moins en moins recette.

        Les dès sont pipés, et alors ? Aujourd’hui nous écoutons les idiots utiles pour ce qu’ils ne disent pas et les regardons pour comparer ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas.

        Le décalage est instauré. La diversion inopérante. Les emmerdes sont partout et ce ne sont pas les réunions de crises, extraparlementaires, coalitions ou autres qui changeront quoi que ce soit. Le mal est fait. La destruction est en marche. Ne nous réjouissons point, la souffrance n’est pas un beau spectacle, et pire, si nous nous en sortons, nous reconstruirons exactement le même schéma !! voilà ce que nous apprends l’histoire.

        Alors, l’espoir n’est pas là où il faudrait qu’il soit…

        En espérant me tromper.

  5. Je n’ai peut etre pas compris le fond de votre article,mais il me semble que le fondamental pour notre pays ,c’est de produire un maximum de ce que nous consommons par le travail,non de s’endetter pour acheter avec de l’argent virtuel les biens produits par les autres.Je ne vois pas comment cela peut marcher….

    • c’est ce que font les US depuis le 15 aout 1971.

      Mais notre Pape Poutine-president fondateur de la banque centrale la plus puissante au monde GAZPROM- intervient et va faire crouler* peut être le bloc US-UK, de la même manière que notre Pape Jean Paul a participé à la fin de l’URSS puis à la REUNIFICATION.

      *dans les deux cas les Todd, les plus grands intellectuels francais -membre de ma famille par ailliance hihi- l’avaient prévus avec des critères sociologiques

      « Entrez dans l’espérance », on ne peut gagner à long terme contre le christianisme matrice du Capitalisme

  6. On peut se poser la question (en parlant de nos politiques) pourquoi ils remettent ça, on a vu les désastres avant guerre de la politique de Laval du Franc fort.

    De plus un comparatif de l’inflation/croissance entre les (trente glorieuses et les trente miteuses) même si comparaison n’est pas raison montre quand même la relation étroite inflation/croissance alors pourquoi ce sont ils laissés enfermés dans cette Europe/euro en donnant les clés de notre prison à l’Allemagne ???

  7. Malheureusement, j’ai bien peur que vous n’ayez pas tort, M Bertez, bien que la réalité puisse être bien plus complexe que ses représentations intellectuelles, toujours biaisées par l’observateur, l’idéologie et autre.
    Cependant, je doute que l’on puisse être tous parasites sur le dos des Atlas, bien que le vice soit inhérent à la nature humaine et que la société se construise en partie sur ce vice. Il y a forcément des principes de régulation de ce que vous décrivez, et ce bien avant la guerre et la ruine…

  8. Pour résumer votre analyse, c’est la fuite en avant, et c’est celui qui court le plus vite qui s’en sort … sur le court terme. A la fin, tout le monde aura crèvera de soif, surtout celui qui aura couru le plus vite pour fuir.

  9. Alerte rouge!

    EDF une enquête s’impose absolument! Les mathématiques ne se trompent jamais…
    On dit que la politique ne se fait pas à la corbeille: Nous sommes d’accord! Mais on peut la faire devant les tribunaux.

    L’épargne Française vient d’être volée de 4 milliards ! Certains, eux se sont enrichis.
    Quand nous disons 4 milliards, c’est le minimum, car un premier cercle d’initiés a vendu plus tôt, quelques semaines avant, mais discrètement.

    Regardez un graphique comparatif des cours d’EDF et de l’indice CAC40. Vous verrez qu’EDF est resté corrélé à l’indice jusqu’en Avril ou le titre a atteint près de 30 euros. On a flirté avec ce niveau. Brutalement, à contre tendance, les cours se sont mis à chuter, la décorrélation est devenue flagrante. On est à 24 euros.

    Cela signifie que quelqu’un savait quelque chose que le marché ne connaissait pas. Quelqu’un savait que la décision de Ségolène était en préparation, soit chez EDF, soit chez les banquiers, soit chez les amis copains et coquins, soit chez un ami qui connait bien la Bourse pour en avoir été proche.
    Les sommes sont considérables compte tenu du volume énorme de titres qui s’échangent sur EDF.
    Le hasard boursier, cela n’existe pas!

    On se souvient des opérations d’initiés de l’entourage de Mitterrand, de l’entourage du malheureux Béré, et des amis banquiers socialistes. On se souvient du rôle des Pelat et autres amis dits Trotskistes/Mutualistes, ennemis du capitalisme et de la finance. On leur a donné un bifteck, comme on dit en Bourse afin de rembourser de vieilles dettes dont l’origine était électorale.

    Les sommes en jeu n’ont cette fois aucune mesure avec ce que l’on connait! Toute la lumière doit être faite!
    Les faits reprochés à Sarkozy et Copé n’ont aucune commune mesure avec ceux qui sont actuellement en cause. Ici, ce sont les investisseurs qui sont spoliés, les salariés d’EDF, les petits épargnants fidèles, attirés par la prime à la fidélité.

    Il faut:

    -recenser les opérations de France et de l’étranger réalisées depuis début Avril tant en ferme qu’en conditionnel, et ce en France et , et surtout dépouillées à l’étranger.
    -recenser les conseils bizarres donnés par certaines institutions qui ont dégradé leur recommandation sur le titre
    -recenser les opérations de la Caisse des Dépôts
    -enquêter sur les fausses rumeurs qui ont circulé à ce moment sur la vente de titres par l’état, ces rumeurs ont été lancées pour masquer les opérations d’initiés, les noyer, c’est classique.
    – enquêter sur la politique de communication d’EDF pendant la période.
    -sortir des listings tout ce qui est anormal tant en origine des ordres qu’en volume inhabituel.
    -faire l’inventaire de ceux qui ont opéré et n’ont pas l’habitude de travailler en Bourse, les opérations des proches, des amants, des maitresses et plus encore….

    Si ceci n’est pas fait spontanément, une commission d’enquête doit être nommée.
    Spolier l’épargne au nom de la politique, pourquoi pas, à condition que certains n’en profitent pas pour s’enrichir sur le dos du petit peuple et de ses caisses de retraites et d’assurance.

  10. Effectivement , s’en tenir à des ratios , s’en reflexion sur l’utilisation de l’argent emprunté releve du sophisme .
    On le pardonne encore à R Barre à une époque où l’on pouvait encore croire à des critéres classiques .
    Je suis un peu déçu , que l’aspect qualitatif n’est pas été exposé . Or actuellement cette dette porte plus sur une balance financiére que commerciale d’une part , d’autre part sur du capital fictif , notionnel , virtuel comme on voudra que réel . Ce capital anticipe t il rationnellement sur l’avenir , je crois que vous admettrait que non , y compris pour les Anglo saxons . Alors pourquoi les imiter ou en rajouter . Est ce qu en developpant le changement progressif du changement de nature de la dette , on aboutirait pas à une autre alternative que + ou – ?

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