Douce France: Les privilégiés de la République
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Souverainiste Européen : antimondialiste raisonnable, antiislamiste raisonné, anticapitaliste financier mais pas trop et antisocialiste fabien mais pas assez….Libertarien par Idéal mais Etatiste par pragmatisme ! Cours Forrest cours !
"Nous vivons une époque nietzschéenne marqué du sceau de la volonté de puissance dans un monde qui ne veut croire qu’au messianisme religieux et marxiste !"
"Le Présent éclaire notre Passé pour mieux construire notre Futur !"
"Le sexe, la drogue et le rock and roll sont au jeune fou ce que les textes, le grog et les patates chaudes sont au vieux Sage"
" Mieux vaut une fin terrifiante qu’une terreur sans fin "
"Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort… Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche"
"Ce qui ne peut perdurer finira forcément par cesser"
"Celui qui a péché par la Dette doit périr dans la Dèche"
« L’Ultraliberalisme et le Néokeynésianisme sont les deux faces d’une même pièce : Une sorte d’immense farce tragico-comique »

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Les dits « privilèges » sont des éléments de la rémunération des gens, des avantages acquis liés à leurs conditions d’embauche et à l’exercice de leur fonction, en un temps donné et dans des conditions économiques et sociales données (*). Supprimer des privilèges sans compensation, concertée et acceptée par les intéressés, est quasi impossible, d’autant plus que les syndicats exercent leur pouvoir d’empêcher les remises en causes des rémunérations, par des actions de masse (grèves) voire des violences. C’est le système d’organisation sociale français qui est la cause de tout cela comme le dit l’auteur.
La solution c’est que les salaires soient fixés librement entre les entreprises et les salariés en fonction des besoins des uns et des autres, des compétences requises pour les emplois et leur rareté; pas d’interventionisme de l’état; libéralisme donc. Et pour résorber les privilèges existants accordés dans d’autres temps et d’autres conditions économiques, ne pas les donner aux nouveaux entrants et fixer leurs salaires comme indiqué ci-dessus.
(*) Exemple: dans les houillères autrefois, le logement et le charbon étaient de ces « privilèges ». Quand les mines se sont développées, avec des besoins énormes de main d’oeuvre, il fallait loger les gens. Or il n’y avait pas de parc de logements. Les compagnies minières puis les charbonnages ont alors créé les logements par leurs investissements. Ces logements auraient pu être loués aux personnels. Les houillères ont fait le choix d’en donner l’usage « gratuit » pour attirer les gens; en réalité ce n’était pas vraiment « gratuit » car les salaires versés en tenaient compte. En 1968, l’État a trouvé que ces avantages étaient indûs et a voulu les taxer pour accroître ses recettes fiscales. Il fallut que les houillères déclarent une valeur locative des logements aux fins de la taxation…. Contraintes, elles le firent avec « tact et mesure »! Mais ce fut une baisse de pouvoir d’achat pour les intéressés… CQFD.
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Le privilège de gaspiller, mais aussi se vautrer dans les délices de Capoue : on sait ce qu’il en advint . . . 😦
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